Le Blog du Slow Parenting

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20 avril 2025Ma pause de 3 minutes Newsletter d’Avril 2025 Et si au lieu de culpabiliser, on changeait de perspective ? Etre maman, c’est être fatiguée ! Oui, MAIS…. on peut toujours se dire que ça peut changer. J’ai toujours eu ce sentiment intérieur (je ne sais si c’est ton cas) que nous pouvons changer notre image, nous pouvons démontrer que nous ne subissons pas une situation, que nous pouvons être “maître de notre destin”. Ralentir en tant que maman paraît totalement impossible quand on connaît la montagne de tâches qui nous attendent chaque jour, quand on sait que quand une mère allaite, elle est la seule à subvenir aux besoins de son enfant, que même si papa est là, une maman aura toujours 9 mois de lien supplémentaire extrêmement fort avec son enfant.  Nous avons un pouvoir en nous que nous n’imaginons même pas. Nous avons la possibilité de faire changer le monde car nous avons un impact fort sur le devenir de nos enfants.  Alors, voici en quoi ralentir est aujourd’hui un acte de puissance maternelle qui peut tout changer ! Oui, tout ! Tu reprends le pouvoir sur ton rythme Ralentir, c’est refuser la cadence imposée par une société qui valorise la performance au détriment du lien. Aujourd’hui, nous sommes des working moms en puissance, nous menons tout de front : travail, enfant, couple, maison. Et, la société nous renvoie constamment cette idée que nous n’en faisons jamais assez.  Et, pourtant, de mon côté ce n’est clairement pas satisfaisant pour les mamans. Hello, les moms, on est en 2025 ! Depuis le temps, je me dis qu’on devrait se sentir libre de vivre comme on l’entend ? Plus on avance dans le temps, plus on voit notre temps être cadencé comme une musique techno. Mais, qui peut écouter de la musique techno toute la journée en non-stop ? Alors, moi, j’ai décidé d’écouter ma propre musique intérieure et je suis plus proche de la musique classique que des Boum Boum. En écoutant ton propre tempo, tu montres aussi à ton enfant que le respect de soi commence par là. Voir le livre Un espace de pleine disponibilité Les moments de calme sont ceux où la magie opère. Sortez vos baguettes magiques, il est temps de ralentir pour réaliser tes rêves et non plus juste les idéaliser. En ralentissant, il y a quelque chose d’exceptionnel qui se passe entre toi et tes enfants : vous vivez l’instant ensemble. Un regard complice, une histoire partagée, une émotion accueillie, tu offres ce dont un enfant a le plus besoin, ta présence réelle ! Quand ton enfant pleure à chaude larme, tu lui donnes ton affection sur le moment. Quand ton enfant a besoin de parler, tu es là pour lui le temps dont il a besoin. Combien de parents aujourd’hui ne sont plus disponible pour leurs enfants ? Combien se disent : là, j’ai pas le temps, je prendrais le temps plus tard et finalement oublient et ne le font pas… C’est une réalité, nous sommes pris dans un mouvement du toujours plus, toujours plus vite qui nous écrase et nous robotise…. Mais, nous ne sommes pas des robots.  Il est urgent de réagir pour montrer à nos enfants qu’ils peuvent compter sur nous. Car, s’ils peuvent se sentir en confiance et en sécurité auprès de nous, ils sauront aussi être confiant en leur avenir.  Soit le changement que tu veux voir en ce monde Choisir de ralentir dans un monde qui court, c’est poser un acte radical.  C’est dire : je choisis l’humain, je choisis le lien, je choisis la vie.  Et c’est puissant, parce que c’est contagieux. Tu peux devenir un modèle de douceur résistante ! Ensemble, entre mamans, nous pouvons initier un mouvement qui peut changer la vie de nos enfants. Avons-nous vraiment envie que nos filles et nos garçons connaissent cette vie de maman où la perfection est attendue ? Dans mon livre, je dis : “Rien ne sert d’avoir si ce n’est pas pour être”‘.  Avoir une vie de famille avec une maison est peut-être le but ultime dans notre société mais il est bon de se rappeler que nous sommes les actrices de cette vie. Rappelons-nous que c’est nous qui faisons nos choix et que ralentir en fait parti ! Ralentir n’est pas une faiblesse. C’est une force douce, celle qui transforme et qui révèle qui tu es vraiment.  [...] Read more...
3 avril 2025Ma pause de 7 minutes Je trouve ça étonnant dans notre société que nos enfants expriment qu’ils sont stressés ?! Pas vous ? D’après une enquête scientifique réalisée en 2022 sur la santé mentale des élèves à l’école, 18 à 35 % des enfants de la maternelle au lycée professionnel expriment verbalement qu’ils sont stressés ou anxieux ! Et quand on regarde les enseignants… les chiffres sont encore plus dramatiques… Plus de 80 % des enseignants présentent un épuisement émotionnel.  Face à des enseignants qui se sentent démunis, il y a pourtant certains pays qui ont compris qu’une approche bienveillante auprès des enfants avait un impact direct sur leur bien-être ! L’intelligence émotionnelle (IE) semble jouer un rôle clé dans la réussite scolaire et la psychologie du développement personnel des enfants. Quelles sont leurs techniques et leur approche pédagogique pour rendre heureux nos enfants en classe ? Sans plus tarder, il est temps pour les Français d’apprendre en toute sérénité.  L’intelligence émotionnelle : définition et enjeux en milieu scolaire L’intelligence émotionnelle : une force qui est en soi L’intelligence émotionnelle désigne la capacité à identifier, comprendre et réguler ses propres émotions ainsi que celles des autres. Elle repose sur 5 piliers : La conscience de soi, La maîtrise des émotions, La motivation L’empathie, La gestion des relations L’intelligence émotionnelle a été impulsée par l’idée d’Howard Gardner, psychologue américain en 1983 que notre cerveau développe des intelligences divergentes telles que l’intelligence logico-mathématique (cette fameuse ” bosse des maths”), l’intelligence musicale, corporelle… Aujourd’hui, on parle de quotient émotionnel (les émotions) pour l’opposé au quotient intellectuel (l’intelligence). En France, la mise en place des programmes d’éducation émotionnelle Aujourd’hui, on commence à voir les prémisses de la prise en compte des émotions dans les établissements scolaires grâce aux techniques de la communication non violente. Souvent impulsées par l’enseignant lui-même, elles visent à améliorer le bien-être et les performances des élèves par la prise de conscience de l’impact de ces émotions sur sa performance à l’école.  Formation des enseignants à l’IE  En 2023, une thèse a exploré l’impact des compétences émotionnelles des enseignants sur leur motivation, leur efficacité personnelle et leur santé mentale. La conclusion est que plus l’enseignant développe son éducation émotionnelle et sociale plus il adopte des pédagogies motivantes pour ces élèves. Avec une attitude positive, l’enseignant développe de meilleures aptitudes pour aider l’enfant à apprendre à gérer son stress.  L’approche RULER Mise en place de programmes d’éducation émotionnelle : Certaines écoles françaises font preuve d’initiatives en s’inspirant de l’approche RULER, développée par le Yale Center for Emotional Intelligence. Cette méthode se concentre sur cinq compétences clés : Reconnaître, Comprendre, Nommer, Exprimer et Réguler les émotions. En intégrant ces compétences dans le quotidien scolaire, RULER vise à cultiver une conscience émotionnelle, favoriser des relations positives et créer un environnement d’apprentissage bienveillant.  Ces initiatives démontrent une envie croissante en France d’intégrer la compétence émotionnelle dans le programme scolaire. L’objectif est clairement d’améliorer le bien-être des élèves pour leur succès scolaire et la gestion du stress de manière constructive.  Les effets bénéfiques d’une éducation basée sur l’IE et la bienveillance Des enfants plus confiants et motivés  Les neurosciences ont parlé un enfant moins stressé est de fait un enfant plus concentré et qui a de bonnes facultés de mémorisation. Nous n’avions probablement pas besoin des neurosciences pour nous confirmer ce fait. En tant qu’adulte, on peut facilement se rendre compte à quel point nos sentiments et émotions ont un impact sur notre efficacité. Développer l’intelligence emotionnelle des enfants est une vraie mine d’or pour son bien-être ! Il se connaît mieux, car il sait identifier ses émotions de base (joie, colère, tristesse, peur…), les nommer et exprimer ses besoins. Il peut mieux gérer ses problèmes, car il va développer la maîtrise de soi. Son autonomie et sa vie sociale sont améliorées. Il va être plus motivé donc plus enclin à développer ses propres objectifs avec créativité et innovation. Il deviendra plus empathique, à l’écoute et va améliorer ses relations avec ses camarades de classe. Le harcèlement scolaire est réduit ainsi que les conflits. Il développe son optimisme, son estime de soi, sa confiance en soi pour prendre des décisions seul. La pensée positive favorise sa motivation et sa prise d’initiative pour exprimer ses idées. Il apprend à se détendre et à utiliser des pratiques de relaxation et de pleine conscience. Il améliore ses résultats scolaires grâce à une meilleure concentration et mémorisation. Si chaque enfant s’inscrit dans cette dynamique positive qui lui est enseignée, le climat scolaire global s’en ressent. Les enfants s’entraident et communiquent mieux entre eux. La qualité de vie à l’école en est profondément impactée et donne toutes les chances de réussites scolaires aux enfants.  Les modèles internationaux les plus inspirants On parle beaucoup des pays nordiques comme étant des lieux où la santé mentale est chouchoutée autant pour les adultes que pour les enfants. Nombreux sont ceux qui aimeraient que l’éducation nationale s’inspire grandement de leur modèle d’éducation bienveillante qui donne le sourire aux enfants.(et aux parents)  La Finlande : un modèle d’éducation bienveillante La Finlande se distingue particulièrement sur la pensée créative de ces élèves. Les enseignants bénéficient d’une grande liberté pour choisir leurs méthodes d’enseignement. Ils favorisent ainsi l’innovation et la personnalisation en fonction de leurs élèves.  La Finlande valorise l’expression artistique et la créativité des élèves. De nombreux temps d’échange informel parsème la journée en petit groupe pour favoriser une bonne collaboration. Il y a de nombreuses interactions sous forme ludique pour aider les apprentissages.  Le taux de stress des élèves est très bas. Chaque session de travail ne dépasse pas 45 minutes et les élèves finissent leur journée à 14h15. Exemple d’une journée type en classe pour un élève de primaire en Finlande (6-12 ans) 8h30 – 9h00 : Arrivée à l’école et accueil en douceur. Pas de stress ni de précipitation : les élèves arrivent tranquillement et sont accueillis par leur enseignant dans une ambiance détendue. 9h00 – 9h45 : Premier cours de mathématiques ou finlandais 9h45 – 10h00 : Pause en extérieur 10h00 – 10h45 : Deuxième cours (sciences ou études sociales). Une approche basée sur l’expérimentation et la découverte. 10h45 – 11h00 : nouvelle pause en extérieur 11h00 – 11h45 : Troisième cours d’anglais, d’art ou de musique 11h45 – 12h15 : Déjeuner gratuit à la cantine 12h15 – 12h30 : Temps libre et récréation en extérieur 12h30 – 13h15 : Quatrième cours d’éducation physique ou d’ apprentissage basé sur les phénomènes 13h15 – 13h30 : dernière pause en extérieur 13h30 – 14h15 : Activité libre et fin de journée Selon les jours, les élèves peuvent avoir du temps pour lire, travailler sur un projet ou participer à des activités créatives. Certains élèves rentrent chez eux, d’autres restent pour des activités périscolaires (activités sportives, musique, club de sciences…). Leur vie quotidienne et leur santé physique sont préservées du stress. Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Le Danemark : des cours d’empathie obligatoires Au Danemark, l’apprentissage de l’intelligence émotionnelle est obligatoire dès le plus jeune âge. Des cours d’empathie sont intégrés aux cours classiques pour favoriser la coopération et l’entraide. Tout comme en Finlande, les cours ne dépassent pas 45 minutes. Les petits danois finissent leur journée à 15h30 et passent leur après-midi à renforcer leur développement émotionnel, personnel et social avec des activités artistiques, sportives ou culturelles. Au Danemark, on remarque tout particulièrement une réussite professionnelle et un engagement scolaire important. Exemple d’une journée type d’un élève de primaire au Danemark  8h00 – 12h00 : Séances d’enseignementLes élèves participent à des cours variés, généralement de 45 minutes chacun, avec des pauses régulières. Les matières incluent les mathématiques, la langue danoise et les sciences.  12h00 – 12h45 : Repas à la cantineLes enfants prennent un déjeuner équilibré, favorisant les interactions sociales et le développement de bonnes habitudes alimentaires. 12h45 – 14h00 : Activités périscolairesLes élèves participent à des activités sportives, artistiques ou culturelles, renforçant leur développement personnel et social.  14h00 – 15h30 : Séances d’enseignement supplémentaires ou temps libreSelon l’emploi du temps, les enfants peuvent avoir des cours supplémentaires ou du temps libre pour des activités autonomes. 15h30 : Fin des coursLes élèves rentrent chez eux ou participent à des activités extrascolaires proposées par l’école. Le Canada : un enseignement axé sur les émotions et la santé mentale Au Canada, l’approche est très liée aux émotions. Les enseignants sont formés à la gestion des émotions et à la bienveillance. C’est un point de vue qui s’inscrit complètement dans la psychologie positive de Carl Honoré. La flexibilité et l’intelligence sociale sont de mise pour proposer une pédagogie adaptée à l’élève et à sa situation. Différentes méthodes sont utilisées pour aider aux apprentissages de manière appropriée :  le Project-Based Learning (PBL),  les pédagogies alternatives (Montessori, Waldorf, Reggio Emilia) l’Inquiry-Based Learning : l’apprentissage par l’enquête l’approche par compétences l’intégration des nouvelles technologies. Personnellement, même si je ne suis pas canadienne, je vais régulièrement sur le site alloprof et c’est un bonheur de voir autant de ressources pour les parents et les enfants. C’est un site positif qui donne l’outil manquant pour créer l’envie d’apprendre aux enfants. Très dynamique, le site propose également de faire le lien avec les enseignants et de répondre à toutes les questions des enfants.  Exemple d’emploi du temps – Élève du primaire (6-11 ans) 8h30 – arrivée à l’écoleLes élèves arrivent, rangent leurs effets personnels et se préparent pour la journée. 8h45 – 9h30 : Cours du matin (Français ou Mathématiques)Les matières fondamentales comme le français (lecture, écriture, grammaire) ou les mathématiques sont souvent enseignés en début de journée, quand l’attention est optimale. 9h30 – 10h15 : Sciences ou Études socialesExploration du monde naturel (sciences) ou apprentissage de l’histoire, de la géographie et de la société canadienne. 10h15 – 10h30 : Pause et collationLes enfants prennent une collation et se détendent avant de reprendre les cours. 10h30 – 11h15 : Arts plastiques ou MusiqueCréativité en avant avec du dessin, de la peinture, des travaux manuels ou de l’initiation à la musique et au chant. 11h15 – 12h00 : Éducation physiqueSéance de sport en gymnase ou à l’extérieur (jeux, course, sports d’équipe).  12h00 – 12h50 : Dîner et récréationTemps de repas suivi d’une pause pour jouer dehors. 12h50 – 13h35 : Littérature (lecture, écriture, expression orale)Ateliers de lecture, rédaction de textes, discussions et présentations orales. 13h35 – 14h15 : Sciences, Informatique ou TechnologieExpériences scientifiques, initiation au codage ou à l’utilisation des outils numériques. 14h15 – 15h00 : Études sociales ou Deuxième langue (anglais ou français, selon la province)Apprentissage de l’histoire, de la culture et du fonctionnement du pays, ou cours de langue seconde. 15h00 – Fin de la journée scolaireLes enfants terminent leur journée et rentrent à la maison ou participent à des activités périscolaires (sports, arts, aide aux devoirs). 15h15 – Départ des autobus scolairesRetour à la maison ou à la garderie après l’école. L’intelligence émotionnelle et la bienveillance sont des leviers puissants pour améliorer l’apprentissage et le bien-être des élèves. Si plusieurs pays ont déjà adopté ces approches, la France pourrait s’en inspirer pour favoriser un climat scolaire plus harmonieux et propice à la réussite de chacun en tant qu’individu. Les connaissances sont aujourd’hui à nos portes pour pouvoir enseigner les bases essentielles de l’intelligence émotionnelle.   Pour aller plus loin :  Résultat de l’enquête scientifique sur la santé mentale à l’école entre avril et mai 2022 ​ [...] Read more...
