Je ne pouvais pas ne pas évoquer le sujet du moment : le « Fighting » qui oppose l’éducation répressive défendue par Caroline GOLDMAN contre l’éducation positive de Catherine GUEGUEN et Isabelle FILLIOZAT ! Le “Time out” (mettre l’enfant dans une chambre pour le sanctionner) fait couler beaucoup d’encre…
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En tant que parent, on peut vite se sentir démuni face à la détresse d’un enfant qui ressent de la solitude. Heureusement, vous avez tout le potentiel pour lui redonner le sourire et la confiance dont il a besoin pour s’épanouir. Il est temps de s’équiper en pédagogies alternatives, techniques de communication et activités de détente pour le bien-être de votre enfant ultrasensible.
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“Maman, j’avais la tête dans l’espace”. C’est ce que nous a dit notre fille de 6 ans quand elle est rentrée de l’école en ayant un mot dans son cahier concernant sa concentration. J’ai rapidement compris d’où ça venait … entre hypersensible, on se reconnaît 😉.
Ma fille fait partie des 30 % de la population dit «hypersensible», «hautement sensible», “ultrasensible”. Souvent étiqueté par la société, «pleurnichard», «timide», «colérique» …
Ces enfants ont besoin d’un adulte à l’écoute de leur sensibilité.
Devenir parent, c’est créer une éducation qui nous ressemble avec notre propre culture, l’éducation que l’on a reçu (même si on peut en prendre le contre-pied), nos valeurs, nos croyances ou même nos humeurs… . L’éducation positive a fait écho à mes valeurs : une communication bienveillante sans rapport de force pour construire avec mon enfant une relation pérenne et sereine.
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