1 avril 2025Ma pause de 6 minutes Vous est-il déjà arrivé que votre enfant vous dise : “Je mange plus de viande, je veux devenir végétarien”. Du jour au lendemain, votre enfant ne veut plus entendre parler de votre poulet du dimanche ou du joli rôti mijoté pendant des heures dans vos fourneaux, désormais, il veut être végétarien. Mais, comment réagir quand un enfant ou un ado veut tester ce nouveau régime alimentaire ? Quels sont les risques de carence ? Que cela implique-t-il en termes de gestion des repas ? Est-ce dangereux ou peuvent-ils grandir sans  inquiétude ? Végétarien ou végétalien ?  La mise en place de l’alimentation végétarienne lacto ovo impacte toute la vie de famille ! Comment être sûr que votre enfant a un développement harmonieux et un apport nutritionnel suffisant avec de nouveaux aliments tels que des céréales enrichies ou des fruits secs que vous n’aviez pas l’habitude de consommer ? Rassurez-vous, vous êtes loin d’être seul.  ​Qu’est-ce qu’un régime végétarien ? Les végétariens et flexitariens représentent environ 2,2 % des Français en 2020 (selon l’IFOP). De plus en plus de famille souhaite réduire leur consommation de viande dans un souci environnemental ou de bien-être animal. Depuis les années 2000, les jeunes sont de plus en plus attirés par un régime sans viande même s’il reste encore à la marge. Mais, vous ne serez probablement pas à l’abri qu’un de vos enfants ait envie de tester pour ne plus manger d’animaux.  Petite anecdote de ma fille aînée. Elle faisait les courses avec sa grand-mère et s’est retrouvée devant la boucherie. Du haut de ces 6 ans, elle a sympathiquement dit à cette charmante dame : “pourquoi vous tuez les animaux ? c’est pas bien ! ” C’est mamie qui s’est pas sentie très bien ^^. Et, c’est une période où elle a tout simplement pris conscience de ce qu’on lui faisait manger dans l’assiette. Cela peut aussi arriver à l’adolescence puisqu’il y a une envie folle d’indépendance et d’affirmations alors autant se démarquer en ne mangeant plus de viande (et puis, c’est stylé !). Une alimentation végétarienne ou végétalienne ? Le végétarisme consiste à ne plus manger de chaire animale que ce soit de la viande ou du poisson. Cependant, à l’inverse d’une alimentation végétalienne, les produits laitiers, les œufs et le miel sont tolérés. Une personne végétarienne s’alimente donc avec des légumes, des céréales et des légumineuses.  Un repas végétarien par exemple :  Un Curry de patate douce, une recette végétarienne ou végétalienne populaire complétée avec du riz qui apporte des glucides complets et des légumes frais tels que des épinards, des carottes ou encore du brocoli. En dessert, on pourra préparer un cheese-cake à l’avocat, simple et gourmand 😉 ​Quels sont les nutriments indispensables pour la croissance de nos enfants ? Oui, il est bon de se questionner quand un enfant veut changer de régime alimentaire. Un enfant a des besoins nutritifs essentiels :  – des protéines pour la construction des nouveaux tissus. Les céréales et les légumineuses sont les aliments à privilégier pour obtenir une quantité suffisante. – des vitamines et des minéraux : – la vitamine D permet l’absorption du calcium et la minéralisation des os, – la vitamine C renforce les défenses immunitaires et favorise la guérison des blessures, – le magnésium aide à la croissance et au développement des muscles et des nerfs – la vitamine B12 est indispensable pour le bon fonctionnement de sa mémoire et son énergie.  – les aliments riches en fer  – l’iode Devenir végétarien est un changement dans ces habitudes alimentaires. Pour vous accompagner à mettre en place des repas équilibrés, je vous conseille de vous adresser à un nutritionniste qui saura cibler les aliments nécessaires pour que votre enfant ou adolescent grandisse sans carence en vitamines et établir un suivi diététique sérieux.  Comment éviter les carences nutritionnelles ? Tout est dans la planification ! Le retour du batchcooking peut être une super solution pour éviter l’éternel “qu’est-ce que je vais lui faire à manger ?”. Selon les familles, on va s’adapter plus ou moins à cette nouvelle conviction de l’enfant. Souvent issus d’ailleurs de cette conscientisation de l’animal : “quoi, le jambon c’est du cochon ?”, pour vous, c’est surtout une nouvelle contrainte qui vient s’ajouter si vous ne partagez pas son engouement. Certains parents feront le choix de passer à des repas végétariens pour tout le monde d’autres vont préparer des menus différents. C’est vous qui voyez 🙂 Pour autant, il vous faudra bachoter un peu pour trouver un menu végétarien et surtout trouver des plats équilibrés pour chaque mois. Pour mieux assimiler les nutriments essentiels de base tels que le fer, le zinc, le calcium et les acides gras oméga-3, un apport suffisant en protéines est indispensable. Aussi, les sources de fer végétales telles que les légumineuses devront être combinées avec des aliments riches en vitamine C.  De même, certaines vitamines comme la vitamine B12 sont présentes uniquement dans la viande animale, ce qui nécessitera une complémentation (en comprimé ou sous forme d’huile) pour éviter une anémie ou des troubles neurologiques.  Mais, pour cela, votre enfant doit être ouvert à d’autres aliments que ceux dont il avait l’habitude de manger ! Pousses, noix, graines, boissons végétales (lait de soja, lait d’avoine, lait de riz…), légumineuses (soja, lentilles, haricots, pois…), tofu seront probablement plus difficiles à inclure pour certains. Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Quelle gestion des repas au quotidien ? De toute évidence, vous l’aurez compris, il sera nécessaire de lui préparer des repas équilibré et varié. Ayez en tête qu’on ne change pas un régime alimentaire du jour au lendemain ! Proposez des repas végétariens plus régulièrement peut être une bonne approche pour familiariser votre enfant à un nouveau mode de vie et d’alimentation végétale principalement.  Un enfant a toujours besoin que son repas donne envie. Il renonce à la viande, mais il ne renoncerait pas à une pizza ou à une assiette de frites ! Mais, cela ne peut pas devenir son régime principal au risque de mettre en danger sa santé. Donc, il va falloir jouer d’un peu d’ingéniosité et de curiosité pour trouver des plats attrayants visuellement.  Pour cela, vous pouvez jouer avec les textures et les couleurs. S’il aime les carottes, vous pourrez varier les plaisirs de la purée aux râpées en passant par la croquette. Nuancer les couleurs est un super indicateur pour un apport en vitamine en grande quantité. Pour vous aider à faire vos courses, vous pouvez tester Nalkaa qui est un supermarché en ligne avec des produits moins sucrés (à y être autant, leur donner les meilleurs produit). La livraison de courses vous fera aussi gagner un peu de temps et vous permettra aussi d’établir une liste de repas avec un menu pour votre semaine.  Pensez également aux alternatives végétales des produits animaux. Les steaks végétaux, saucisses végétales, boulettes ont l’apparence des “vrais” et sauront lui faire plaisir.  À vous de choisir après si toute la famille passe à ce mode alimentaire ou si vous consacrez à votre enfant des repas spécifiques.  Est-ce que le végétarisme est dangereux pour nos enfants ? Selon l’étude de plus de 122 articles scientifiques par un pédiatre français, le végétarisme est, semble-t-il, peu risqué. Un régime lacto-ovo-végétarien bien équilibré, de qualité et varié n’apporte pas plus de carences. Selon le rapport de l’association américaine de Diététique de plus de 70 000 professionnels « Les alimentations végétariennes planifiées de façon appropriée, y compris l’alimentation végétalienne, sont bonnes pour la santé, représentent une nutrition adéquate, et apportent des bienfaits pour la santé, pour la prévention et le traitement de certaines maladies. Les alimentations végétariennes sont appropriées durant toutes les étapes de la vie, y compris la grossesse, la lactation, la petite enfance, l’enfance, l’adolescence, et pour les athlètes. » Les régimes alimentaires les plus à risque de carence nutritionnelle sont le régime macrobiotique et le régime végétalien. Ces régimes étant plus restrictifs, ils ne sont pas conseillés pour les enfants. Ayez une vigilance particulière pour un enfant végétalien. Qu’est-ce que le régime macrobiotique ? C’est un mode d’alimentation japonais composé essentiellement de céréales, de légumes et de fruits. Issu de la philosophie zen, il favoriserait la longévité.  Conseil pour parents dépassés et pas végé  Quand on est parent, on soutient nos enfants dans leur expérimentation, mais cela n’empêche pas nos interrogations. Pour ce faire, il me semble déterminant d’adopter une posture d’ouverture et de découvrir avec lui ce type d’alimentation adaptée si vous n’en étiez pas fan au premier abord. Votre intérêt va l’aider à mieux comprendre l’importance d’une alimentation équilibrée. Même si c’est une passe, c’est aussi un bon moyen de lui faire réaliser que manger, c’est aussi s’alimenter d’aliments sains pour son corps.  3 conseils pour guider son enfant végétarien – respecter son choix. Le plus souvent, les premières demandes peuvent survenir vers l’âge de 6 ans. Le prendre au sérieux est une réelle marque de respect de son identité et de son envie d’expérimenter. On l’a vu, vous n’allez pas mettre en péril sa santé. Il ne sert donc à rien de s’y opposer. Vous pouvez tout de même mettre en avant la complexité qui vous incombe et lui expliquer l’importance de vous laisser du temps pour adopter ce nouveau régime végétarien.  – À l’extérieur de la maison, il est important de soutenir son choix en expliquant à votre entourage sa décision si besoin. Les cantines ont parfois des menus végétariens. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à le mentionner à l’établissement scolaire afin qu’il puisse prendre en compte ce changement.  – documentez-vous ! vous pouvez vous tourner vers l’AVF (association végétarienne de France) qui vous aidera à trouver des repères nutritionnels pour la santé des enfants. Suivre les recommandations des diététiciens de façon régulière aide à se forger son point de vue.  Aller à l’encontre de la conviction de votre enfant sera contre-productif. Même si ce n’est “pas votre truc”, l’important est de rester à son écoute et de l’accompagner dans sa démarche.  ​ Accompagner votre enfant végétarien est une nouvelle pratique alimentaire qui peut être bénéfique pour lui dans la mesure où votre curiosité saura répondre à ses besoins nutritionnels. Un enfant a besoin de soutien et ne pourra pas gérer totalement seul des menus végétariens. Pour autant, cela vous fera une bonne raison de passer plus de temps ensemble dans la cuisine. Retrouvez toutes les activités slow parenting pour prendre le temps avec votre enfant 🙂  Pour aller plus loin : statistique végétarisme Rapport de l’association américaine de diététique Le guide alimentaire : Vegan sans carences – Femmes enceintes et allaitantes, bébés et enfants de Markus Keller aux éditions Ulmer [...] Read more...
19 mars 2025Ma pause de 5 minutes La gestion des émotions est un sujet très populaire. Ces 10 dernières années, tous les parents ont entendu parler de gestion des émotions, d’intelligence émotionnelle, de sensibilité… À l’époque de nos parents, ce n’était pourtant absolument pas un sujet. Alors, je me suis demandée finalement comment toutes ces émotions apparaissent. Qu’est-ce qui fait qu’on est joyeux tout bébé ? Comment ça se met en place au fur et à mesure de notre développement cognitif ? Et, surtout, comment en arrive-t-on à devoir les gérer ? Pour répondre à toutes ces questions, j’ai fouiné un peu sur Internet et j’ai trouvé un article Suisse sur le développement des émotions primaires durant l’enfance qui nous m’a donné des pistes de réflexion. De la première année de vie à l’âge adulte, comment se développe l’expression des émotions ? La joie comme 1ère émotion à la naissance “Oh, il est trop chou ! Regarde-moi ce regard, il a les fossettes de son père, mais qu’il est beau !” Oui, ce sont bien nos paroles quand un enfant naît. Et, la joie et les sourires sont les émotions que nous partageons dès les premiers jours de la vie.  Le bébé, lui, dès la naissance, sourit instinctivement. C’est son émotion principale et il sourit même pendant son sommeil. Nous sommes donc dès le début heureux ! Quelle belle nouvelle ! Même si au début, les sourires des bébés ne sont pas vraiment faits exprès, dès 1 mois, on peut voir de vrai sourire. Et puis, à 3 mois, on peut même commencer à entendre un rire. Il a même été remarqué que jusqu’à 7 mois, les enfants auraient une préférence pour les visages souriants et féminins (on n’est pas trop étonnée😉). Toutefois, cela ne nous a pas échappé que les pleurs des enfants ont tendance à augmenter de semaine en semaine les 2 premiers mois. C’est une des étapes du développement “normal” du cerveau. L’étude montre cependant que les pleurs diminuent à l’acquisition du langage...  Après la joie, c’est la peur qui s’exprime à partir de 7-8 mois auprès des adultes qu’ils ne connaissent pas ou des objets nouveaux. Le noir, la solitude, les animaux, la surprise sont autant de choses qui font vivre cette émotion qui tendra à s’atténuer vers leurs 6 ans. La colère va pointer, elle, le bout de son nez vers 2 – 3 ans… “terrible two” (vous en faites pas, c’est pas si horrible 👻). La régulation émotionnelle Toutes ces émotions (tristesse, dégoût, honte, fierté, joie, colère et la peur…) se développent au fur et à mesure que le cerveau de notre enfant génère des connexions grâce à ses interactions avec ses parents. C’est donc, grâce à nous, papa ou maman, selon nos expressions faciales, nos mimiques, nos grimaces, notre ton de voix ou encore les gestes que nous faisons, que nos enfants vont arriver à s’apaiser, se calmer ou rire…  Au début nos enfants catégorisent les émotions en 2 états positifs (plaisants) ou négatifs (désagréable). Quand bébé a faim, c’est désagréable et il se met à pleurer. Quand bébé est dans les bras de sa mère, sa réaction est tout autre, c’est un plaisir, il sourit, gazouille. Réconforter, écouter, observer les signes physiques vous aidera à reconnaître ce qu’il souhaite exprimer.   Tout bébé, l’enfant n’a pas beaucoup de régulation de ses émotions, mais plutôt un réflexe de succion et de détournement du regard. À partir de 2 ans, la succion devient “auto-relaxante”. Il s’appuie sur ses sens pour maîtriser partiellement une émotion envahissante pour lui. Les différentes découvertes qu’il fait au quotidien lui apportent un flot d’émotions qu’il tente de gérer seul. Mais, bien souvent, les bras des parents sont encore d’un grand secours.  Nos touts petits avant 3 ans en âge préscolaire, eux, vont commencer à définir un “script émotionnel” (Merci Widen et Russel). En fonction des expressions de notre visage, de la situation, de son environnement et des éléments déclencheurs entre autres, l’enfant peut imiter nos réactions. Tant positive que négative d’ailleurs, l’enfant peut devenir colérique simplement parce qu’il copie une personne de son entourage. L’enfant va avoir une meilleure conscience de soi et de l’impact de son comportement sur son entourage.  Arrivée à 3 ans, la parole permet de verbaliser les émotions et l’aide à comprendre ses ressentis et à se distancier de ses émotions.  Il devient essentiel de l’accompagner pour nommer leur sentiment, leur frustration ou encore leur gêne. Sa difficulté principale est d’apprendre à décrire ce qu’il peut ressentir. Et puis, petit à petit entre 3 et 6 ans, il va commencer à masquer ou minimiser ses émotions intentionnellement. Sa compréhension du monde est plus fine pour créer un environnement qui le réconforte et l’aide à se sentir bien. De là, les enfants commencent à s’inventer des histoires et tout un monde imaginaire.  Les Display Rules Les Display Rules, vous connaissez ? Non, ba moi non plus ! On s’instruit, allez hop ! Vite fait, bien fait enfin en prenant le temps quand même 😉  Les Display Rules sont les règles culturelles dont on prend tant de temps à dire à nos enfants : “on dit s’il te plait”, “on se lave les mains”, “on dit merci”. De cette façon, les enfants apprennent à réguler leurs émotions dans des situations données. Dire merci pour un cadeau qu’on n’aime pas en fait partie. Aussi, nos enfants savent dissocier ce qu’ils ressentent de ce qu’ils peuvent exprimer. (pas toujours hein🤭, ne dit-on pas la vérité sort de la bouche des enfants 😉). Pour autant, tout comme nous, ils peuvent mettre en place des stratégies de régulations émotionnelles au fur et à mesure de leur apprentissage :  💚 “Maman, j’ai trop mal au petit doigt de pied, je peux pas marcher !” >>>>>> Exagérer une douleur pour obtenir notre attention (un vrai jeu d’enfant) 💚”Même pas mal” >>>>>> Minimiser leurs émotions en retenant très fort ses larmes même si c’est évident qu’il est triste  💚”Merci pour ce joli cadeau” >>>>>> Avoir l’air joyeux alors qu’on est très déçu 💚”Je m’en fou” ou pas un mot >>>>>> Pocker Face !!! Les enfants gèrent leurs émotions bien plus tôt qu’on ne le croit…. Ils jouent un rôle parfois pour mieux comprendre le monde qui les entoure. Leur développement émotionnel reste cependant très lié à leur développement cognitif et la pleine conscience de soi. Le temps fait son œuvre Dès 6 ans, la régulation de leurs émotions est totalement liée à leurs capacités cognitives et au contrôle de leur attention. C’est pour cela que bien souvent, on est en droit de se demander si notre enfant n’aurait pas développé un TDAH, au regard des émotions vives qu’il ressent.  Nombreux seront ceux qui vont petit à petit ne plus vraiment demander de câlin à leurs parents, ne plus vouloir être amenés à l’école, développer une vie sociale plus fournie et se construire une jolie carapace. C’est cela même qui va leur permettre à l’adolescence de rechercher du soutien auprès d’un proche quand ils en auront besoin, ou de se distraire dans les moments difficiles avec de la musique par exemple.  La gestion des émotions n’est donc pas uniquement qu’une histoire de reconnaissance des émotions, mais aussi du développement complexe de l’enfant. Soyez patient, chaque enfant a un rythme bien à lui et progresse avec les interactions de ses parents et de son entourage. Faites preuve d’écoute et de conseil en instaurant des discussions régulières avec vos enfants.  [...] Read more...
11 mars 2025Ma pause de 8 minutes Quel parent n’a pas à un moment pensé dans sa tête : “Oh non, il recommence, j’en peux plus, je ne vais plus pouvoir gérer une crise de plus !” La fatigue + les enfants ne font pas bon ménage. Alors, si en plus, les crises de colère s’invitent à la maison… Et puis, il faut l’avouer, quel parent ne s’est pas senti totalement démuni et parfois même honteux (osons le dire) quand son enfant décide tout à coup de crier haut et fort en plein milieu d’une foule : “T’es nul”, “je veux pas y aller”, “tu me fais jamais plaisir”… Je commence à avoir des cheveux blancs, moi… Alors qu’on le sait, en tant que parent, on fait toujours du mieux qu’on peut pour apprendre à gérer ses émotions et le calmer, mais on n’a pas toujours les réflexes pour décoincer une situation de crise de colère.  Garder son calme, désamorcer la crise de colère incontrôlable et réagir de manière appropriée, voilà ce qu’on aimerait faire à chaque fois (mais nous sommes bien humains :)). Pour trouver la stratégie adaptée à la colère de notre enfant, il faut d’abord se rappeler que la colère est une émotion qui peut cacher bien d’autres émotions. Selon ses causes et l’âge de votre enfant, retrouver ici tous les conseils que j’applique au quotidien avec mes filles et qui ont porté leurs fruits au fil du temps !  Sommaire Quand les crises de colère cachent d'autres émotionsLa colère pour se décharger de la tension de la journéeLa colère pour s'affirmer devant papa et mamanLa colère liée à la frustration de ne pas y arriver, de ne pas savoir faireComment réagir face à une tempête de colère ?Rester à son écoute (pas si facile)Repérer la cause de sa colèreÉvacuer la colère1. Laisser la colère s'exprimer2. Lui apporter des outils pour sortir de sa colère3. Apaiser sa colère avec des motsLes conseils Slow Parenting pour diminuer les colères de votre enfantÉtablir une routine SlowUtilisez des livres sur les émotionsDes limites claires pour avancer ensemblePasser du temps ensemble pour mieux se connaîtreAméliorer sa coopérationConseils aux parents pour désamorcer une colère Quand les crises de colère cachent d’autres émotions Quand un enfant est en colère, il est important de reconnaître la raison de sa colère intense. En connaissant la raison, on va bien plus facilement réussir à désamorcer son agitation, ses pleurs et ses éventuels hurlements. Loi d’être un enfant terrible, le cerveau de notre enfant est en plein développement. Isabelle Filliozat a déterminé 3 types de colère qu’il me semble tout à fait pertinent de vous expliquer :  La colère pour se décharger de la tension de la journée Nos enfants, comme les parents, accumulent beaucoup de tension tout au long de la journée. Même bébé, on remarque souvent qu’en fin de journée vers 18h, un bébé peut passer plus d’une heure à pleurer. PS, ma petite astuce était de les prendre en écharpe de portage, blottie contre moi, elle ne pleurait plus. Mais, à tout âge, la fin de journée est souvent le moment où toutes les tensions, la fatigue et les problèmes de la journée ont besoin d’être exprimés.  Une de mes filles âgées alors de 7 ans revenait régulièrement de la maison en pleurant pour se décharger des émotions. Mais, il lui arrivait également de l’exprimer avec colère. Par exemple, elle pouvait se mettre soudainement à hurler alors que l’on était au goûter, juste parce que sa sœur gigotait un peu trop à côté d’elle. Un rien pouvait être un déclencheur de sa colère. De là, elle pouvait jeter des jouets, renverser son verre, courir dans sa chambre. Il n’y avait pas réellement de raison apparente.  La colère est ici utilisée comme un moyen d’évacuer la tension accumulée tout au long de la journée.  Finalement, en restant ouverte à la discussion, bien souvent elle évoquait des problèmes relationnels avec les copines et les copains, vécus dans la cour de récréation. La colère pour s’affirmer devant papa et maman C’est peut-être celle qui est la plus facilement repérable et courante. La phase d’opposition vers 2 ans et 3 ans “le terrible two” en est un exemple flagrant. On se demande d’ailleurs bien souvent comment un enfant de cet âge peut aussi bien nous tenir tête et nous désarmer par tant d’aplomb.  Par exemple, vers l’âge de 3 ans, une situation très courante est que l’enfant ne veut pas s’habiller. Alors qu’il faut partir à l’école, votre enfant a décidé que rester en pyjama, c’était quand même beaucoup plus confortable. (et il a un peu raison, avouons-le ;)). Mais, dans notre société, disons qu’aller en pyj’ à l’école, ça passe pas. Donc, on essaie de lui renvoyer le cadre et là, patatra, la colère arrive. Il tape, se roule par terre, croise les bras, court dans la maison, jette ses affaires… L’enfant cherche à affirmer qui il est et teste nos limites. Rien d’anormal non plus, ici.  La colère liée à la frustration de ne pas y arriver, de ne pas savoir faire Vous les voyez, les enfants qui ont le visage fermé, commence à bouillir intérieurement parce qu’il n’arrive pas à clipser ses legos. Après plusieurs essais, la frustration est trop grande et l’impatience de ne pas avoir réussi tout de suite, dans l’instant est insupportable. Par exemple, il arrive souvent à ma fille de 5 ans d’exprimer sa colère dès que je lui demande de ranger ses vêtements étalés sur le sol. Ce n’est pas qu’elle ne veuille pas le faire, oui, peut-être que ça vous étonne ! Elle veut bien le faire, mais elle pense qu’elle ne va pas y arriver ! Alors, elle commence à crier, se met en colère pour ne pas le faire. C’est étonnant du point de vue d’un parent, mais avec un peu d’accompagnement et en faisant avec elle régulièrement, j’arrive à lui montrer que finalement, elle s’en sort très bien et qu’elle n’a pas besoin de se mettre dans cet état. Souvent, ce sentiment de frustration est lié à l’incapacité ou le sentiment de ne pas être capable d’atteindre l’objectif qu’on leur a fixé ou qu’il se fixe. Comment réagir face à une tempête de colère ? Rester à son écoute (pas si facile) La colère fait partie des émotions et en soit, il est tout à fait normal qu’elle s’exprime. Mais, il est vrai qu’en tant que parent ou adulte, nous avons cette tendance à ne pas vouloir qu’elle s’exprime. Parce qu’il faut bien le dire, c’est très difficile d’écouter la rage, les cris, les hurlements parfois même de se prendre quelques coups par nos enfants qui se déchainent et s’agitent pour évacuer le trop plein.  Pourtant, en lui apportant de l’attention au moment où il nous rejette, nous allons lui donner le sentiment très important qu’on ne l’abandonne pas. Même s’il veut s’affirmer, prouver son autonomie, il est souvent judicieux de rester à son écoute (même si c’est derrière la porte).  Personnellement , j’adopte toujours cette posture de rester présente à leur côté même si parfois il lui faut un instant pour se retrouver seul dans sa chambre, je reviens toujours quelques minutes plus tard pour lui proposer mon aide dans la gestion de cette émotion vive.  La colère de votre enfant ne doit pas vous séparer, elle doit être traitée comme un symptôme. Il vous faut partir à la recherche de ce qui l’a causé. Repérer la cause de sa colère On l’a vu, il y a 3 causes principales qui peuvent soulever un raz de marée de colère : la frustration, l’affirmation et la décharge de tension. Mais, il y en a pleins d’autres :  la faim les irritations les abus les injustices la surcharge sensorielle notamment pour les enfants hypersensibles  l’anxiété le stress la mauvaise humeur Évacuer la colère  J’utilise toujours 3 étapes pour aider mes filles à évacuer leur colère.  1. Laisser la colère s’exprimer Oui, c’est difficile à entendre, à soutenir, mais écouter ce qu’il dit, regarder ce qu’il fait donne des informations précieuses sur sa détresse, sur les raisons de son mal-être.  Frapper, taper est souvent une agitation qu’il a besoin d’évacuer. Lui dire d’arrêter n’est à mon sens pas efficient. Donnez-lui la possibilité de se défouler dans un endroit au calme, sur un coussin, sur une feuille, sur de la musique… Il s’arrêtera de toute façon à un moment. Si vous tentez de tout faire pour qu’il ne s’exprime pas, c’est pour moi, une façon de lui montrer que sa colère dérange et qu’in fine il vous dérange.  2. Lui apporter des outils pour sortir de sa colère Vous pouvez tenter de créer un rituel qu’il peut utiliser à chaque fois que la colère arrive. Voici quelques idées :  respirer profondément 3 fois gribouiller sur une feuille danser sur une musique crier dans un bocal pour enfermer sa colère froisser du papier et en faire des boules qu’il jette taper dans un ballon, dans un coussin, lancer une balle crier de toutes ses forces proposer des techniques de relaxation (sophrologie) 3. Apaiser sa colère avec des mots Le but étant de faire preuve de patience, vous verrez rapidement qu’accompagner votre enfant dans cette émotion vive est très apaisant pour lui. Une fois la crise passée, il est important de prolonger votre lien et d’entamer une discussion. Comment te sens-tu ? Qu’est-ce qui t’a mis en colère ? Comment peut-on faire pour éviter que ça ne recommence ?  La colère est une émotion, il ne s’agit pas de montrer du doigt votre enfant en lui disant que ce n’est pas bien de se mettre en colère ou d’avoir tel ou tel comportement (comme taper). Il s’agit surtout que votre enfant repère l’agitation en lui, les signes qu’une colère arrive.  Souvent les enfants vont se mettre en colère, mais ils se rendront compte finalement que le sentiment premier de cette colère était la tristesse. Au fur et à mesure du temps, votre enfant va repérer de lui-même et nommer ses émotions ce qui empêchera plus tard qu’il soit dans le déni. La verbalisation est essentielle.   En réussissant à nommer ses émotions, vous redonnez à votre enfant un sentiment de contrôle qui l’apaise.  Les conseils Slow Parenting pour diminuer les colères de votre enfant Établir une routine Slow La routine apporte une stabilité pour les enfants. Quand les enfants connaissent leur emploi du temps de la journée, leur anxiété se réduit. Beaucoup d’enfants anticipent les jours à venir, connaître ce qu’ils vont faire est un soulagement. En établissant un calendrier 2025 clair, vous diminuerez les colères sur les sujets liés à “je ne savais pas qu’on ferait ça”, “tu ne me l’avais pas dit”, “moi, je ne veux pas faire ça“…. Utilisez des livres sur les émotions Les livres sont vraiment utiles pour comprendre ses émotions. Et, ça tombe bien, car nombreux sont les enfants qui chaque soir ont le droit à la lecture d’une histoire. Choisissez quelques ouvrages ci-dessus que j’ai utilisés et que les enfants ont beaucoup appréciés. Il est, par la suite, plus facile d’aborder une émotion en s’appuyant sur ces histoires. L’enfant se replonge dans son imaginaire et fait le lien avec ce qu’il vit.  Des limites claires pour avancer ensemble Un langage limite, répondre à ses parents, mordre, ça n’arrive pas qu’aux autres… Les enfants dépassent les limites et c’est une expression normale dans leur développement émotionnel. L’éducation des parents est un garde-fou pour donner les repères à son expression,  à ses idées farfelues parfois et à ses apprentissages.  Être à son écoute, ce n’est pas non plus accepter tout ce qu’il dit ou fait. Un enfant a besoin de savoir que taper sa mère est un comportement inacceptable. Il est de votre responsabilité de lui montrer quel comportement différent adopter pour qu’il soit acceptable.  Exprimer sa colère est entendable, faire du mal ne l’est pas.  Passer du temps ensemble pour mieux se connaître En favorisant une communication ouverte, les parents encouragent l’enfant à partager ses préoccupations et ses besoins. En dehors des crises de colère, vous pouvez créer des temps de qualité dédiés à l’écoute de votre enfant : prendre un temps pour prendre un petit chocolat chaud dans le salon 5 minutes en revenant de l’école dans sa chambre jouer avec lui le dimanche matin En communiquant régulièrement avec lui, vous allez renforcer sa capacité à entrer en relation par la communication et non plus par des crises de colère incontrôlables. Faites en une habitude, il sera d’autant plus sociable et développera une belle empathie auprès de ses copains et copine.  Améliorer sa coopération La colère est une émotion qui peut distendre les liens entre parents et enfants. En discutant et en prenant en compte son mal-être, vous renforcez le lien affectif et améliorez sa coopération.  De plus, si vous faites participer votre enfant à la vie quotidienne (mettre la table par exemple), il sera d’autant plus ancré dans la vie familiale et aura une plus grande considération de vos échanges. Il doit se sentir faire partie d’une tribu, un espace sûr où il peut s’exprimer sans crainte.  Conseils aux parents pour désamorcer une colère rester positif rester cohérent encourager son enfant pour ses efforts éviter les punitions rester calme : écouter, rassurer, expliquer valider ses émotions ne pas céder distraire parfois être présent pour renforcer vos liens de confiance trouver dans la mesure du possible un environnement de détente un peu d’humour !  Gérer les crises de colère des enfants n’est pas de tout repos ! Mais, je vous l’assure quand vous prenez le temps de les écouter, de comprendre leurs angoisses, leurs frustrations, votre lien n’en sera que plus fort. Et puis, parfois, ce ne sont pas les enfants qui sont en colère, mais les parents ! Pour éviter de passer au rouge, je vous donne toutes les solutions pour ne pas vous laisser emporter par votre colère. Sources : Geneviève Marcotte, psychologue à Montréal et Nathalie Couture, psychologue à Montréal. 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25 février 2025Ma pause de 6 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< C’est parti pour l’aventure chez papi et mamie ! Les plus petits prennent leur doudou quand les plus grands font déjà la moue. Partir en vacances chez les grands-parents, c’est une expérience qui fait grandir. Pourtant, nombreux sont les enfants qui se mettent à pleurer avant le départ pour ne pas se séparer de leurs parents. Savoir que maman ou papa ne sera pas là est une angoisse à laquelle ils n’ont pas envie d’être confrontés. Tous les stratagèmes sont bons pour éviter la séparation.  Alors, comment aider notre enfant à mieux vivre la séparation ? Est-il bon pour lui d’être séparé de ses parents le temps des vacances ? Quelles sont les petites habitudes qui vont lui permettre de passer bon moment sans trop penser à nous ?   Gérer ses émotions est plus facile grâce à une bonne préparation avant le départ en vacance en famille. Je vous donne tous mes conseils de slow parent pour adoucir la séparation, gérer la distance et l’absence et lui permettre de grandir en toute sérénité.  Se préparer pour gérer notre absence pendant les vacances Une bonne communication pour rassurer Les enfants n’ont pas toujours la notion du temps. Jusqu’à l’âge de 6 ans à peu près, les enfants ont dû mal à se repérer dans le temps. Dès que l’annonce du départ est faite, ils peuvent trépigner d’impatience et faire leurs bagages immédiatement… même si les vacances ne sont prévues que dans 2 semaines. Sans leur dire trop tard ou trop tôt selon leur âge, il vous faut trouver le bon moment pour vous permettre de préparer la séparation. Il n’y aura rien de plus compliqué pour un enfant qu’une séparation le jour même sans en avoir parlé avant ce qui serait vécu par lui comme un abandon. Le plus important est donc de communiquer avec votre enfant.  “Ma chérie pendant les vacances d’hiver, tu iras passer une semaine avec papi et mamie. “ Si des activités sont prévues, n’hésitez pas à lui en faire part, surtout si ce sont des moments en famille qu’il apprécie particulièrement.  Etre à l’écoute de ses émotions À l’annonce de cette future séparation, il y a souvent plusieurs réactions :  – il n’a pas du tout l’intention d’y aller et vous donne tout un tas de raisons “chez papi et mamie, ils n’ont pas la tv”, “je veux rester avec mes copains”...  – il saute de joie “Youpi, on va s’éclater” – il veut rester avec vous “maman, je veux rester avec toi” En tant que parents, ce sont parfois des mots difficiles à entendre. Si votre enfant ne veut absolument pas y aller, mais qu’il n’y a aucun moyen de faire autrement, préparer son départ est indispensable.  Les enfants aiment les routines bien préparées. Donnez-lui tous les éléments qui vont pouvoir le rassurer sur le trajet en lui-même. Qui va l’emmener ? Comment ? Avec qui ? Combien de temps ?  On plie bagage ! L’étape des bagages est essentielle pour lui permettre de mieux gérer votre absence pendant toute la période. Les enfants adorent sortir les valises et pourraient les remplir uniquement de tous leurs jouets et peluches. Selon l’âge de votre enfant, n’hésitez pas à le faire participer pour organiser les vêtements, petites culottes et chaussettes. Il sera moins perdu une fois arrivé dans la demeure familiale. N’hésitez pas à le laisser choisir les affaires qu’il préfère tout en veillant à ce que cela corresponde à la saison. En juillet, pas besoin de bonnet ;). Parents : on retient un peu ses larmes  L’angoisse de la séparation est souvent ressentie par les enfants, mais vous pouvez également appréhender de les laisser sur une longue période. Et, c’est tout à fait normal, puisque votre quotidien tourne autour d’eux. Même si vous avez le cœur un peu serré, il vous est nécessaire de garder votre calme devant vos enfants en étant positif. De votre côté comme du sien, la séparation permet d’expérimenter le manque et ses bienfaits. Même si la situation vous met dans un certain inconfort émotionnel, votre enfant n’est pas en danger. C’est une expérience de vie qui vous fera grandir tous les deux.  Oui, se séparer a du bon ! Partir en vacances sans ses parents a plusieurs points positifs pour l’enfant. Il accroît sa confiance en lui, gagne en autonomie, se libère de notre quotidien, dépasse ses limites, se sent responsabilisé… C’est l’occasion pour lui de grandir tout simplement en toute sécurité. Communiquer à distance pendant les vacances Le jour J : comment se dire au revoir ? Il y en a qui prenne la fuite d’autre qui passe des minutes interminables à faire des câlins et des bisous. Prendre la décision de partir, c’est acter la séparation. En ayant pris le temps de préparer le moment de la séparation, vous pourriez bien lui permettre de vous quitter sans trop de démonstration émotionnelle qui vous pique le cœur (même si on ne peut jamais vraiment tout prévoir). Mais, pour être au plus optimal, il est toujours bon de ne pas déposer ses enfants au pas de la porte de la maison des grands-parents et de partir aussi sec ! Prévenez vos enfants que vous ne resterez que 15 minutes, le temps de les installer, de prendre des nouvelles des grands-parents et que vous repartirez après par exemple. Les enfants doivent savoir ce qui les attend et ce qu’ils pourront faire au moment de la séparation. Vous pouvez aussi prévoir ce qu’il va se passer après vos embrassades : une sortie avec papi au parc, des activités, un repas… Ce sera également le moment idéal de leur transmettre les petits cadeaux anti-blues que je vous propose quelques lignes plus bas. L’usage du téléphone L’éternelle question : doit-on appeler nos enfants par téléphone ? Si oui, à quelle fréquence ?  De mon côté, j’ai souvent pensé que les vacances étaient là pour expérimenter l’absence du parent et aider l’enfant à grandir par lui-même. Les coups de téléphone n’étant réservés qu’à des moments où les enfants le demandent ou bien sûr, s’ils sont malades. Je crois qu’il faut faire preuve de souplesse en fonction de l’âge de vos enfants et de leur capacité à s’adapter à un nouvel environnement. Parlez-en avec les grands-parents pour trouver une heure adaptée dans la journée.  Mon conseil : privilégiez les appels téléphoniques avant l’heure du midi. L’appel du soir peut être compliqué à gérer. Les enfants peuvent être fatigués (vous aussi), leurs émotions sont un peu plus à fleur de peau et cela est d’autant plus gênant que l’heure du coucher est proche. Il sera plus difficile pour lui de trouver le sommeil si on lui rappelle l’éloignement de ses parents. Ainsi, le matin, vous pourrez évoquer avec lui les activités à venir dans la journée. S’il est plus facile pour lui “d’oublier” votre séparation en étant occupé par la suite.  On se retrouve ENFIN ! Le retour à la maison est attendu par les enfants, par les parents et là ce sont les grands-parents qui sont contents de souffler un peu ! 😉 Il est l’heure de se retrouver. On peut vite être décontenancé par le comportement de nos enfants quand une fois arrivé sur leur lieu de séjour, ils ne veulent plus en repartir ! Alors même qu’ils vous disaient vouloir rentrer tous les jours à la maison. Oui, mais maintenant, vous êtes là. Alors, vos enfants aiment vous montrer l’univers qu’ils se sont créé, les activités qu’ils ont faites, leurs progrès. Pour certains, le départ sera un peu difficile pour faire durer encore un peu les vacances. Ne le prenez donc pas pour vous, les grands-parents ont une place unique tout comme la vôtre. Les enfants peuvent être un peu nostalgiques de quitter un monde où les limites et les règles étaient un peu plus assouplies. Soyez attentif à reprendre votre rythme habituel en douceur, car les brutaliser avec un “c’est fini la fête” ou “ça va moins rigoler”. Les conseils Slow pour une séparation en douceur Parfois, le doudou ne suffit pas ! L’enfant a besoin de se rappeler de vous pour profiter pleinement de son voyage estivale. Voici quelques astuces que j’ai expérimentées pour donner un peu de baume au cœur à votre enfant :  Le sac de bisous Comme l’histoire de Zou, vous pouvez préparer des bouts de papier sur lesquels vous pouvez apposer votre baiser rougit par votre rouge à lèvres. Votre enfant aura le loisir de choisir chaque jour dans sa boîte à bisous, les petites marques de bisous qui peuvent sentir bon votre parfum pour accompagner son endormissement.  Le compte “dodos”  Reproduisez un calendrier fait maison pour compter les dodos avant de partir ou pendant leur séjour chez les grands-parents. S’il part 5 jours, prenez 5 pages blanches que vous attachez avec une grosse pince. Numérotez les de 1 à 5. Chaque jour, l’enfant décroche une page et peut y faire un dessin. À son retour, il sera heureux de vous montrer les 5 dessins qu’il vous aura faits pendant votre absence.  Tee-shirt, parfum, bracelet, photo Donnez à votre enfant un objet qui vous appartient et qui est pratique à transporter. Le tee-shirt est un grand classique de mon côté, car l’intérêt et qu’elles peuvent le mettre pour dormir la nuit. Vous pouvez y mettre un peu de parfum. Pour les plus grands, confectionnez avec eux un bracelet que vous garderez pour toute la semaine. Les enfants aiment ressentir votre présence à travers ces petits objets.  La carte postale Les cartes postales sont un petit signe d’amour très attentionné. Vous pouvez envoyer des cartes sur leur lieu de vacances. Personnellement, je glisse des cartes postales dans leur valise pour chaque jour de leur séjour avec un petit message d’encouragement “tu es mon rayon de soleil”, “je pense fort à toi”… Les enfants gardent les cartes près d’eux au coucher le plus souvent, ce qui les réconforte.  Les carnets à message Pour les plus grands entre 7 et 10 ans, vous pouvez expérimenter le carnet à message. Si votre enfant a un coup de blues, qu’il pense à vous et qu’il ne veut rien dire à ses grands-parents, offrez-lui un carnet à message : un cahier intime fermé à clef ou un petit carnet, peu importe. L’objectif de ce cahier est qu’il peut vous écrire dedans quand il en a besoin. Il pourra ainsi laisser aller ce qu’il a sur le cœur sans avoir à l’avouer directement à ses grands-parents. À son retour, vous pouvez lui proposer de feuilleter ensemble le cahier pour évoquer avec lui les émotions qu’il a ressenties et ce qui a été pénible pour lui. C’est une bonne manière de prendre du recul et de lui montrer qu’il a pu surmonter ses émotions.  [...] Read more...
21 février 2025Ma pause de 8 minutes ​ Encore une journée que vous n’avez pas vu passer ! Et pourtant, la fatigue est très présente, vous ne cessez de vous plaindre que vous n’avez pas le temps, que vous n’en pouvez plus. De retour à la maison, il vous arrive même de jeter l’éponge car vous vous sentez littéralement submergé par votre quotidien.  Être jeunes parents, c’est cumuler les nuits courtes, les journées bien remplies et de nombreuses décisions à prendre. Votre mental et votre physique peuvent être mis à rude épreuve si vous ne prenez pas rapidement en compte votre besoin de repos. Essentiel pour votre santé et votre bien-être, il est urgent de trouver des solutions pour offrir à vos enfants le meilleur de vous-mêmes.  Qu’est-ce que l’épuisement parental ? ses causes et les conséquences pour vous et pour vos enfants ? Que pouvez-vous mettre en place pour alléger votre charge mentale ? Y’a-t-il des règles éducatives à privilégier ? Quels sont les solutions pratiques qui vous permettront d’intégrer des moments de pauses dans votre quotidien ?  Oui, je vais répondre à toutes ces questions ! Maman, papa, let’s go, on change la dynamique familiale pour préserver son dos et ses neurones ! L’épuisement parental et ses conséquences Vous vous sentez au bout du rouleau ? Cela ne m’étonnerait pas que vous soyez au bord de l’épuisement parental ou que vous ayez déjà plongé dedans. père ou mère, tout deux peuvent à un moment donnée de leur vie se retrouver dans un état de fatigue extrême lié au stress. Ce n’est pas qu’on ne les aime pas nos enfants, c’est juste qu’ils ajoutent une dose de tension chronique chaque jour, chaque heure avec de nouvelles préoccupations qui s’additionnent aux nôtres.  Soyez attentif si vous ressentez une sensation de vide émotionnel, de perte de plaisir dans votre rôle de parent ou qu’un sentiment d’inefficacité vous submerge. Selon une étude publiée dans le Journal of Child and Family Studies, cet état d’abattement peut entraîner des conséquences graves. Vous êtes plus irritable, vous n’arrivez plus à nouer de lien avec vos enfants… il arrive même que cela déclenche une dépression.  Soyez vigilant à cette lassitude prolongée et lancinante qui se glisse tranquillement mais sûrement dans votre quotidien. Elle peut affecter vos capacités de prise de décision et affaiblir la gestion de vos émotions, augmentant ainsi le risque de conflits familiaux.  Reconnaître cet état de surmenage est une étape primordiale pour y remédier et mettre en place des solutions adaptées. Repérer les symptômes de l’épuisement parental Les causes de l’épuisement parental L’épuisement parental résulte souvent d’une accumulation d’inquiétudes (vite, vite), d’un manque de soutien ( non, je n’ai vraiment pas le temps) et d’une surcharge de responsabilités (une journée de 48h en 24h, c’est faisable, non ?).  Parmi les principales causes, on retrouve le manque ou la privation de sommeil, la pression sociale (parent perfectionniste, bonjour) et les attentes élevées en matière de parentalité (un enfant parfait n’existe pas, je suis vraiment désolé de vous l’apprendre même si je sais que ça soulagerait un peu votre conscience).  Oui, vous jonglez entre le travail, les tâches ménagères et l’éducation des enfants (et oui, c’est probablement plus difficile que de jongler avec 3 balles en mousse) sans prendre du temps pour soi et pour se reposer. L’absence de relais parental en semaine ou durant les week-end aggrave votre sentiment de solitude face à cette situation difficile. De plus, la culpabilité parentale et la peur de ne pas être à la hauteur poussent certains parents à négliger leur propre bien-être. Les mamans poules sont tellement admirables mais elles augmentent les risques de burn-out parental.  Le manque de sommeil, le nerf de la guerre “T’as pu dormir combien d’heures cette nuit ? Oh, entre deux tétées avec bébé, j’ai piqué du nez mais j’ai préféré garder les yeux ouverts, j’avais trop peur de louper son rot.”  Une étude publiée dans The Lancet Neurology en 2017 a démontré que le manque de sommeil chronique entraîne une réduction des fonctions cognitives, une diminution de la mémoire et une baisse de la concentration. Elle a également pu faire le lien avec un risque accru pour ces personnes de maladies cardiovasculaires, de diabète et d’affaiblissement du système immunitaire.  Alors, on file au lit maintenant ! Améliorer la qualité de votre repos a le pouvoir de maintenir votre équilibre émotionnel, mais aussi d’améliorer les capacités de prise de décision et de régulation émotionnelle. Selon une étude de la National Sleep Foundation, les adultes ayant un sommeil régulier et suffisant sont plus patients, plus à l’écoute et plus à même de gérer les défis quotidiens de la parentalité. Si, ça, ça donne pas envie de se trouver une bonne raison de pioncer. Pour prendre le temps de vous relaxer, découvrez tous les bienfaits de l’art de la sieste ! Stress et fatigue : la conséquence inattendue sur nos enfants On y pense pas forcément mais le stress et la fatigue peuvent également avoir des répercussions sur les enfants. Selon une recherche de l’American Psychological Association, les enfants sont sensibles à la nervosité de leurs parents et peuvent eux-mêmes développer de l’anxiété ou des troubles du sommeil. Ainsi, un parent épuisé peut, malgré lui, transmettre une charge émotionnelle négative qui va nuire à son propre enfant.  La dépression parentale : tout au bout du chemin S’occuper de toutes les choses du quotidien du matin au soir peut amener des parents à s’épuiser durablement. En état de détresse psychologique, ils manifestent une perte d’intérêt pour les activités quotidiennes, un sentiment de découragement et une difficulté à gérer leurs émotions. Pour lutter contre cette dépression, il est essentiel de partager ses ressentiments, d’en parler autour de soi à des personnes de confiance et de chercher de l’aide à domicile, que ce soit auprès de son conjoint, d’amis, de sa belle mère ou d’un professionnel de santé mentale.  ​Son bien-être en première ligne pour vivre heureux Il n’y a pas de miracle ! Cet épuisement parental, on en parle beaucoup mais il ne s’arrête pas du jour au lendemain comme par enchantement. Les parents sont les premiers acteurs dans la résolution de leur difficulté. Gérer l’épuisement parental, c’est avant tout être dans une démarche proactive et bienveillante envers soi-même. Mamans perfectionnistes *, il est essentiel de reconnaître vos limites et d’accepter que vous ne pouvez pas tout faire parfaitement. Prioriser son bien-être en instaurant des temps de repos et en déléguant certaines tâches est crucial.  Mettre en place des règles éducatives pour alléger la charge mentale L’éducation des enfants n’est pas de tout repos ! Pour mettre en place des règles éducatives, il faut être bien dans ses baskets et former une équipe de choc pour parer aux défis de nos petits chérubins. Pour s’alléger l’esprit, réfléchir à la manière dont vous allez diminuer votre charge mentale grâce à des règles éducatives claires et adaptées est l’action que vous devez vous donner en priorité ! A vous plus de temps de répit en perspective ! Encourager l’autonomie dès le plus jeune âge Apprendre aux enfants à ranger leurs jouets, à s’habiller seuls et à participer aux tâches domestiques réduit le poids de vos responsabilités et vous permet de souffler un peu. Et puis, les plus petits se sentent souvent valorisés et cela fédèrent les fratries entre elles pour s’aider mutuellement dans l’accomplissement de leur mission !  “Pat’patrouille, prêt à plonger dans l’action !” Établir une routine stable  Les enfants aiment les routines bien réglées et sans trop de surprises. Ca tombe bien, nous avons besoin d’une routine stable pour rythmer tranquillement la journée. Sans forcément établir de règles sur des horaires fixes (même si je vous laisse bien entendue la latitude d’en établir si vous en avez envie), l’enchaînement des petites choses du quotidien doit pouvoir s’établir dans un même ordre. Ainsi, on peut se donner comme tempo : devoirs, jeux, bains/douches, jeux, repas, jeux, dodo. Pendant que les enfants jouent, les parents peuvent se libérer des temps de pause. Avec ce type de routine, on alterne des instants plaisants à des moments plus contraignants, cela permettra aux d’instaurer un climat plus apaisé, bénéfique pour tous !  Des horaires fixes pour les repas, le bain et le coucher permettent d’éviter les conflits et d’instaurer un climat plus apaisé, bénéfique tant pour les parents que pour les enfants. Et si la routine n’était pas si mortelle ? Instaurer des temps calmes  Personnellement, j’utilise les temps calmes quasi quotidiennement. En dehors du fait de me laisser un petit temps de répit, c’est une excellente astuce pour aider les enfants à se réguler émotionnellement. C’est souvent une étape que j’impose gentiment après le bain lorsqu’elles sont bien excitées. Je leur demande d’aller dans leur chambre et de faire un temps calme. Elles connaissent désormais toutes les activités qui les y aideront tels que la lecture, le coloriage, la musique douce, le découpage, les puzzles… On canalise l’énergie de nos enfants et on ne s’expose plus à leur énergie débordante qui puise dans notre propre vitalité. Apprendre aux enfants à jouer seuls  Il y a bien sûr des périodes plus facile où les enfants gagnent en maturité mais vous pouvez leur donner l’habitude d’avoir des phases d’autonomie dans leur jeu. Etre constamment sollicité est épuisant d’autant plus si vous avez peu confiance en vos enfants. En donnant quelques petites responsabilités, en créant un endroit sécure pour y jouer et laisser libre court à leur imaginaire, vous allez leur permettre d’aller à la découverte d’eux-mêmes. Une vrai grande satisfaction.  Accepter de déléguer  Oui, votre entourage peut vous aider. Ce qui est important, c’est de toujours faire appel à des personnes qui seront bienveillantes envers vous-mêmes. Car, quand on est faible, on a vraiment besoin de pouvoir s’appuyer sur des gens de confiances et qui ne vont pas nous juger. S’entourer de parents qui ont le même vécu que vous peut être une bonne idée pour accepter de lâcher prise sur les limites que vous vous étiez fixées.  Par exemple, envisagez de laisser vos enfants se rendre à l’école à pied avec une autre maman proche de votre domicile peut vous faire gagner 10 minutes de calme. Des pauses et activités pour mieux se reposer Même avec une bonne organisation, il est crucial de prendre du temps pour se ressourcer. Voici quelques suggestions pour créer un espace de sérénité  : Les Micro-pauses  Souvent, on peut rêver de prendre de grandes vacances sans personnes. Mais, à vrai dire, il suffit souvent de se créer de petits espaces de tranquillité pour se reposer, même si ce n’est que quelques minutes. Une respiration profonde, une tasse de thé ou une pause en silence peuvent faire toute la différence. Le Sommeil Fractionné  Bébé dort mais ne fait pas ses nuits… On sait tous combien la vie de jeunes parents peut être épuisantes. Avec un peu d’entraînement, je vous conseille de faire une sieste de 10 à 20 minutes pour récupérer un minimum d’énergie. Dans votre lit, dans votre canapé, dans un coin zen au travail, chez la voisine… où vous vous sentez bien, prenez un bon coussin, un petit livre, une petite musique qui vous évade… vous n’y arriverez peut-être pas les premier temps, mais même sans dormir, c’est une aide précieuse pour détendre son corps et sa tête. Pratiquer la méditation ou la respiration consciente  C’est une pratique tendance et plus répandue depuis quelques années au sein des familles occidentales. Je pratique parfois des exercices simples de respiration avec les enfants ou de sophrologie. En quelques minutes de méditation, je diminue considérablement les tensions et retrouve un état de calme intérieur. A pratiquer si vous ressentez vivement le besoin de vous retrouver intérieurement. Sortir prendre l’air  L’oxygénation du cerveau est un soin en lui-même. Votre cerveau n’est pas fait pour travailler en non-stop. Il a lui aussi besoin de s’évader un peu pour se régénérer et retrouver sa vivacité. Ce qui est chouette, c’est que les enfants adorent aller dehors, alors il n’y a qu’à profiter d’une promenade en poussette, d’une sortie au parc pour améliorer son humeur et sa santé. Instaurer des moments de détente en famille  Avec nos rythmes de vie trépidant, nous avons cette fâcheuse tendance à penser que le temps avec nos enfants est une obligation, qu’il nous coûte plus qu’il nous apporte. Pourtant, en partageant des activités relaxantes, on apprécie de se détendre ensemble et de trouver un équilibre qui nous lie.  Faire du jardinage, lire un livre ensemble, cuisiner…  S’accorder du temps en couple ou entre amis  Et oui, bonne nouvelle, vous n’êtes pas QUE parent. Vous avez aussi le droit d’être juste femme, ou juste un homme. Recharger ses batteries, c’est aussi se retrouver soi-même en tant qu’individu. Sortir avec votre partenaire pour un concert, un spectacle, retrouver des amis…Tout cela ne peut pas être exceptionnel, il doit faire parti de votre vie de famille (sauf si vous avez une grande aversion pour tout ce qui peut vous faire plaisir). En voyant des parents épanouis, les enfants seront heureux de profiter de moment seul ou avec nounou.  Se reposer lorsqu’on a des enfants n’est pas une tâche facile, mais c’est une nécessité pour se préserver physiquement et mentalement. En vous regardant dans le miroir chaque matin, il est important de vous reconnaître et de ne pas vous abandonner à toutes les tâches qui vous incombent. Pour bien débuter vos journées, créez votre routine matinale bien être et préservez ainsi un espace temps serein dès le réveil.  Sources : APA : Burn-out Parental et Stress Le besoin de sommeil : pourquoi est-ce vital ? Mothers — and fathers — report mental, physical health declines [...] Read more...
15 février 2025Ma pause de 5 minutes Le mois de février passe vite, mais il est propice au partage en famille avec les vacances de février. Une expérience en pleine montagne, la Saint-Valentin, la Chandeleur, le Nouvel An chinois, Mardi gras et le carnaval de Venise sont des sources d’inspiration pour vous amuser avec vos enfants. Renforcez vos liens avec des activités manuelles, ludiques et amusantes en intérieur ou au grand air tout en prenant votre temps.  Quelles sont les activités créatives qui amuseront vos enfants pendant les vacances d’hiver? Quelles sont les idées de bricolage qui vont les occuper toute une après-midi sans avoir à acheter tout un tas de matériel ? Comment créer une ambiance de montagne à la maison quand on ne part pas en vacances ? Que faire quand on est coincé à la maison par mauvais temps ? Comment profiter des grands espaces quand il fait froid ? En piochant dans ces 20 activités enfants simples et créatives, vous allez créer des souvenirs chaleureux et qui toucheront en plein cœur les envies de sports d’hiver de vos enfants. On oublie un peu les jeux de société ordinaire pour opter pour des activités familiales slow life.   Chaque membre de la famille trouvera au moins une activité pour se détendre et ralentir pour le bien-être de toute la famille.   Les activités hiver à la maison : cocooning et créativité À l’occasion de la Chandeleur 1. Soirée contes et chocolat chaud   Le chocolat chaud est la boisson de l’enfance par excellence. Avec quelques petits chamallows, des coussins bien rebondis et une chaleur harmonieuse qui enveloppe chaque membre de votre famille, choisissez quelques contes ancestraux tels que les 3 petits cochons ou rigolos comme Eusèbe, le chat qui n’aimait pas les poils. Ces soirées sont l’occasion de partager un moment de douceur et de parler avec vos enfants des valeurs que vous souhaitez leur transmettre. 2. Faire sauter des crêpes Tous les enfants aiment les crêpes et les grands enfants aussi ! Qu’elles soient nature, au cidre, au rhum, à la bière, à la fleur d’oranger, aux agrumes, les crêpes sont délicieuses surtout quand on y met tout son cœur. Vos enfants quand ils sont assez grands pourront jouer à qui fera sauter la crêpe le plus haut. Fou rire garanti.  Pour fêter la St Valentin 3. DIY cartes de Saint-Valentin  À la St Valentin, les enfants aiment confectionner un petit cadeau pour leur parent. Et, le plus souvent, la première idée est un dessin. Proposez-lui des fournitures de loisirs créatifs qu’il n’utilise que rarement pour l’aider à donner vie à sa créativité. Ma fille adore les paillettes, alors je lui apporte des rubans à paillettes, de la poudre, des vernis pour qu’elles fassent briller sa carte de mille feux ! 4. Maman, papa racontez-nous votre histoire d’amour  La Saint-Valentin est le moment unique pour évoquer le souvenir de votre rencontre. Vous pourriez même leur montrer quelques photos, vidéos de ces moments qui vous sont propres.  5. C’est quoi l’amour ?  Parler en famille des grands sujets de la vie est une magnifique façon de transmettre l’importance de vos valeurs. Et, il est vrai que les enfants ont une façon très personnelle de voir l’amour. Certains pensent avoir plein d’amoureux, être amoureux de leur meilleure copine, d’autres trouvent cela dégoûtant. Une bonne soirée en perspective et peut-être des révélations, qui sait ? Pour se croire à la montagne sans y être 6. Manger une fondue savoyarde  Pour vous croire en pleine montagne au bas de la piste de ski, vous pouvez faire vous-mêmes une bonne fondue savoyarde. Ce sera pour vous l’occasion d’expliquer comment on fabrique un fromage ? Quelles sont les différences entre le Beaufort, l’Abondance, le gruyère de Savoie et le Reblochon ? Et puis, une fois les fromages bien fondus, les pics à la main, les enfants auront probablement l’idée d’un gage à celui qui perdra son petit bout de pain.  7. Snowstorm in a jar La neige n’est pas toujours au rendez-vous en hiver, surtout si comme moi, vous habitez dans le sud de la France. Les tempêtes de neige sont encore moins fréquentes, mais il est possible d’en créer une dans un bocal en verre. Avec quelques ingrédients tels qu’un Pot Masson, une huile pour bébé, de la peinture blanche, des brillants, de l’Alka seltzer et de l’eau, vos enfants vont être surpris par cette activité manuelle de tempête dans un bocal. 8. Faire de la neige artificielle S’il y a de la neige, bien sûr ! Sinon, des bonshommes en pâte à sel. Créer un bonhomme de neige de chez soi va étonner vos enfants. Mais, c’est tout à fait possible avec cette recette de neige artificielle. À vous de créer des flocons de neige ou des pistes de luge pour que l’hiver s’invite à la maison.  9. Patinage sur glace Une des meilleures sorties en famille l’hiver est de faire du patin à glace. La glisse fait partie des sports d’hiver accessible en plein air ou abrité. Débutant ou confirmé, votre kid va découvrir de nouvelles sensations à la patinoire qu’il n’est pas prêt d’oublier.  10. Partir au ski de chez soi En voilà, une activité manuelle simple et qui va occuper vos enfants toute la journée. Vos enfants peuvent créer leurs propres écoles de ski ou de randonnée raquette avec ce bricolage original. Il vous suffira d’un peu de cartons et de boîte à mouchoirs. Avec un peu d’imagination, les enfants voudront vite jouer au chien de traîneau ou à une balade en pleine nature avec leur nouvel accessoire d’exploration. 11. Observer les étoiles En hiver, le jour se couche bien plus tôt vers 18h. C’est donc idéal pour admirer les étoiles dans le ciel avec vos enfants avant qu’ils ne se couchent. Admirer le monde et profiter de la découverte de la vie nocturne en pleine nature est une expérience enrichissante pour tous les jeunes.  12. Cueillir des perce-neige ou autres fleurs hivernales  Le perce-neige est une plante herbacée vivace à bulbe, célèbre pour sa floraison précoce qui marque la fin de l’hiver et l’arrivée du printemps. En cette fin de saison, les paysages regorgent de fleurs qui se dévoilent dès que le froid se fait moins sentir. Des activités manuelles festives en hiver pour le Carnaval de Venise, Mardi gras et le Nouvel An chinois 13. Fabriquer des masques de Carnaval À l’occasion du Carnaval de Venise ou de Mardi gras, les enfants aiment se déguiser. Cette activité manuelle facile à créer vous permettra de créer une ambiance de fête à la maison pendant le goûter ou en fin de journée. N’hésitez pas à réaliser une exposition de leurs plus beaux masques pour qu’ils soient fière s d’eux. 14. Créer des lanternes chinoises faciles Tester la création de lanternes chinoises pour décorer la chambre de vos enfants. Quelques papiers de couleurs et un ciseau suffiront pour imaginer un espace magique, digne des plus beaux villages chinois.  15. Un dragon DIY  Organiser une activité accessible et amusante durant des ateliers créatifs avec les copains et copines pendant les vacances d’hiver est la solution à l’ennui. La création de ce dragon est facile à réaliser dans un endroit cocooning. Un coloriage rapide, parfait pour créer des histoires d’animaux insolites.  Activités en intérieur  16. Tracer un chemin en masking tape ou un parcours   ​Il pleut dehors et les enfants ont vraiment besoin de se défouler ! Avec le masking tape, vous pouvez inventer des parcours dans tous les lieux de la maison.  17. Créer un film imaginé par les enfants avec leurs jouets  Les enfants nous voient constamment avec nos téléphones portables. L’envie est grande de jouer avec. Donnez-leur la possibilité de filmer sous votre surveillance une histoire inventée avec leurs jouets !  Activités en extérieur 18. Chasse au trésor des couleurs  Observer la nature en hiver, ramasser des feuilles ou des pommes de pin en forêt est une source de bien-être pour les enfants. Les sorties en extérieur leur font le plus grand bien (à nous aussi d’ailleurs). On profite d’un lieu enchanteur pour revoir les couleurs. Une activité adaptée aux plus petits. 19. Faire une sortie en vélo ou en trottinette  Même en hiver, bien couvert, c’est agréable ! Une descente à pied, monter au sommet, à tout âge, on profite d’un voyage verdoyant dans les parcs et les paysages hivernaux. 20. Aller à la bibliothèque Trouver une sortie culturelle qui anime la curiosité de vos enfants. Aller au musée, au cinéma, à un spectacle, dans un château ou se rendre à la bibliothèque est une activité slow par excellence. Les lieux culturels que ce sont à Paris ou en province en France sont nombreux pour profiter pleinement de vos vacances. On propose aux enfants de découvrir des tableaux, des livres et des endroits magiques qui exacerbent leur imagination.  L’idée est de privilégier des moments simples et chaleureux pour ralentir ensemble. Laquelle vous tente le plus ? 😊 [...] Read more...
7 février 2025Ma pause de 11 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Véritable tendance en 2024 sur Pinterest, la méthode Inchstones, c’est l’idée de prendre le temps de remarquer et d’apprécier la façon dont votre enfant grandit et change. Une parentalité consciente et positive qui célèbre les petits pas du développement de votre enfant. Quels sont les impacts positifs de cette méthode slow qui va vous permettre de féliciter vos enfants et de prendre le temps de voir leur progrès ? Quelles sont les activités pour célébrer les inchstones et encourager leur motivation ? Quels sont mes conseils spécifiques pour les parents qui ont envie de donner de l’importance aux accomplissements de leur enfant ? La méthode Inchstone : célébrer les petits pas aussi La méthode éducative des “inchstones” (littéralement “pouces-pierres”) consiste à célébrer les petites étapes du développement de l’enfant. Utilisé d’abord pour des enfants ayant des troubles du développement ou des difficultés d’apprentissage, le parent se concentre les petites évolutions significatives plutôt que sur les grandes étapes traditionnelles. Toutes les petites joies quotidiennes peuvent être célébrées comme la perte d’une dent, une paire de chaussures mise à l’endroit, couper avec son couteau, casser des œufs sans en renverser… Tous les petits jalons qui permettront à votre enfant d’accéder aux plus grandes étapes vers l’autonomie que sont : faire un gâteau seul, savoir marcher, manger seul… “Une pierre de pouce est une petite chose que votre enfant n’a jamais faite auparavant qui parle de son développement,” dit Dr. Gordon. Aux Etats-Unis, des initiatives telles que le “Inchstone Project” développent des outils d’évaluation pour mesurer les progrès des enfants atteints de troubles du développement sévères, en se concentrant sur ces petites étapes significatives.  Les recherches sur l’éducation positive montrent que la reconnaissance des efforts favorise le développement de la résilience et de la persévérance chez l’enfant. Une étude de l’American Psychological Association (APA) confirme que des encouragements réguliers développent une meilleure confiance en eux et sont plus enclins à relever des défis. Une autre étude publiée dans le “Journal of Child Psychology and Psychiatry” explique que les enfants atteints de troubles spéciaux du développement et qui suivent une approche centrée sur les Inchstones ont une plus grande amélioration de leurs compétences sociales et académiques au regard d’une éducation standard.  Exemples de Inchstones (les petits triomphes du quotidien) : La 1re fois qu’il rampe sur le ventre La 1re fois qu’il colorie une image à l’intérieur des lignes 1er acte de gentillesse Termine un puzzle les premiers pas dans l’herbe savoir casser un œuf sélectionner les bons vêtements pour aller à l’école savoir mettre son manteau photos de bébé tous les mois,  mesure de sa taille contre le mur,  empreinte de mains… Les impacts positifs de la pratique des “inchstones” L’éducation positive impulsée par Thomas Gordon s’établit sur 4 piliers fondamentaux : une écoute active, l’affirmation de soi, la recherche de compréhension de l’autre et la gestion de conflits sans perdants. Cette pratique éducative a le bienfait d’impulser une dynamique enthousiaste basée sur les agissements positifs de l’enfant. “Inchstones peut montrer à votre enfant que nous accomplissons de grandes choses à travers de nombreuses petites étapes,” dit Dr. Gordon.   Grâce à votre sourire ou votre câlin à la suite d’une réussite de votre enfant, votre comportement va influer manifestement le comportement de votre enfant :  je renforce l’estime de soi : en célébrant les petites réussites, mon enfant ressent une valorisation constante, ce qui renforce sa confiance en lui. Il se sent valorisé. “Bravo, tu peux être fière de toi, tu as réussi à finir ce puzzle de 200 pièces toute seule” je le motive : la reconnaissance des efforts quotidiens encourage mon enfant à persévérer et à continuer à progresser. Je sais que lire ce texte était difficile pour toi, tu peux être fier de toi, tu as poursuivi tes efforts. je le reconnais dans son individualité : cette méthode permet d’adapter les attentes aux capacités spécifiques de votre enfant, en tenant compte de son rythme de développement. Il est vrai que les autres ont réussi à finir l’exercice avant toi. Tu es moins âgé qu’eux et pourtant tu as fait de ton mieux, tu as essayé et c’est déjà super.   L’importance est de souligner aussi les émotions positives qu’il ressent sur le moment d’avoir accompli une étape dans sa vie. On peut demander à son enfant “Comment tu te sens ?” afin qu’il prenne conscience de ces sentiments positifs et qu’ils puissent se rendre compte de l’impact positif de ces efforts. Soulever ces résultats sans tomber dans la performance de la réussite On pourrait vite être tenté de basculer dans une envie de célébrer le moindre accomplissement. Cependant, une attention excessive peut également avoir des retombées négatives. L’enfant peut se sentir oppressé par l’attention constante du moindre progrès.  Certains parents auront donc tendance à dire “Bravo” à chaque petit pas, ou à être bien plus enjoués voire surjouer leur enthousiasme. Cela peut devenir une pression supplémentaire et une attente pour ne pas décevoir le parent.  Petite anecdote, ma fille Lily n’aime pas que je la complimente quand elle fait quelque chose de bien. Quand je lui dis “bravo, ma chérie, tu as eu une super attitude envers ta copine”, elle me répond “maman, j’aime pas quand tu dis ça, je veux pas que tu me dises bravo”. Plusieurs hypothèses de mon côté, soit elle se sent gênée, intimidée par le compliment, soit elle ressent que si je la félicite, il sera possible que je la gronde aussi en cas de “mauvais comportement”, soit soulever ses bonnes actions, lui mets un stress supplémentaire, car elle va devoir maintenir cet effort.  Dans tous les cas, il me semble judicieux d’être à l’écoute de ce que nos enfants peuvent nous dire et des effets que nous induisons par le fait de célébrer leur succès.  Les activités pour pratiquer les “inchstones” Dans la mesure du possible, je pense personnellement qu’il faut rester dans une sorte de simplicité dans la réalisation de ces compliments. Je sais que beaucoup de sites pourront vous proposer de mettre en place des outils. Je suis de celle qui pense que les outils peuvent être utilisés temporairement, pour une période donnée afin d’encourager un effort en particulier. Votre enfant risque de se sentir surmené s’il doit atteindre des objectifs précis et évalués sur un tableau spécifique pour l’année. Trouvez le bon équilibre pour que cela reste un moment agréable qui porte votre enfant plus qu’il ne le contraint. Le journal de progrès Sur le même principe que le fait de demander “quel a été le meilleur moment de la journée”, je pense qu’on peut aisément demander aux enfants “quel a été ton meilleur progrès de la journée”. En le notant dans un petit cahier, vous aurez le plaisir ensemble de relire et de retrouver les plus beaux moments de sa vie et de la manière dont vous avez pu fêter son petit pas. La dose de câlin  Il ne serait pas judicieux à mon sens de donner des récompenses systématiques. Le développement de votre enfant est propre à son rythme. On ne pourra pas toujours demander les mêmes efforts à chacun, ce qui pourrait causer des frustrations importantes pour celui qui est en échec. Aussi, la plus douce des gratifications est un câlin ou un sourire. Les preuves d’amour sont les meilleures sources de reconnaissance. Les câlins motivent nos enfants à avancer à tout âge. Parfois, un petit bonbon, un petit mot, une sortie, un repas qu’il aime ajoute une touche spéciale au demi-anniversaire ou à la perte d’une première dent.  Tableau de récompenses  Personnellement, je n’utiliserai le tableau de récompenses que sur une courte durée et pour un défi bien spécifique. Je pense qu’il est clairement inadapté pour des étapes fonctionnelles du développement. Il semble pertinent de l’utiliser pour le lavage des dents par exemple afin de créer une habitude. Le tableau est à double tranchant, soit l’enfant se prend au jeu et visualise ses progrès en utilisant par exemple des autocollants, soit il n’arrive pas à s’y tenir et va engendrer une frustration et un échec. À vous de voir selon la personnalité de votre enfant. Conseils aux parents Célébrer les inchstones, c’est adopter une parentalité de l’instant. Apprendre, prends du temps, et le chemin est parfois long pour atteindre un objectif notamment quand l’enfant présente des troubles spécifiques (tdah, autisme,….). N’ayez pas l’envie de brûler les étapes, il s’agit surtout de célébrer les étapes auxquelles nous n’avons plus l’habitude de prêter attention.  Adaptez vos attentes au rythme de développement de votre enfant et reconnaissez les petites étapes qui peuvent parfois être bien plus significatives que les grandes. Les premiers pas, les premiers anniversaires, les premiers mots ont un sens particulier pour vous, mais pour lui, il s’agira peut-être plutôt de la première fois qu’il osera s’approcher d’un animal, toucher une plante, parler à un inconnu… Reconnaître ses efforts, c’est aussi reconnaître que ce que nous leur demandons peut être bien plus difficile que ce que nous pensons. En tant qu’adulte, il nous est facile d’effectuer le pliage du linge, ranger nos chaussures et se mettre en pyjama. Pour un enfant, effectuer ces tâches peut vite représenter une montagne qu’il s’imagine impossible à gravir. Encouragez-le même si pour vous cela ne semble pas insurmontable. On évite d’ailleurs l’écueil de la punition à répétition en ayant à l’esprit que nos enfants n’ont pas les mêmes facultés que nous. Pour finir, évitez les comparaisons inutiles entre enfants. Chaque étape de vie est une marche à monter pour l’enfant. Certains peuvent les monter 2 par 2 d’autres peuvent faire un pas en avant puis un en arrière. Soyez compréhensifs et accompagnez-le en fonction de ses capacités.  En somme, la méthode des “inchstones” offre une perspective différente en mettant l’accent sur les petites réussites du quotidien. Lorsqu’elle est pratiquée avec discernement, elle peut contribuer positivement au développement de l’enfant en renforçant sa confiance en lui et en valorisant ses efforts constants. Chérir les petites avancées peut aussi vous aider à ralentir un peu votre rythme en vivant dans le moment présent. Retrouvez mes 10 conseils pour ralentir le rythme pour mieux vous organiser et planifier votre vie selon vos propres priorités ! Traduction de l’article en Anglais The Inchstone Method: A New Approach to Positive Education Taking the time to notice and appreciate how your child grows and changes is the Inchstones educational method. Conscious and positive parenting that celebrates the small steps in your child’s development. What are the positive impacts of this slow method that will allow you to encourage your children and take the time to see their progress? ​The Inchstone Method: Celebrate the Small Steps Too The “inchstones” educational method consists of celebrating the small steps in the child’s development. Used first for children with developmental disorders or learning difficulties, the parent focuses on small, significant developments rather than on the traditional big steps. All the little daily joys can be celebrated like losing a tooth, a pair of shoes put on the right way, cutting with a knife, breaking eggs without spilling… All the little milestones that will allow your child to access the bigger steps towards autonomy such as: making a cake alone, knowing how to walk, eating alone… “A thumbstone is a small thing that your child has never done before that speaks to their development,” says Dr. Gordon. In the United States, initiatives such as the “Inchstone Project”inchstoneproject.org are developing assessment tools to measure the progress of children with severe developmental disorders, focusing on these small, significant steps. Research on positive education shows that recognizing efforts promotes the development of resilience and perseverance in children. A study by the American Psychological Association (APA) confirms that regular encouragement develops greater confidence in them and is more likely to take on challenges. Another study published in the “Journal of Child Psychology and Psychiatry” shows that children with developmental disorders who follow an approach centered on Inchstones have a greater improvement in their social and academic skills compared to a standard education. Examples of Inchstones (small daily triumphs): The first time he crawls on his stomach The first time he colors a picture inside the lines 1st act of kindness Completes a puzzle First steps in the grass Knowing how to break an egg Selecting the right clothes to go to school Knowing how to put on his coat The positive impacts of practicing “inchstones” Positive education driven by Thomas Gordon is based on 4 fundamental pillars: active listening, self-affirmation, seeking to understand others and conflict management without losers. “Inchstones can show your child that we accomplish great things through many small steps,” says Dr. Gordon. “ Through your smile or hug after your child’s success, your behavior will clearly influence your child’s behavior: I build self-esteem: By celebrating small successes, my child feels a constant sense of validation, which builds his self-confidence. He feels valued. “Well done, you can be proud of yourself, you managed to finish that 200-piece puzzle all by yourself.” I motivate him: Recognizing daily efforts encourages my child to persevere and continue to progress. I know that reading this text was difficult for you, you can be proud of yourself, you continued your efforts. I recognize him in his individuality: This method allows you to adapt expectations to your child’s specific abilities, taking into account his pace of development. It is true that others have managed to finish the exercise before you. You are younger than them and yet you did your best, you tried and that is already great. The important thing is to also highlight the positive emotions that he feels at the moment of having accomplished a milestone in his life. We can ask our child “How do you feel?” so that he becomes aware of these positive feelings and that they can realize the positive impact of these efforts. Highlight these results without falling into the performance of success We could quickly be tempted to switch to a desire to celebrate the slightest accomplishment. However, excessive attention can also have negative repercussions. The child may feel oppressed by the constant attention to the slightest progress. Some parents will therefore tend to say “Bravo” at each small step, or to be much more cheerful or even overplay their enthusiasm. This can become additional pressure and an expectation so as not to disappoint the parent. Little anecdote, my daughter Lily doesn’t like me to compliment her when she does something good. When I tell her “well done, my dear, you had a great attitude towards your friend”, she answers me “mom, I don’t like it when you say that, I don’t want you to tell me well done”. Several hypotheses on my side, either she feels embarrassed, intimidated by the compliment, or she feels that if I congratulate her, it will be possible that I will also scold her in the event of “bad behavior”, or bringing up her good actions, puts her under additional stress because she will have to maintain this effort. In any case, it seems wise to me to listen to what our children can tell us and the effects that we induce by celebrating their success. Activities to practice “inchstones” As far as possible, I personally think that we must remain in a kind of simplicity in the realization of these compliments. I know that many sites will be able to offer you to set up tools. I am one of those who think that tools can be used temporarily, for a given period in order to encourage a particular effort. Your child risks feeling overworked if he has to reach precise objectives and evaluate them on a specific table for the year. Find the right balance so that it remains a pleasant moment that carries your child more than it constrains him. The progress journal On the same principle as asking “what was the best moment of the day”, I think that we can easily ask children “what was your best progress of the day”. By writing it down in a small notebook, you will have the pleasure together of rereading and finding the most beautiful moments of his life and the way in which you were able to celebrate his small step. ​The dose of cuddles It would not be wise in my opinion to give systematic rewards. Your child’s development is specific to his own pace. We cannot always ask the same efforts from everyone, which could cause significant frustration for the one who is failing. Also, the sweetest reward is a hug or a smile. Proof of love is the best source of recognition. Hugs motivate our children to move forward at any age. Sometimes, a little candy, a little note, an outing, a meal that he likes adds a special touch to the half-birthday or the loss of a tooth. Reward chart Personally, I would only use the reward chart for a short period of time and for a very specific challenge. I think it is clearly unsuitable for functional stages of development. It seems relevant to use it for brushing teeth for example in order to create a habit. The chart is a double-edged sword, either the child gets caught up in the game and visualizes his progress using stickers for example, or he cannot stick to it and will generate frustration and failure. It’s up to you to see according to your child’s personality. Advice for parents Celebrating inchstones means adopting a parenting style of the moment. Learn, take your time, and the path is sometimes long to reach a goal, especially when the child has specific disorders (ADHD, autism, etc.). Don’t want to rush things, it’s mainly about celebrating the stages that we no longer pay attention to. Adapt your expectations to your child’s development rate and recognize the small steps that can sometimes be much more significant than the big ones. The first steps, the first birthdays, the first words have a special meaning for you, but for him, it may be more the first time he dares to approach an animal, touch a plant, talk to a stranger, etc. Recognizing his efforts also means recognizing that what we ask of them can be much more difficult than we think. As adults, it is easy for us to fold the laundry, put away our shoes and put on our pajamas. For a child, doing these tasks can quickly become a mountain that they think is impossible to climb. Encourage them even if it does not seem insurmountable to you. We also avoid the pitfall of repeated punishment by keeping in mind that our children do not have the same abilities as us. Finally, avoid unnecessary comparisons between children. Each stage of life is a step for the child to climb. Some can climb them 2 by 2, others can take one step forward and then one step back. Be understanding and support them according to their abilities. In short, the “inchstones” method offers a different perspective by emphasizing small everyday successes. When practiced with discernment, it can contribute positively to the child’s development by strengthening their self-confidence and valuing their constant efforts. Cherishing small steps forward can also help you slow down a little by living in the present moment. Check out my 10 tips for slowing down the pace to better organize yourself and plan your life according to your own priorities! https://www.huffpost.com/entry/inchstones-milestones-parenting_l_65bbe92de4b05c8779f852e3 [...] Read more...
31 janvier 2025Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Connaissez-vous le distracted parenting ? Cette tendance qu’ont tous les parents à regarder leur téléphone portable tout au long de la journée serait-elle la source de certaines difficultés de développement chez nos enfants ? Tentez d’inverser la tendance pour conserver le lien qui vous unit à votre enfant. Qu’est-ce que le distracted parenting ? Le « distracted parenting » traduit par « parentalité distraite » désigne l’utilisation excessive des appareils numériques et notamment le téléphone portable. En étant penchés sur leurs portables, la majeure partie du temps, ces parents réduisent considérablement la relation qu’ils ont avec leurs enfants. Et, il y a de quoi s’inquiéter puisque 65 % des Français admettent être totalement accro à leur portable (enquête ifop 2024). Le portable devient d’ailleurs une source de tensions pour 49 % des utilisateurs dans les foyers français. Et qu’en est-il de l’impact sur les enfants ? On entend souvent parler de l’importance d’un temps adapté sur les écrans pour les enfants, mais que font les parents ? L’impact du distracted parenting sur le développement des enfants Un parent distrait par les écrans est de fait un parent moins attentif à son enfant. Certains enfants vont attirer leur attention en faisant des bêtises, d’autres vont passer leur chemin et se débrouiller seuls et puis enfin, certains vont insister jusqu’à ce que leur parent relève la tête. Cependant, ce manque d’attention et de surveillance auprès des enfants a fait l’objet de plusieurs études qui relatent les impacts importants concernant le développement social, affectif et émotionnel de l’enfant. Brandon McDaniel, psychologue familial a étudié et inventé le terme de technoférence pour désigner les moments où les appareils technologiques entravent la communication dans la vie quotidienne. Des enfants à fleur de peau et des parents aussi L’étude américaine a montré que 50 % des parents admettaient que les écrans perturbaient au moins à 3 reprises dans la journée leur interaction avec leurs enfants. Et, c’est bien cette absence d’interaction qui peut causer des troubles du comportement chez l’enfant. La frustration laisse transparaître de l’énervement à travers des cris, des pleurs, une déprime, de la colère de ne pas avoir eu l’attention qu’il sollicitait. Il peut être plus susceptible de se sentir abandonné et indigne de ces parents. De la même façon, une étude dirigée par la pédiatre Jenny Radesky a mis en exergue la prévalence de comportement punitif sévère envers les enfants lorsque le parent utilise beaucoup son téléphone portable. Un manque d’interaction sociale De même, NBC New’s Brian Alexander a mis en avant que cette distraction parentale pouvait contribuer à des retards de développement de la parole et de la cognition. Les échanges visuels qu’un nourrisson a besoin pour se lier avec sa mère et son père ont également une incidence sur les repères sociaux de l’enfant. Un nourrisson a nécessairement besoin d’un contact dans les yeux de ses parents pour tisser un lien vital basé sur l’exemple. C’est la théorie de l’attachement de James Bowlby que je vous incite vivement à aller consulter si vous ne la connaissez pas. En bref, un enfant ne pourra construire des représentations mentales de lui-même qu’à travers les interactions avec un adulte grâce à ces soins, sa tendresse, ses réactions… Un défaut de surveillance Linda Blake et Ben Worthen ont démontré une corrélation entre l’augmentation des incidents de blessure au terrain de jeu des enfants et leur inattention liée à l’utilisation de technologie par les parents. Que faire pour éviter de tomber dans le piège du parent distrait ? Ne pas consulter son portable en présence des enfants serait probablement la meilleure idée ?! Mais, a-t-on vraiment cette envie dans un monde moderne où tout se passe à travers ce petit écran ? Peut-être qu’une première étape serait de se demander ce que nous y faisons ? Passer le temps, ne pas s’ennuyer, se donner un temps pour soi… Mes 5 conseils de Slow Parent pour se relier à son enfant sans écran : définir des plages horaires sans téléphone portable > 17h à 20h pas de téléphone portable à table > un repas en famille pour se raconter sa journée enlever les notifications intempestives qui donnent envie de toujours regarder son téléphone portable pas de téléphone pendant l’allaitement pour interagir avec bébé et reconnaître les signes de sa faim expliquer les effets négatifs du téléphone auprès de ces enfants Le distracted parenting a déjà fait l’objet de quelques études aux Etats-Unis. En France ce sujet est tout autant majeur tant l’utilisation du téléphone portable devient incontournable pour tous. Quelles sont les activités en famille que vous pourriez privilégier en hiver ? 20 Activités Enfants à faire en Janvier Sources Distracted parenting stats will get attention Are you distracted parent ? Is distracted parenting a problem [...] Read more...
26 janvier 2025Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Il existe de nombreuses manières de transmettre ses valeurs à ses enfants. Les courts-métrages pour enfant sont, pour moi, une douce façon d’aborder des sujets profonds de manière poétique. En tant que parents, nous n’avons pas toujours les mots pour évoquer des sujets sensibles, mais qui nous semblent essentiels pour que notre enfant puisse comprendre le monde dans lequel on vit. Pourquoi visionner des courts-métrages pour enfant est une bonne idée ? Ils sont souvent très courts Les courts-métrages sont des petits films d’une durée de 1 à 15 minutes le plus couramment. Nous savons aujourd’hui que les écrans sont néfastes pour la santé de nos enfants. Ce format de visionnage est donc parfait pour leur faire plaisir tout en évitant de les laisser scotchés à l’écran. La parentalité à l’épreuve du numérique >> Quel cadre poser auprès de ses enfants pour le téléphone portable ? Ils sont adaptés à tous les âges Les courts-métrages pour enfant sont souvent rigolos, parlent du quotidien des enfants, abordent des sujets tels que l’amitié, l’amour, la séparation, la jalousie, la différence… avec des animaux ou des enfants animés. C’est ainsi plus facile de regarder un film animé en évitant de montrer des images qui ne sont pas adaptées à l’âge de tous vos enfants. Ils sont poétiques et nous remplissent d’émotions Faire le choix d’un court-métrage pour enfant, c’est être attendri, sourire, se questionner, ressentir la douceur du moment avec des musiques et des bruitages qui accompagnent le scénario. Chaque court-métrage a une ambiance bien particulière qui ne vous laissera jamais indifférent. Chacun aura son préféré qui fera écho à sa sensibilité. Ils sont accessibles facilement sur les plateformes de streaming en ligne Les courts-métrages sont souvent des contenus gratuits. On les trouve sur des plateformes de streaming : Films pour enfants Brefcinema Lekinetoscope Vous n’avez plus qu’à choisir celui qui vous fait envie. Ils sont un bon début pour échanger en famille Les courts-métrages sont le format que je préfère, car ils permettent d’aborder rapidement un sujet de la vie du quotidien ou d’une difficulté que vos enfants peuvent rencontrer dans leur journée. Ces petites vidéos donnent plein d’idées aux enfants pour les aider à trouver des solutions à leur problème (et aussi aux parents). Une source d’idée à profusion pour accompagner nos enfants dans leur haut comme dans leur bas. Un petit rituel Quasiment tous les vendredis soirs, nous visionnons des courts-métrages. C’est devenu un rituel que nous adorons. Nous découvrons de nouveaux univers, des mondes imaginaires, des thèmes divers qui racontent le plus souvent le quotidien de nos vies, ses souffrances ou ses joies. Je me passionne pour ces moments de suspend où je vois mes filles des étoiles pleins les yeux, sursauté ou rires aux éclats. Elles vivent des émotions et je suis certaine qu’elles développent leur sensibilité et leur empathie. Nos 15 courts-métrages préférés Le renard et la souris Mes filles ne se lassent pas de ce court-métrage. La relation d’amitié qui se crée entre le renard et la souris au fur et à mesure des obstacles qu’ils rencontrent est sublimée par « l’ambiance » polaire. La maison démontable On pourrait penser que les films en noir et blanc ne sont pas du goût des enfants. Au contraire, elles adorent les films muets, car toutes les émotions sont bien plus visibles et les situations sont souvent rocambolesques. Fat Dans la catégorie humoristique, les plus petits adorent voir les animaux de la ferme devenir tout rond.  “Laika & Nemo” – by Jan Gadermann & Sebastian Gadow À la découverte de la mer et du scaphandre à travers une histoire d’amitié. Napo La relation avec les grands-parents est souvent abordée dans les courts-métrages. Napo est un film émouvant sur le décès d’un papi et des souvenirs qu’il peut laisser à nos enfants. Parler des émotions Les filles aiment beaucoup celui-ci, car comme le film vice versa, elles ont pu voir les émotions à l’intérieur du corps. La luna Comment aborder le cycle de la lune de manière poétique. Snack Attack Une belle leçon de partage et d’idées reçues sur les autres. On adore. Chien Guide Ils aiment Pat’patrouille, ils vont adorer ce chien qui tente de faire partie des chiens guides d’aveugle. Une bonne façon d’aborder le handicap visuel avec les enfants. Molly et son chat Oui, les enfants peuvent avoir des idées cruelles, mais il y a peut-être une raison cachée qu’ils n’osent pas dire… Hors piste Une bonne partie de rigolade 😉 Swing to the moon Vos enfants ont peur des araignées ? Ils ne vont plus les voir de la même manière avec cette petite araignée très craquante qui aimerait tellement atteindre la lune. Joy et Héron Le petit chien tout mignon qui va faire craquer vos enfants. Umbrella Quand un parapluie détermine toute une vie. Une étrange partie de dames Quelques secondes pour se divertir. Il n’y a plus qu’à organiser une petite soirée en famille pour visionner tous ces courts-métrages pour enfant qui vous plongeront dans un univers de rêve éveillé. [...] Read more...
10 janvier 2025Ma pause de 6 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< L’éducation d’un enfant est un vrai défi pour tous les parents. Mais que se passe-t-il quand les tensions sont si présentes en famille que les parents ressentent une profonde détresse psychologique. Le stress parental est une réalité qu’on a tendance à ignorer tant la société nous impose d’être un parent parfait. Pour autant, jongler entre les responsabilités professionnelles et familiales, gérer les comportements difficiles des enfants, et maintenir un équilibre personnel est une pression sans précédent pour les parents. En France, le phénomène est latent et nous pourrions bien avoir besoin de certaines astuces et conseils venus du Canada pour gérer au mieux ce nouveau fléau.  Stress parental : êtes-vous si seul à ressentir ce phénomène ? Le stress parental est un état d’épuisement physique et émotionnel lié au rôle de parent et de ses exigences. On sait qu’aux Etats-Unis, 70 % des parents ressentent un stress important dans leur rôle parental (source American Psychological Association en 2023). Mais, il faut dire que leur rythme de vie, leur culture de la performance, leur système financier amène un stress toujours plus important. 50 % des parents ressentent une grande culpabilité à ne pas passer suffisamment de temps avec leurs enfants. Ce n’est pas pour rien que le Slow Parenting soit né là-bas.  Et, pourtant, je connais un petit pays bien moins grand, mais tout aussi stressé. La France. Une enquête de Malakoff Humanis de 2023 a fait le constat que 62 % des parents actifs ressentent une fatigue intense due à leur double rôle. La charge mentale est un des symptômes les plus évoqués par 38 % des pères et 47 % des mères liées à l’organisation de la famille.  Quelles sont les sources de stress parental ? À la maison, vous avez remarqué à quel point vous pouvez être à fleur de peau. Mais d’où vient se stress qui vous pèse sur les épaules ?  Les attentes de la société sont une des causes invisibles qui poussent papa et souvent un peu plus maman à vouloir se conformer à la perfection éducative. Non, nous ne pouvons pas être parfaits, mais oui, nous nous obstinons à vouloir toujours faire mieux. Les réseaux sociaux débordent d’exemple d’injonction parentale qui nous donne l’image parfaite d’une famille sans souci… La charge mentale est bien évidemment de la partie puisque qui dit bébé, dit plus de responsabilités, dit plus de tâches à accomplir. La gestion des plannings, les tâches ménagères, apporter les soins au plus jeune âge, les emmener aux activités extrascolaires est une source majeure de fatigue mentale. Élever un enfant, ce n’est pas de tout repos. La situation est tendue à la maison, les tensions entre parents ou avec les enfants ne peuvent pas toujours être évitées. La sérénité familiale est souvent mise en péril par les conflits familiaux et ajoute une source de stress supplémentaire. Enfin, les soucis financiers peuvent également nuire à l’augmentation du stress parental.  C’est quoi l’indice de stress parental ? Les Canadiens ont souvent une longueur d’avance dans la recherche et l’analyse des comportements parentaux.  Le Parenting Stress Index (indice de stress parental) est une échelle de stress qui mesure le niveau de stress du parent.  Il est souvent utilisé pour les parents d’enfants de moins de 12 ans et dure environ 30 minutes. L’évaluation se porte sur : la dépression, le sentiment de compétence, l’attachement, la relation conjugale, l’isolement social, la santé du parent et les restrictions du rôle de parent. C’est un questionnaire établi par Richard R. Abidin, psychologue canadien qui a consacré une grande partie de sa carrière à l’étude des relations entre les parents et les enfants.  Malheureusement, en France, nous n’avons pas encore de version française… Et pourtant quand on sait que 65 % des salariés ressentent une pression élevée pour la gestion de leur vie familiale et professionnelle, on n’a probablement tort de s’en priver. (enquête de l’Observatoire de la Parentalité en Entreprise). Les Conséquences du Stress Parental Le stress a une incidence sur notre santé physique et mentale de parents, mais aussi sur le développement de nos enfants.  Symptômes pour les parents Face à un stress prolongé, les signes d’irritabilité deviennent des symptômes plus invasifs comme l’anxiété, la dépression et le burn-out parental. Mais, les problèmes physiques peuvent aussi être susceptibles d’apparaître allant de maux de tête, de douleurs,  aux troubles du sommeil jusqu’aux problèmes cardiovasculaires.  Symptômes pour les enfants Le stress parental a une incidence sur le développement des enfants qui peuvent développer des troubles du développement émotionnel tels que l’anxiété ou la gestion des émotions. Les tensions familiales se répercutent sur leur comportement et votre enfant peut faire preuve de plus d’agressivité ou au contraire devenir plus introverti.  Prévenir le burn-out, c’est avant tout s’écouter d’abord soi >>> Burn out : Savoir ralentir à temps ! 4. Comment vivre une parentalité plus sereine ? Être surmené, épuisé, entre le travail et la maison, vous ne vous en sortez plus… jusqu’à même penser baisser les bras. Mais, être parent, c’est un boulot à temps plein qui peut aussi apporter beaucoup de satisfaction. Mais quand les difficultés s’accumulent et reviennent tous les jours, il est difficile d’y voir clair.  Prendre une pause paresseuse Pour prendre une pause, il est nécessaire de se constituer un grand réseau de soutien social. Le service de garde peut dépanner, mais il est vrai que déposer vos enfants à des personnes de confiance vous permettra de mieux apprécier votre moment de solitude.  Un temps pour soi est nécessaire pour profiter d’activités personnelles qui vous procurent du plaisir. À trop vouloir donner de son temps aux enfants, on peut en oublier de se faire plaisir à soi. Et, c’est tout à fait recommandé pour éviter de se perdre dans les méandres du stress parental.   Gestion du Temps Trouver son rythme est une difficulté du quotidien. Être parent, c’est devoir respecter le rythme de nos enfants qui n’est pas le même que le nôtre.  C’est là on peut vite se sentir oppressé par les impératifs et le poids des responsabilités. Je n’apprécie pas particulièrement les plannings familiaux ou autres organisateurs. Oui, je comprends que pour certain(e)s, c’est utile. Mais, si vous avez l’habitude de me lire, vous savez que prioriser et apprendre à dire non est une action bien plus impactante que de passer son temps à écrire des listes et des listes qui nous feront juste sentir que nous ne sommes pas à la hauteur. Le partage des tâches avec votre partenaire est une bonne façon de s’alléger l’esprit et de la fatigue. Relâcher le contrôle sur les tâches domestiques est une première étape pour retrouver également des moments en famille. Passer le balai ensemble sur de la musique, c’est aussi savoir gérer son temps.  Petit conseil supplémentaire, si vous sentez que les imprévus ont pris le dessus dans votre journée, prenez quelques instants pour respirer et vous dire que la priorité, c’est votre bien-être et celui de vos enfants. Le reste peut attendre encore un peu.   La relaxation pour réduire son stress Les techniques de relaxation se sont développées depuis plusieurs années en France. Et, ce n’est pas un mal, car on en a bien besoin. La méditation et la pleine conscience ne sont plus à démontrer comme étant des pratiques idéales pour la gestion du stress et aller à l’encontre de vos peurs. En plus de remonter l’estime de soi, de redonner de la motivation et de détendre, la relaxation a un impact bénéfique sur nos problèmes de comportement. Vous apprenez à lâcher prise et à avoir plus de self-control.  Avec une pratique régulière d’activités physiques : yoga, marche, Pilates au mur, fitness… vos niveaux de stress baissent et vous retrouvez enfin la sérénité attendue pour bien vous occuper de vos enfants. Découvrez mon top 6 des applications de méditations gratuites ! La méthode de Lisa Hammett : transformer vos émotions négatives en positifs Après un épuisement professionnel, Lisa Hammett est devenue coach pour accompagner les personnes à retrouver un équilibre de vie sans stress. Voici une petite méthode toute simple qui consiste à frotter son index et son pouce pour créer une meilleure dynamique émotionnelle. Rejoindre des groupes de parents Parler de ce qu’on vit, décharger tout le poids de nos épaules à des personnes qui vivent la même chose que nous. On peut vite désamorcer une situation en s’entourant de personnes ou d’amis non jugeant et bienveillante qui sauront trouver les mots pour nous réconforter. En France, de nombreux coachs parentaux proposent leur aide pour faire face au stress d’être parent. Mais, c’est encore très récent et il est difficile de faire le premier pas tant ce n’est pas encore une pratique qui semble naturelle. Le parent doit assumer ses responsabilités, ce qui est totalement culpabilisant. On ne naît pas parent, on le devient. Trouver un thérapeute familial Il n’est malheureusement pas rare d’entendre des histoires de violences intrafamiliales liées à un stress croissant. Consulter un psychologue permet de mieux gérer les tensions et renforcer les liens familiaux. En France, des centres comme les Points Info Famille offrent des services d’accompagnement. Le stress parental peut vous amener à adopter des comportements qui impactent durablement votre santé. C’est un état qu’il ne faut pas négliger et pour lequel vous pouvez agir. La parentalité n’est pas un parcours sans embûches, mais avec les bons outils et un réseau de soutien solide, elle peut devenir une expérience enrichissante pour toute la famille ! Gérer ses émotions est devenu un sujet central depuis quelques années. Mais comment faire quand les émotions d’un enfant sont exacerbées ? Pensez-vous que votre enfant présente les signes d’un hypersensible ? Source : American Psychological Association OPE Malakoff Humanis [...] Read more...
8 janvier 2025Ma pause de 2 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Maman, j’aime pas mes cadeaux Mais, mais, tu as 1,2,3,4,5,6,7…xxxxxx jouets de Noël !!! “Oui, mais moi j’avais pas commandé ça,” “je voulais la batmobile avec les ailes” , “j’ai plein de jouets mais je m’ennuie !” Cette année, mes filles ont fait leur liste au Père Noël sans avoir de magazine sous la main. Ce fut une expérience enrichissante de voir que finalement elles avaient des envies simples (voir mon article “trop de cadeaux à Noël pour nos enfants ?) Et, donc, quand le Père Noël est passé, il avait rapporté des jouets, mais pas forcément ceux qu’elles voulaient. D’autant plus qu’elles avaient changé d’avis entre temps et que ce qui était marqué sur leur liste n’était plus d’actualité🤨 Bref, quelque temps après la découverte de leurs cadeaux, elles ont un peu fait la tête. Mais finalement, je l’ai bien vécu de mon côté… et je vous explique pourquoi. Sortir du consumérisme Nous avons demandé à notre entourage cette année de n’offrir qu’un seul cadeau par foyer et de préférence recyclé, d’occasion, mais pas neuf. Notre entourage a été surpris de voir qu’ils avaient pu trouver de jolis cadeaux tout en préservant leur porte-monnaie. Ils ont trouvé des jouets et jeux tout à fait appropriés et dans les thèmes que mes filles aiment : poupons, harry potter, pokémon, bracelets…  Nos filles ont été gâtées mais elles n’ont pas eu exactement ce qu’elles voulaient et ce n’est absolument pas un mal.  Oui, nous avons des rêves mais ils ne se réalisent pas toujours.  Voilà la leçon à retenir de ce Noël pour mes filles. Le principal c’est d’être ensemble, non ? Je n’ai pas envie d’acheter pour acheter parce que tout le monde le fait. Aujourd’hui par convention sociale, on se doit d’acheter LE cadeau qui est tendance mais en ont-elles vraiment besoin ? Est-ce que finalement, ne pas leur donner toujours ce qu’ils souhaitent, c’est leur permettre aussi de se donner les moyens à l’avenir d’accéder à ceux qu’ils souhaitent par eux-mêmes.  Il y a un lien fort, je pense, entre notre façon de consommer et notre état d’esprit à prendre en main sa vie. Quand tout tombe “tout cuit” dans nos mains d’enfant, sans avoir à faire d’effort, à l’âge adulte, on peut être étonné que nos ambitions ne se concrétisent pas si facilement. Il me parait important de transmettre à mes filles que nous avons des rêves mais qu’ils ne se réalisent pas tous. Que parfois, il faut s’en donner les moyens. Oui, Noël est fait aussi pour réaliser les rêves de nos enfants et je ne dis pas qu’il ne faut plus leur offrir de cadeaux qui leur feront plaisir. Mais, ce que je souhaite parsemer par petite touche dans leur vie, c’est l’importance du moment et du partage bien plus que l’objectif d’acquérir une possession. Et finalement… Finalement, nous avons pu constater quelques jours après Noël une étonnante découverte… En allant chez mes parents, quelques cadeaux de Noël étaient au pied du sapin. Les filles les ont remarqués mais n’ont pas voulu les ouvrir tout de suite. Elles souhaitaient attendre 5 jours de plus pour pouvoir les ouvrir avec leurs cousines.  Nos actes sont peut-être un peu à contre sens de ce que la société nous impose mais parfois, il faut savoir redonner du sens pour faire naître les valeurs de partage qui nous anime. 🦥Article tiré de la Newsletter de Janvier 2025 😉 [...] Read more...
1 janvier 2025Ma pause de 5 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< L’hiver est la saison du cocooning par excellence ! Mais, il faut tout de même occuper notre petite bande de chérubins qui débordent toujours autant d’énergie. Après l’effervescence des fêtes, janvier est un mois propice pour adopter une philosophie de vie plus lente, en phase avec le rythme naturel de la saison. Partager des moments de qualité en famille peut être revitalisant et renforcer les liens pour créer des souvenirs chaleureux malgré le froid extérieur. Je vous aide à transformer le mois de Janvier en un petit cocon de lenteur en famille avec ces 20 activités à faire avec les enfants. 20 Activités Enfants à faire en Janvier pour Ralentir en Famille Créer un mandala Laissez libre cours à votre créativité en dessinant ou en coloriant un mandala. Utilisez des feuilles blanches, des feutres ou des éléments naturels comme des branches, des feuilles et des cailloux pour en créer un. Cette activité favorise la concentration et apaise l’esprit. Une chasse aux sons Organisez une exploration sonore dans la maison ou dans le jardin. Fermez les yeux et écoutez les bruits autour de vous : le vent, un robinet qui goutte, ou même le ronronnement d’un chat. Une activité parfaite pour éveiller les sens et cultiver l’attention. Faire un puzzle Ressortez ce puzzle de 1000 pièces qui traîne dans un placard. Prenez le temps, en famille, de reconstruire l’image, pièce par pièce. C’est un exercice de patience et de collaboration qui encourage l’entraide. Le théâtre des ombres À l’aide d’une lampe de poche et de silhouettes découpées dans du papier, créez un théâtre d’ombres pour raconter des histoires. Les enfants adorent imaginer des scénarios et voir leurs créations prendre vie sur le mur. Ils peuvent s’amuser pendant des heures ! Créer des cartes de vœux personnalisées Vous pouvez choisir une jolie carte de vœux unique et poétique pour écrire vos plus beaux messages en vous aidant de citation inspirante. Pour les plus créatifs, utilisez du papier, des ciseaux, des stickers et des feutres pour créer des cartes de vœux uniques à envoyer à vos proches. Une belle manière d’allier créativité et générosité. Préparer une galette des rois Réalisez ensemble une galette des rois maison. C’est d’une simplicité ! 2 pâtes feuilletées, de la poudre d’amande, des œufs, une fève bien sûr et le tour est joué. Très économique, les enfants seront très contents de dessiner ce qu’il souhaite sur le dessus de la galette et de pouvoir se régaler une fois cuite. Créer un tableau de visualisation Encouragez chaque membre de la famille à découper des images ou des mots inspirants dans des magazines pour créer un tableau représentant leurs rêves et aspirations pour l’année 2025. Vous pouvez vous inspirer de mon vision board spécial Slow Parenting, c’est cadeau ;-). Faire la liste des plus grands rêves de 2025 Prenez le temps de discuter en famille des rêves pour l’année à venir. Chaque personne peut partager un ou plusieurs souhaits, qu’ils soient modestes ou ambitieux. Depuis toujours, je remets à jour ma liste de rêves et c’est d’ailleurs grâce à elle que le blog existe ! La respiration du dragon Initiez vos enfants à cette technique de relaxation amusante. Inspirez profondément en gonflant le ventre, puis expirez avec force, comme si vous souffliez du feu. Une façon ludique d’apprendre à gérer le stress et à faire sortir le trop plein d’énergie. Construire une cabane pour jouer au théâtre À l’aide de draps, de coussins et de chaises, construisez une cabane qui servira de scène. Les enfants peuvent improviser des pièces de théâtre ou rejouer leurs contes préférés. Et, c’est tellement mignon à regarder. Interroger papa ou maman : “Que pouvez-vous mieux faire ?” Encouragez un moment de discussion et d’introspection où les enfants posent des questions à nous parents. C’est une bonne façon de tenir ses bonnes résolutions pour cette nouvelle année et c’est plus motivant de savoir que nous pouvons nous améliorer au regard de nos enfants. Qu’est-ce que les enfants veulent apprendre ce mois-ci ? Demandez à vos enfants ce qu’ils aimeraient découvrir ou apprendre au mois de Janvier : une nouvelle recette, une chanson ou même quelques mots dans une langue étrangère. Vous pouvez organiser et planifier ces nouveaux apprentissages ensemble, le mercredi après-midi ou le weekend. A la fin du mois, vous pourrez leur montrer qu’ils ont grandi ! (et pour certains, ça n’a pas de prix). Dessiner le portrait de papa ou maman Les enfants peuvent s’amuser à réaliser le portrait des parents. Un moment drôle et touchant qui met en valeur la perception qu’ils ont de vous. Peu importe que ce soit beau ou pas, l’important est toujours de s’amuser (vous pourrez toujours faire leur portrait aussi ;)). Faire un goûter avec les peluches Les maisons débordent toujours de peluches ! Personnellement, j’essaie de limiter mais on dirait qu’ils se reproduisent tout seul. Préparez un goûter spécial et invitez les peluches préférées des enfants. C’est une activité simple mais qui stimule l’imaginaire des plus petits. Ils seront tellement contents que vous puissiez les inclure dans le quotidien de la famille. Organiser une bataille de boules de neige… avec des chaussettes Si la neige manque, improvisez une bataille de “boules de neige” en utilisant des chaussettes roulées en boule. Bien sûr, veillez peut-être à planquer quelques objets sensibles et cassables mais c’est un moment qui mettra tout le monde de bonne humeur. Créer une marelle avec du ruban adhésif L’hiver, il fait froid, il pleut, il neige même parfois… Le salon ou la salle de jeux peut devenir temporairement leur terrain de jeu en dessinant une marelle avec du ruban adhésif coloré sur le sol. C’est une manière ludique de permettre aux enfants de bouger, de sauter, de sautiller, à l’intérieur tout en les canalisant dans un espace. Préparer un plat en famille Impliquez tous les membres dans la préparation d’un repas. Chacun peut avoir une tâche spécifique, comme mélanger, couper ou dresser les assiettes. Le batchcooking est une super méthode pour cuisiner ensemble et s’alléger la charge mentale. Alors, on en profite pour embarquer les enfants et vivre un vrai moment de complicité savoureux. Lire une histoire avec toutes les voix de la famille Choisissez un livre et alternez les voix entre les membres de la famille. Ajoutez des intonations et des accents pour rendre l’histoire encore plus vivante. Les enfants se rappelleront de ce moment très drôle et c’est certain vous le redemanderont dès le lendemain ! Faire une soirée pyjama/dessin animé Ba oui, mais l’hiver, c’est aussi se prélasser et s’installez dans les coussins et sous les couvertures dans le salon, préparez du pop-corn et regardez ensemble un film ou un dessin animé. Les soirées cosy, c’est le top pour se détendre et apprécier un moment en famille. Dessiner les plus beaux souvenirs de 2024 Prenez des feuilles blanches et laissez chacun dessiner son moment préféré de l’année passée. Ces souvenirs dessinés peuvent être regroupés dans un album ou affichés dans la maison. Ces 20 activités offrent une véritable invitation à ralentir et à savourer les plaisirs simples de la vie en famille. Que ce soit à travers la créativité, le jeu ou la discussion, ces moments renforcent les liens tout en nourrissant l’imagination et le bien-être de chacun. Alors, pourquoi ne pas essayer de consacrer chaque week-end de janvier à l’une de ces activités ? Vous en ressortirez enrichis, unis, et prêts à accueillir la nouvelle année avec sérénité et joie. [...] Read more...
18 décembre 2024Ma pause de 4 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Chaque année, Noël arrive avec ses lumières scintillantes, ses sapins décorés et son ambiance chaleureuse. Mais cette période magique est aussi souvent associée à une frénésie de consommation. Les cadeaux s’empilent sous le sapin, parfois au point d’éclipser l’essence même de la fête. Comment réduire cette surenchère et revenir à des pratiques plus responsables ? Voici des pistes de réflexion pour un Noël plus authentique et respectueux. Trop de cadeaux : nos enfants sont-ils trop gâtés ? Vous savez comment j’ai compris que nos enfants n’avaient pas besoin d’une tonne de cadeaux à Noël. Je leur ai fait écrire leur lettre au Père Noël sans aucun magazine à disposition. Juste leur feuille et leur trousse de stylo et de feutres. Et voilà, le résultat ! Je crois que pour bien commencer Noël, il est important d’écouter nos enfants et pas les campagnes publicitaires qui brouillent les pistes et nous incitent à leur acheter des jouets qu’ils ne veulent pas vraiment. La surconsommation à Noël est souvent le résultat d’un marketing agressif avec des pubs dès le mois de novembre ! Et puis, souvent, on se dit que si l’on n’achète pas un « beau cadeau », c’est-à-dire un peu coûteux, cela ne reflètera pas la mesure de notre amour pour les enfants. Alors, que clairement, on le sait, on le dit et on l’a tous vu, ils adorent les cartons ! En plus de cette envie profonde de faire plaisir, un seul cadeau ne suffit souvent pas. Si l’on multiplie par le nombre d’invités à Noël, nous ne voyons plus nos enfants sous le sapin ! La quantité est aussi un aspect des dérives de la consommation. On n’achète plus un cadeau symbolique, on offre une abondance de cadeau pour montrer l’abondance de notre générosité. Sauf que, acheter de nombreux cadeaux à Noël (voir trop), c’est aussi accumuler des objets parfois inutiles (25 % des cadeaux offerts à Noël ne sont pas utilisés), avec un impact écologique élevé et une pression financière pour les parents et la famille qui pèsent lourd. Vivre la magie de Noël avec éthique et responsabilité Il ne s’agit pas de ne plus offrir de cadeaux, mais plutôt d’y réfléchir à deux fois 😉 Des cadeaux utiles pour les enfants Vos enfants ont des passions et des envies de découvertes. Les jouets les amusent, mais ils peuvent rapidement se retrouver de côté ou au fond du coffre à jouets. Aussi, vous pouvez miser sur des activités en extérieur, des expériences qu’ils n’ont pas encore vécu et qui vous permettront de vivre un moment en famille. Voici quelques idées : des places de cinéma des places pour un spectacle une sortie dans un parc d’attractions/animalier un stage de découverte (magie, sciences, poney..) une sortie dans un musée Trouver des alternatives écoresponsables Les cadeaux pour vous, c’est sacré ! Alors, oui, mais vous pouvez trouver de quoi vous faire plaisir en choisissant des cadeaux d’occasion. Merci le boncoin, vinted, les vide-greniers… parce qu’il y en a des jouets de très bonnes qualités, qui fonctionne parfaitement et qui sont à des prix défiants toutes concurrences. En achetant des jouets recyclés, vous réduisez votre impact écologique. Repensez l’emballage Les enfants adorent les gros cadeaux ! Alors, on peut se faire plaisir avec la taille du carton qu’on utilise ! Et pourquoi pas, emboités des cartons dans des cartons à la manière des poupées russes, pour qu’ils découvrent finalement leur cadeau d’une taille réduite. Pour réduire les déchets des emballages cadeaux, n’hésitez pas à réutiliser des sacs cadeaux ou des tissus réutilisables. Les jolis rubans en tissu sont une belle touche d’élégance que les enfants aimeront dénouer. Si vous êtes un adepte du papier cadeau, le papier kraft recyclable est celui que vous devrez privilégier. Sensibiliser les enfants Noël est souvent une période où les enfants reçoivent un nombre excessif de cadeaux. Personnellement, j’explique à mes filles qu’elles peuvent demander 3 cadeaux au Père Noël. Plus ils avancent en âge, plus je les oriente vers des cadeaux utiles plus que des jouets. Il est important pour nous aussi de les encourager à faire leur propre cadeau, des petits dessins pour la famille, ça fait toujours plaisir ! L’objectif est de leur montrer que les enfants peuvent également donner et non pas uniquement recevoir des cadeaux. Le minimalisme trouve sa place à Noël Bien sûr que quand on pense au repas de Noël, avec les multiples entrées, la dinde, les bûches… le minimalisme n’a pas l’intention de s’inviter à table. Mais, les moments partagés ensemble sont ce qu’il y a de plus précieux. Le minimalisme peut tout de même s’appliquer dans les gestes que l’on partage. Créer des moments conviviaux, faire des activités ensemble comme aller au marché de Noël ou jouer à des jeux de société, c’est se concentrer sur l’essentiel. On recherche le partage et ce qui est porteur de sens. Les cadeaux que vous offrirez vont répondre à l’envie et au besoin de la personne qui le reçoit. Et puis, bien évidemment, on prend le temps de ralentir et de savourer tous ces beaux moments. Les aspects positifs d’un Noël plus responsable En réinventant Noël et en réduisant les cadeaux, vous allez diminuer votre stress. Fini la course aux cadeaux qui sont en rupture de stock ! C’est un beau geste aussi pour la planète qui n’aura pas à supporter le poids des déchets et des émissions carbone supplémentaire. Et le plus beau des cadeaux bien sûr, c’est de redonner toute sa place à l’amour, au partage et à la gratitude plus que les aspects matériels 😉 Faire de Noël une fête responsable n’implique pas de renoncer à la joie et à la générosité. Il s’agit plutôt de transformer nos habitudes pour qu’elles reflètent mieux nos valeurs profondes. En réduisant la surconsommation, nous contribuons à préserver l’environnement tout en renforçant les liens avec nos proches. Et si, cette année, la magie de Noël ne se trouvait pas sous le sapin, mais dans les moments passés ensemble ? [...] Read more...
3 décembre 2024Ma pause de 5 minutes L’écopsychologie, née à l’intersection de la psychologie et de l’écologie, explore le lien profond entre les êtres humains et la nature. Elle propose une vision holistique qui reconnaît l’interdépendance entre la santé psychologique individuelle et la santé de la planète. Dans un monde en proie à des crises environnementales et sociales, cette discipline émerge comme une voie pour renouer avec la Terre, restaurer le bien-être collectif et redécouvrir notre rôle dans le tissu du vivant. Qu’est-ce que l’écopsychologie ? Aujourd’hui, on parle beaucoup d’écologie et de psychologie. Mais saviez-vous qu’il existe un terme popularisé dans les années 1990 par Theodore Roszak ? Cet historien et auteur américain de The Voice of the Earth a mis en lumière les racines psychologiques de la crise écologique. Notre dépendance à la Terre et à sa nature a amené l’homme à dégrader son propre environnement. En découlent aujourd’hui de nombreux troubles psychologiques que nous vivons : burnout, dépression, addictions, violences, perte de sens, écoanxiété, désespérance, culpabilité, sentiment d’impuissance… Les penseurs de cette approche humaniste et environnementale Theodore Roszak a mis en exergue le lien entre l’écologie et le bien-être personnel. D’autres philosophes ont participé également à démontrer l’interdépendance de ces deux entités.    Arne Naess, fondateur de l’écologie profonde Ce philosophe norvégien et fondateur du mouvement de la “deep ecology” (écologie profonde) plaide pour une reconnaissance de la valeur intrinsèque de tous les êtres vivants. L’objectif pour lui est de tendre vers une autonomie locale en développant les potentialités de chaque personne. L’écologie ne concerne pas seulement la crise environnementale, mais suppose un changement de conscience. Joanna Macy, une méthodologie pour se reconnecter à notre Nature Ecophilosophe et militante, Joanna Macy est connue pour son travail sur le “Travail qui Relie” qu’elle a expliqué dans son livre intitulé « Ecopsychologie pratique et rituels pour la Terre ». C’est une méthode qui permet à la personne de se reconnecter émotionnellement au vivant dans sa globalité pour surmonter ses peurs et agir face à la crise environnementale. Howard Clinebell, la naissance de l’écothérapie Auteur de Ecotherapy: Healing Ourselves, Healing the Eart en 1996 qui explore l’utilisation de la nature comme un moyen thérapeutique pour guérir des troubles mentaux. L’écothérapie est indiquée pour traiter l’angoisse, la dépression, l’anxiété et le stress. Elle se pratique par des méditations en pleine nature, des activités horticoles, des activités en plein air ou encore la connexion avec les animaux. Tous ces penseurs partagent une vision commune : la séparation entre l’homme et la nature est une source de souffrance. La réconciliation avec le monde naturel est essentielle pour notre équilibre psychologique et écologique. 5 valeurs fondamentales de l’écopsychologie Grâce à notre éducation, nous avons la possibilité de transmettre les valeurs de l’écopsychologie à nos enfants. C’est une chance de les sensibiliser à la nature pour leur permettre de vivre pleinement en harmonie avec elle et les aider à ressentir un bien-être psychologique.   Un lien fort et inséparable entre l’homme et la nature L’écopsychologie affirme que les êtres humains ne sont pas séparés de la nature, mais qu’ils en font partie intégrante. Nous sommes une seule et même entité. En ayant un impact négatif sur notre environnement, nous avons également un impact négatif sur notre propre bien-être. En ayant conscience de ce lien, nous pouvons restaurer une relation saine avec la Terre. Les petites et grandes bêtes sont irremplaçables En observant la nature autour de nous, nous prenons conscience qu’elle a un impact important sur nos vies. Petite anecdote, depuis que j’ai créé un potager dans mon jardin, j’ai pris conscience de l’importance de préserver cette biodiversité. En effet, chaque bourdon et autres abeilles butinant mes fleurs ont permis de faire naître de beaux légumes. Les êtres vivants et les écosystèmes possèdent une valeur unique, irremplaçable par l’homme. Sans elle, nous ne serions tout simplement pas vivants. Ayons une attitude de respect et d’humilité envers toutes les formes de vie. Se plonger en pleine nature La nature est belle et de nombreuses personnes la regardent à travers un écran. En sortant dehors pour profiter de ces bienfaits, nous pouvons ressentir sa beauté, sa complexité et sa puissance. L’écopsychologie incite à s’immerger dans le vivant pour ressentir les interactions qu’elle nous propose. Se relier en pleine conscience avec notre environnement Depuis des centaines d’années, nous cherchons à nous protéger de la nature avec nos habitats. La modernité a exacerbé cette invitation à se créer une bulle protectrice qui sépare de notre lien avec la nature. L’écopsychologie cherche à guérir cette fracture en aidant les individus à reconnecter leur psyché avec le monde naturel. Agir pour son bien-être, c’est agir pour la planète En favorisant cette prise de conscience que notre bien-être est lié à notre perception de l’environnement, l’écopsychologie incite le monde à protéger la planète. De façon collective, les actions ont des impacts cruciaux pour préserver l’essence de nos vies. 5 activités pour intégrer l’écopsychologie au quotidien Adopter les principes de l’écopsychologie ne demande pas nécessairement de bouleverser son mode de vie. Voici quelques idées pour cultiver un lien plus étroit avec la nature : 1. Créer des espaces verts personnels Transformez un coin de votre maison ou jardin en un sanctuaire naturel. Plantez des fleurs ou cultivez des légumes. Prenez le temps d’une pause chaque semaine pour explorer un parc, une forêt ou une plage. Observez la texture des feuilles, les sons des oiseaux, ou le mouvement des vagues selon l’endroit où vous vous trouvez. Fabriquez des boules de graisses pour les oiseaux est une activité simple et ludique à faire avec les enfants pour attirer les oiseaux près de chez vous. 2. Passer du temps dans la nature En créant des espaces de nature, vous pourrez plus facilement pratiquer l’écothérapie. Des études montrent que ces activités peuvent réduire le stress, améliorer l’humeur et renforcer la résilience psychologique. Les bains de forêt (shinrin-yoku) sont notamment très prisés par les Japonais. Certaines pratiques plus spirituelles renforcent aussi le lien entre l’homme et la Terre et le sentiment d’émerveillement et de respect pour le monde naturel. Le Yoga qui signifie unicité est une pratique globale qui englobe ses valeurs universelles. Une petite balade en forêt ou au bord d’un canal avec les enfants est un moment privilégié en famille qui donnera une sensation d’apaisement pour tous. 3. Participer à des initiatives écologiques locales Engagez-vous dans des projets communautaires, comme la plantation d’arbres, le nettoyage des plages ou la création de jardins collectifs. Ces activités permettent de tisser des liens avec d’autres personnes tout en contribuant à l’environnement. C’est une excellente façon d’éviter l’écoanxiété en vous mobilisant pour des actions qui vous tiennent à cœur. Avec les enfants, vous pouvez prendre des gants et faire le tour du quartier, il n’y a qu’à se pencher pour ramasser les détritus jetés au sol. C’est une bonne façon d’apprendre à son enfant à jeter les papiers dans les bonnes poubelles. (je l’ai testé et approuvé 😉) 4. Réduire son empreinte écologique L’écopsychologie nous rappelle l’importance de protéger la Terre. Faites des choix respectueux de l’environnement, comme réduire la consommation de plastique, privilégier les transports doux et opter pour une alimentation durable. L’éducation à l’écologie auprès des enfants passe également par l’apprentissage de gestes simples. Fermer le robinet pendant qu’on se brosse les dents est déjà une première étape à faire avec les enfants 😉. 5. Méditer en pleine nature Il n’y a pas mieux pour ralentir et s’immerger dans le présent que des exercices de pleine conscience. La méditation est une pratique de connexion profonde avec soi-même et avec notre environnement. Essayez de méditer en plein air pour mieux vous connecter aux rythmes naturels. Concentrez-vous sur votre respiration et sur les sons environnants. Vous pouvez tester une application de méditation gratuite pour libérer votre mental. L’écopsychologie est peu évoquée comme principe fondamental, mais il est certain que cette discipline offre une perspective essentielle au monde de demain. En cultivant une relation consciente et respectueuse avec la nature, elle peut non seulement guérir les blessures psychologiques des individus, mais aussi inspirer des actions collectives en faveur de la planète. Nous devons aujourd’hui repenser notre relation à la Terre grâce à une éducation tournée vers la nature comme partenaire et alliée de nos futurs projets. C’est un appel à redécouvrir notre humanité en embrassant pleinement notre appartenance à la Terre. [...] Read more...
26 novembre 2024Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Avec l’arrivée de l’hiver, les oiseaux dans votre jardin ont besoin de faire le plein d’énergie pour résister au froid. Fabriquer des boules de graisse avec vos enfants pour les nourrir est une idée toute simple qui va grandement les aider à passer l’hiver sans trop de difficultés. Le plus, vous pourrez continuer à les observer picorer les graines bien au chaud dans votre intérieur. Quelles sont les meilleurs graines et comment créer une boule graisses très appétente ? Je vous dévoile mes petits secrets. Pourquoi nourrir les oiseaux en hiver ? En hiver, les ressources naturelles comme les insectes et les fruits deviennent rares. Les oiseaux ont besoin d’une alimentation riche en graisses et en protéines pour maintenir leur température corporelle. Les boules de graisse sont composées d’un mélange de graines et de matière grasse dont il raffole. De plus, c’est une superbe activité de slow parenting à faire avec vos enfants. Vous allez prendre soin de vous connecter à la nature et à ses besoins. C’est une bonne manière de faire prendre conscience à vos enfants de la biodiversité qui vous entoure et de votre impact sur sa bonne santé. Les ingrédients nécessaires Voici ce dont vous aurez besoin pour fabriquer vos boules de graisse : De la graisse : j’utilise de la margarine pour rester dans le côté végé pour les oiseaux qui ne sont pas carnivores 😉. On peut aussi utiliser de l’huile de coco qui fige avec le froid. Graines et fruits secs : Tournesol : Les graines de tournesol (avec ou sans coque) sont très appréciées par les mésanges, moineaux et chardonnerets. Evitez de prendre des graines salées. Millet : Une option idéale pour les moineaux et les bruants. Arachides non salées : Riche en graisses, les arachides sont un excellent choix. Maïs concassé : Il convient aux pigeons et aux étourneaux. Avoine et orge : Ces céréales attirent de nombreuses espèces. Fruits secs : Les morceaux de raisins secs, de baies ou d’autres fruits secs ajoutent une touche sucrée qui attire des oiseaux comme les merles et les grives. Fabriquer des boules de graisses, c’est simple comme un jeu d’enfant ! Mélanger les graines et le beurre végétal : Dans un bol, mélangez vos graines et fruits secs choisis. Ajoutez progressivement la graisse en remuant pour bien enrober les ingrédients. Façonner les boules : Formez des boules avec vos mains ou pressez le mélange dans des moules à muffins ou des emporte pièces. Insérer une ficelle : Si vous voulez suspendre les boules, placez une ficelle ou un filet au centre du mélange avant qu’il ne durcisse complètement. Laisser durcir : Placez vos boules au réfrigérateur ou à l’extérieur (s’il fait froid) pour qu’elles se solidifient. Pour plus d’efficacité, vous pouvez faire chauffer la graisse pour qu’elle durcisse plus. Où placer ces boules de graisses pour que les oiseaux se ruent dessus ? Alors, nous on a récupéré des vieux nichoirs que la voisine ne voulait plus dans son jardin. J’ai fait une découpe pour faciliter l’accès des oiseaux à l’amas de graines et de graisses. Je l’ai positionné en hauteur sous notre paillotte pour éviter que d’autres prédateurs de types “pie” ne viennent tout engloutir. Les mésanges se régalent et nous aussi depuis notre fenêtre. J’en ai également installé un autre dans notre potager dans la haie car les oiseaux adorent s’y prélasser. Petite information, évitez d’utiliser des filets pour y mettre vos boules de graisses car malheureusement les oiseaux peuvent se prendre le bec dedans ou le manger et ce n’est pas le but recherché. Même si c’est moins jolie, préférez mettre vos boules de graisses au creux des branchages sur un arbre ou un support dédié. Dernier détail, nourrir les oiseaux l’hiver, c’est ok mais le reste du temps, il est important de les laisser chercher leur nourriture car sinon il pourrait devenir dépendant et se laisser mourir de faim le jour où vous oubliez de les alimenter. Fabriquer des boules de graisse pour les oiseaux est une activité amusante, éducative et bénéfique pour la faune. En utilisant des graines adaptées et en respectant les besoins des oiseaux, vous contribuez à leur survie pendant les périodes difficiles tout en profitant de leur présence dans votre jardin. Alors, à vos casseroles ! [...] Read more...
19 novembre 2024Ma pause de 2 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Le calendrier de l’Avent est souvent un incontournable dans les familles avec ces petites cases remplies de chocolat. Mais, ici, même si on aime beaucoup le chocolat, on apprécie d’autant plus les petites attentions qui donnent le sourire à nos enfants. Alors, c’est un calendrier pleins de tendresse qui vous est proposé avec des actes simples à réaliser pour le bonheur de toute la famille. Calendrier de l’Avent : 25 jours de petits bonheurs Chaque jour du mois de Décembre, vous pouvez décider de privilégier des moments en tête à tête avec votre enfant. Cette envie de faire plaisir à l’autre s’intègre totalement dans la philosophie de vie du Slow Parenting où l’on prend le temps de se découvrir et de vivre des moments sans contrainte horaires. Les 25 jours de petits bonheurs à adapter selon vos envies Préparer un bain avec de la mousse Faire un puzzle ensemble Faire un gâteau tous ensemble Lire une histoire « trop » belle Mettre un petit mot dans sa lunch box Planter des graines de blé dans un petit pot comme en Suède Faire un petit dessin sur la main de votre enfant pour qu’il pense à vous toute la journée Faire des pancakes en dessinant un bonhomme Danser sur une musique qu’il aime Faire des bougies Aller le chercher plus tôt à l’école / manger avec lui un midi Chanter un chant de noel ensemble Allumer des bougies pendant le repas Lui faire un compliment « c’est super ce que tu as fait aujourd’hui » Faire une photo selfie ensemble Ranger sa chambre Faire une cabane en plein milieu du salon Inventer une chanson Parler une autre langue pendant le repas (même si c’est du charabia) Faire une boule de graisse pour les oiseaux Faire une chasse aux trésors avec des chocolats Faire les décorations de noël Lui faire son petit déjeuner au lit Faire une séance de massage Noël est une période où l’essentiel est de prendre le temps de savourer les douceurs, la convivialité, les moments en famille et de conserver les rêves des enfants intacts. Permettez-vous de donner vie à vos rêves, vos enfants seront plus heureux que jamais ! [...] Read more...
12 novembre 2024Ma pause de 6 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< “La vie n’est pas un long fleuve tranquille…” Tu savais que cette phrase est tirée d’un film français de 1988 ! Une histoire d’échange de bébé à la naissance et de classe sociale… Bref, c’était juste une parenthèse pour votre culture générale😉 Cette semaine, je vais te parler d’une chose qu’on redoute absolument en tant que parent, d’une épreuve dont on se serait bien passée 😔mais totalement inévitable… Apprendre le décès d’un compagnon à quatre pattes à nos enfants. Il est aujourd’hui pour moi important de te parler de la façon dont nous avons abordé le sujet avec nos enfants et de te donner quelques clés pour ne pas être pris au dépourvu le jour où cela arrive. Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir leur dire ? Est-ce que je dois tout leur raconter ? Qu’est-ce qui peut les aider à mieux vivre la mort de leur animal préféré ? Alors, oui, c’est pas très gaie… 🙄 Mais, “la vie n’est pas un long fleuve tranquille…” Annoncer la mort d’un animal, un gros coup dur  Un animal de compagnie est le meilleur ami de notre enfant. Sans aucun doute, c’est un amour inconditionnel qui lui ai donné. L’animal n’a pas d’attente, le prend tel qu’il est, avec ses différences, avec ses humeurs. C’est une présence qui rassure, qui réconforte, qui donne énormément d’amour (et, c’est bien pour cela qu’on craque toujours pour leur petite bouille de tendresse).  Alors que votre enfant a trouvé un équilibre avec une “personne” à qui confier tous ces secrets, on sait pourtant que cela ne va pas durer. Un jour, cet animal disparaîtra mais on a tendance à se dire “on verra bien sur le moment”. Sauf que quand le moment arrive, on est soi-même pris par les émotions et en plus, on se demande bien comment on va aborder le sujet auprès de nos enfants ?  Aborder la mort à quel âge ? Pour notre situation personnelle, “Happy” était un chien vieillissant et malade. Nous avons passé ces derniers mois à l’emmener chez le vétérinaire chaque semaine. Nous avons pu donc en parler avec la vétérinaire en amont car nous savions que nous ne pourrions bientôt plus lui apporter de soins pour amoindrir sa souffrance.  Et, c’est là, que je mesure que te parler de cela n’est pas si simple et très délicat. Je ne peux absolument pas faire de généralité car chaque situation aura sa particularité. Certains animaux vont mourir d’un coup, d’autres seront malades, d’autres vont avoir un accident, d’autres partiront sans revenir…  Mais je crois que si je te raconte ce que j’ai fait, tu auras tout de même quelques clés en main pour amoindrir le chagrin de votre enfant et mieux vivre son absence.  Des mots adaptés pour chacun(e) Je pense sincèrement que la mort ne doit pas être un sujet tabou. C’est un sujet que nous avons évoqué plusieurs fois avec nos filles en dehors de cette situation particulière. Et, il n’y a pas d’âge pour en parler mais plutôt des mots appropriés pour chaque tranche d’âge.  Notre fille de 8 ans veut devenir vétérinaire. Alors, croyez-moi quand j’ai su que l’issue était proche, je me suis dit qu’il y aurait un véritable raz-de-marrée pour elle, qui tient si fort aux animaux. Je n’ai eu de cesse de la préparer à cette finalité en ne lui donnant pas d’espoir que ce serait autrement. Non, je ne suis pas cruelle, la vie a un début et une fin, c’est malheureusement une réalité qui ne plaît pas 😣. Depuis plusieurs semaines, l’état de santé du chien se dégradait. J’ai donc expliqué à ma fille que nous allions régulièrement voir un vétérinaire pour aider notre chien à aller mieux mais que les traitements ne pourront plus suffire à un moment donné pour le soulager. Notre chien va mourir et souffre beaucoup.  Là, tu te demandes sûrement comment elle a réagit à mes propos. Elle était très affectée et pleurait parfois à l’idée de perdre son chien. Mais, ce fut aussi l’occasion pour elle de lui apporter beaucoup d’affection et d’attention sachant qu’il allait nous quitter bientôt. Elle a compris qu’elle devait l’accompagner en douceur et avec tendresse. Parce que rappelons-nous, nos enfants ont une capacité d’empathie étonnante qui passe souvent avant leur propre bien-être.  Pour la plus jeune de 4 ans, nous avons peu aborder le sujet. Les enfants à cet âge se rendent moins compte car ils vivent leur vie sans forcément faire la part des choses entre ce qui est réel et imaginaire. Son cerveau n’a pas encore établi toutes les connexions pour qu’il fasse la distinction. Même si, tu vas le voir, elle a très bien compris ce qui se passait (parce que les petites oreilles savent très bien écouter les conversations des grands). Annoncer le décès de l’animal : trouver les mots justes Nous avons attendu qu’elles rentrent tranquillement à la maison pour le goûter. Nous avions parlé avec mon conjoint de ce que nous allions leurs dire. C’est important parce qu’il s’agit d’être clair et de ne pas leur causer plus de souffrance avec des mots mal choisi.  Alors, voici l’échange que nous avons eu pour leur annoncer la mort d’Happy et leurs réactions. Je ne dis pas que ça se passera exactement de la même façon pour toi mais, je pense que c’est une approche qui peut t’aider, te guider pour ouvrir cette discussion délicate pour un adulte.  Papa ou maman : “Vous avez passé une bonne journée ?” Les filles : “oui” (elles nous racontent leur journée) Papa ou maman : “Nous, nous n’avons pas passé une bonne journée. Nous sommes un peu triste” Les filles : étonnement (ma plus grande se tourne vers moi, et comprends tout de suite). Papa ou maman : “Aujourd’hui, Happy est parti au paradis des chiens.” Notre fille de 4 ans : “Ah ba, c’est bien, il va retrouver tous ces copains.” Papa ou maman : “Oui, happy était très malade et souffrait beaucoup. Là où il est, il ne souffre plus et il y est bien mieux. Il ne reviendra pas.  Notre fille de 8 ans : “c’est la vétérinaire qui a dit qu’il était trop malade” Papa ou maman : “Oui, on ne pouvait plus rien faire pour le soulager, il fallait le laisser partir. Alors, parfois, vous pouvez être triste, même pleurer parce qu’il va nous manquer, parce qu’on avait l’habitude d’être tout le temps avec lui. Notre fille de 4 ans : “Oui, mais il nous a laissé pleins de bons souvenirs.” Papa ou maman : “Oui, et ce sont tous ces bons souvenirs qu’il faut se rappeler, parce qu’Happy a eu une très belle vie et nous a rendu très heureux.” (nous avons gardé une posture ouverte pour leur permettre de poser toutes les questions qu’elles souhaitaient mais finalement elles sont rapidement passées à autre chose…). Il n’y a pas eu de pleurs même si je pense qu’il y en aura parce que l’absence est parfois difficile à supporter. Mais, ce fut une discussion très apaisée qui nous a prouvé à quel point les enfants sont en capacité de recevoir un message difficile. 4 conseils pour aborder la mort sereinement Les enfants sont étonnants et n’ont pas la même appréhension que nous de la mort jusqu’à 8 ans à peu près. Alors, ce que je retiens personnellement de cet échange et qui me parait le plus important à retenir pour en parler sereinement : Parle à ton enfant de la mort avant même que cela n’arrive dans votre foyer. Il aura pris le temps de se familiariser avec ce concept et ce sera déjà préparé à ce que ça arrive. Utilise un vocabulaire simple et franc adapté à l’âge de tes enfants. Laisse ton enfant mener la conversation et répond à ses questions. Les enfants ont une telle spontanéité qu’ils peuvent être très déroutants. Sois ouvert à sa vision du moment le temps qu’il comprenne ce qu’il se passe. Ne cache pas ta tristesse pour lui laisser la possibilité d’exprimer la sienne. Toutefois, s’il te voit trop triste, il risque de ne pas vouloir te montrer son chagrin pour ne pas te faire plus de peine. Il est important qu’il sache à qui il peut se confier si tu es trop émotif(ve) pour que quelqu’un soit à son écoute. Qu’avons-nous fait ? Nous sommes toujours leur exemple. Il n’y a, à mon avis, rien de plus difficile pour un enfant que de voir sa mère ou son père triste.  Si nous pleurons, ils pleurent aussi.  Quoi de mieux pour elles que de vivre une première expérience de la mort de façon sereine ? Les enfants n’aiment pas nous voir pleurer et nous n’ont plus. Même si cela est nécessaire de pleurer pour beaucoup, il est aussi important de ne pas oublier que nous serons en partie les garants de leur apaisement.   Ce sont nos actes qui ont le plus d’impact. Pour être très concrète, j’ai enlevé le tapis du chien et j’y ai mis des plantes à la place. Voir chaque matin et chaque soir, son tapis vide n’aurait pas permis aux enfants de tourner la page. Mais, en y mettant des objets positifs, vivants, on donne une nouvelle histoire à la maison.  De la même façon, nous irons planter ce week-end un arbre en l’honneur de notre chien dans notre jardin. C’est un lien indestructible qu’elles ont tissé avec lui et qu’elles pourront à leur guise refaire naître en allant lui parler, se recueillir ou tout simplement être à ses côtés.  Quelques suggestions de livres pour aborder le sujet de la mort avec sérénité Mes p’tits Pourquoi sont des livres très bien fait sur des thèmes variés et important pour nos enfants. Le papi d’Alice vient de mourir et elle se pose 1000 questions : souffre-t-il ? A-t-il faim ? soif ? froid ? S’ennuie-t-il ? Ce livre est très bien pour répondre aux inquiétudes des enfants en posant des mots simples sur leurs interrogations. La mort expliquée aux enfants mais aussi aux adultes est un livre destiné à appréhender la mort. Idéal pour celles ou ceux qui ont peur de la mort ou qui ont besoin des bons moments pour se remettre de la mort d’un proche. Mingan les nuages, c’est une histoire d’amour entre un enfant et son petit chat adoré, Mingan. Un livre adapté dès 3 ans pour aborder la mort en douceur et avec apaisement. [...] Read more...
7 novembre 2024Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Pandacraft propose une expérience éducative innovante pour les enfants de 3 à 12 ans à travers ses kits mensuels, conçus pour éveiller leur curiosité et leur passion pour la découverte. Chaque kit contient tout le nécessaire pour explorer un thème captivant – sciences, arts, nature, histoire – et permet aux enfants d’apprendre de manière ludique et interactive, en manipulant et en expérimentant. J’ai testé avec mes filles le kit du mois de septembre sur les fusées pour expérimenter avec elles leur 1er lancement de l’Ariane 6. (Et on a bien rigolé 😉) Un concept éducatif adapté à chaque tranche d’âge Les kits Pandacraft sont pensés pour s’adapter aux différentes phases de développement de l’enfant. Ils existent en plusieurs versions pour s’adapter à la compréhension de chaque tranche d’âge :  Pandacraft Eveil (12-36 mois) Dago (1-3 ans) Kamino (3-5 ans) Explore (5-8 ans)  Maker (8-12 ans). De mon côté, j’ai choisi un Kit Explore pour s’adapter à mes 2 filles âgées de 4 et 8 ans.  Pour les plus jeunes, les kits se concentrent sur la découverte des sens et le développement des habiletés manuelles, tandis que pour les plus âgés, ils introduisent des concepts plus complexes, favorisant l’esprit critique et la créativité. Cette progression permet aux enfants d’évoluer dans leurs apprentissages au fil des mois, tout en maintenant leur intérêt pour la découverte. Avec Pandacraft, chaque kit est une opportunité d’explorer un nouveau monde, et de cultiver la curiosité naturelle des enfants. Qu’est-ce que contient le kit éducatif de Pandacraft ? L’une des grandes forces des kits éducatifs Pandacraft réside dans leur approche pratique et interactive. Chaque kit comprend un magazine éducatif, une activité manuelle ludique et un accès à des contenus numériques pour approfondir le sujet abordé. Par exemple, pour le kit sur “les fusées”, j’ai reçu un petit magazine de 38 pages et le matériel pour fabriquer la plateforme de lancement de la fusée Ariane 6.  Le magazine est très riche en connaissances avec des lectures variées : une bande dessinée, des informations insolites, un coloriage, une explication sur plusieurs pages sur les fusées, les satellites et le saumon d’Atlantique, un atelier créatif pour fabriquer sa barbe de pirate, une petite histoire sur comment élire un délégué de classe, un cherche et trouve, etc. Il y a aussi des flashs codes pour voir la vidéo du 1er lancement de la fusée Ariane 6, de l’arrivée de Perseverance sur Mars ou encore  des saumons qui remontent le courant d’une rivière.  Chaque activité est conçue pour être un moment d’échange et de partage avec les parents, créant ainsi des souvenirs communs et renforçant le lien familial. Comment s’est passée l’activité avec mes filles ? Le colis est cartonné au format A4. Nous avons décidé de créer ensemble la fusée. Maman explique le plan et les enfants construisent la plateforme. Les pièces sont en mousse un peu dures, on sent que ça peut tenir dans le temps. Les couleurs sont très jolies, pailletées (ce qui n’est pas pour déplaire à la petite dernière). Les filles ont mis à peu près 45 minutes à monter le jeu créatif sans aucune dispute 😅. Elles avaient hâte de jouer avec. Malheureusement, le pic en bois qui permettait de propulser la fusée a cassé rapidement. Heureusement que Maman a du sang de McGyver dans les veines en prenant un pic à bois dans un des placards de ma cuisine.  Pour autant, je trouve que l’activité est très bien guidée, facile et qu’elle est de très bonne qualité malgré la petite casse. Elles ont pu faire décoller la fusée de notre planète Terre pour tenter de se rapprocher de plusieurs satellites. Une bonne occasion de leur apprendre à quoi sert un télescope spatial, une sonde, une Station Spatiale Internationale.  Pour la suite, elles ne se sont pas attardées sur le magazine, mais je suis convaincue qu’elles seront plus intéressées quand je leur lirai le soir, car il est une source d’information et d’apprentissage en famille et des jeux.  Est-ce que je recommande l’achat des kits Pandacraft ? Oui, sans aucune hésitation, car nous avons passé un très bon moment toutes les 3. Pandacraft se distingue par la qualité de ses contenus et par la richesse des activités créatives proposées. Les coffrets sont conçus par des experts pédagogiques, et tous les matériaux fournis respectent des normes de sécurité rigoureuses. De plus, l’abonnement mensuel Pandacraft est flexible, et peut être arrêté à tout moment, offrant ainsi une grande liberté pour les parents. C’est une méthode d’apprentissage qui valorise l’autonomie et la créativité ! Les kits encouragent les enfants à explorer le monde avec curiosité, à comprendre des concepts variés et à développer des compétences essentielles qui les suivront tout au long de leur vie. Les kits éducatifs Pandacraft sont bien plus que de simples activités. Ils permettent aux enfants de voyager dans un univers de découvertes, de développer leur potentiel, et de nourrir leur esprit avec des connaissances enrichissantes. Offrir un abonnement Pandacraft, c’est offrir à l’enfant un passeport pour l’exploration et l’apprentissage, dans la joie et la créativité. Les kits Pandacraft [...] Read more...
20 octobre 2024Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Quoi de mieux qu’une jolie paire de collants pour agrémenter vos tenues d’hiver et embellir vos vêtements automnaux ? Gambettes box est une des références sur le marché de la vente de collants en ligne. Conçue par une entreprise familiale italienne, la marque française met en avant son engagement pour l’environnement et un style aux motifs originaux. Les coffrets offrent des bas singuliers chaque mois grâce aux collaborations avec des créateurs de mode.  Je les ai enfilés sous une jupe et mes jambes ont eu si fière allure que je n’ai pas pu m’empêcher de vous donner mon avis !  Le collant de Gambettes box, la pièce unique qui vous manquait La box du mois, deux collants noirs tissés rien que pour vous Gambettes Box, c’est une gamme de collants noirs pour se distinguer et donner du peps à votre garde-robe. Chaque mois, vous recevez une sélection de deux collants à motifs : des pois, de la dentelle, des lignes, des losanges, des paillettes, des formes géométriques, des fleurs, des chevrons… Gambettes a plus d’un collant dans ses tiroirs et déborde d’imagination pour donner une belle allure à nos jambes. Elle propose également l’achat de produit en vente unique et des box avec 2 collants brodés et 1 uni plus ou moins opaque.  Plus ou moins épais, ils s’adaptent au fil des saisons et à toutes les tailles de femme. Grande ou petite, vous trouverez une paire de collants adaptée et esthétique. Une collection de choix interminable vous tend les bras à l’unité, par un abonnement mensuel ou pour offrir avec une carte cadeau.  La box de deux collants à motifs est au prix de 17.5 € par mois sans engagement (23,5 € pour les 3). Un collant de qualité qui revient à un peu moins de 9 €, c’est une offre très attractive d’autant que je ne vous ai pas tout dit ! Votre boîte voyage, mais seulement en Europe (France, Italie, Espagne) pour garantir un impact minimum pour l’environnement et un trajet les pieds sur terre. Porter un collant durable et éco-responsable Déjà en recevant mon colis, j’ai été surprise par son packaging. La marque a opté pour une impression de leur slogan directement à l’intérieur de la boîte en carton. Pas de dépliant ni de papier à bulles, un contenant minimaliste qui fait son effet. 100 % recyclable, l’entreprise de prêt-à-porter cherche toujours à amoindrir son impact environnemental que ce soit dans ses colis ou dans son contenu. Pour réduire leur empreinte carbone, la fabrication est soignée avec des matériaux moins polluants. Le tissage est aujourd’hui fabriqué à partir de chutes de fils de tissu à base de fibres de polyamide QNOVA pour une meilleure tenue des bas et de fibres d’élasthanne Roica pour une meilleure souplesse. À ce jour, 60 % de leurs textiles sont recyclés mais le but de la marque est de réduire massivement les matières non renouvelables. Et, elle ne s’arrête pas là. En 2021, elle annonce une grande nouvelle, ses premiers collants green à base de ricin, certifié OEKO-TEX. Leur première box de collants bio-based est une innovation qui donne le ton de leur engagement. À chacun ses goûts mais toujours avec une touche de fantaisie Gambettes box a pensé à tout avec une sélection de vêtements créés de toutes pièces par de grands créateurs de mode. Inès de la Fressange, Diane Von Furstenberg, Courrèges, Lorafolk, Alexis Mabille, Gambettes a un carnet bien rempli de couturiers, dessinateurs, stylistes, brodeurs, prototypistes… L’avantage de ces collab, c’est d’avoir à portée de mains une pièce exclusive presque sur-mesure pour vous donner du style sans forcément toujours coller aux tendances. Si vous aimez vous différencier avec élégance et chic, leur concept est parfait pour s’adapter à tous les looks. Mon expérience : basique, classique… Absolument pas ! Moi qui suis plutôt pantalon, j’ai ressorti ma jolie robe pull pour enfiler ma paire de collants exclusive de l’automne. Première impression, la taille est ajustée. Ouf ! La maille semble solide et l’effet seconde peau est très agréable. Je ne ressens pas les dessins à pois et géométriques et c’est bon signe parce que je n’aime pas les vêtements trop serrés. Je les ai donc porté toute une journée pour me rendre compte de leur souplesse et de leur tenue.  Je me suis sentie belle en collant, totalement femme et stylé. La collaboration avec Rivecour, la marque de chaussures, donne la sensation d’un produit fait avec le plus grand soin. Les collants sont extra fin, la matière est douce et ne gratte pas. Clairement, ça habille une tenue classique et basique sans le moindre effort et en gardant un confort appréciable, au chaud.  D’un autre côté, j’aime bien l’idée d’un abonnement sans engagement via la boutique en ligne qui s’adapte à nos envies et à petit prix. C’est l’occasion de se faire une surprise et de changer ses habitudes. Un petit cadeau à faire aussi à l’occasion des fêtes de fin d’année 2024 pour aller avec une jupe rouge, des talons aiguilles et des bijoux qui scintillent. C’est top ! Gambettes Box est la meilleure box pour se chouchouter avec un habit féminin collector à un tarif accessible. Pratique, recyclé et recyclable, il n’y a plus qu’à tester la box collant en france du moment. [...] Read more...
15 octobre 2024Ma pause de 6 minutes À l’heure où les nuits se font plus courtes, la dépression saisonnière peut frapper à votre porte. Le manque de lumière au début de l’automne ou à l’aube de l’hiver est un phénomène naturel qui influe sur notre santé mentale. Une humeur triste et un manque d’énergie vous envahissent ? Un état dépressif n’est pas à considérer à la légère. Quels sont les causes et les remèdes naturels pour lutter contre ce trouble affectif saisonnier ? Je vous en parle à travers ma propre expérience. Dépression saisonnière, une dépression classique ? Je mets les pieds dans le plat ! Il y en a parmi nous qui souffrent de dépression saisonnière et qui le cachent autant qu’ils/elles peuvent. Quand le soleil se raréfie, que les températures chutent, certaines femmes et certains hommes ont le moral qui tombe dans leurs chaussettes. (pas très pratique, mais ça se remonte ! ahah) En effet, la dépression saisonnière est liée au changement de saison (printemps, été, automne, hiver). On parle de seasonal affective disorder (oui, c’est plus classe ;)). Les scientifiques s’accordent à dire que c’est la baisse de luminosité qui retentit sur notre rythme biologique dit rythme circadien. L’intensité lumineuse est donc une des causes de la diminution de sérotonine dans le corps dont on a bien besoin pour voir la vie en rose. En effet, l’exposition à la lumière régule la production de mélatonine qui permet de nous endormir et de nous réveiller. Or, quand la lumière du jour se fait plus rare, les symptômes de la dépression hivernale peuvent se manifester. La dépression classique, elle, peut survenir à tout moment de l’année.  Pour autant, selon l’Institut National de la Santé Et de la Recherche Médicale (Inserm), une personne dont l’un des parents souffre de dépression a deux à quatre fois plus de risque d’être dépressive que la population générale.  Il y a probablement donc au moins deux facteurs prédisposant à la dépression saisonnière : le contexte environnemental et la génétique.  Une plante sans soleil dépérit, et toi ?  Alors, de mon côté, ça m’arrive de ressentir cette dépression légère et d’avoir cette sensation de ne plus avoir envie de rien. Le sentiment de désespoir s’empare de moi. J’ai envie de veiller plus tard, de manger plein de choses sucrées… Résultat, une fatigue supplémentaire et l’envie irrépressible de rester dans mon lit toute la journée. Mais, pas d’affolement, souffrir de dépression saisonnière est courant. Ça arrive à beaucoup de personnes (1 sur 10) de traverser un épisode dépressif et je suis là pour t’aider à reconnaître les signaux et te donner quelques clés pour remonter ton moral (dépression saisonnière ou autre coup de mou en cours). La 1re clé à connaître, c’est que nous sommes comme les plantes. Nous avons besoin de nous exposer au soleil pour nous éloigner de la tristesse. Il ne s’agit pas forcément de parfaire son joli bronzage de l’été, mais d’essayer de sortir et de profiter de la lumière naturelle, même si la météo est nuageuse.  Le plus impactant pour le corps est de le faire en fin de matinée ou au déjeuner. Même quelques minutes suffisent. Pas besoin d’y passer une heure, même si avouons-le ça fait trop du bien avec un bon petit bouquin. En plus, ça te donnera une petite dose de vitamine D dont on a bien besoin pour s’immuniser contre tous les maux d’hiver. Tu peux aussi trouver des lampes de luminothérapie (light therapy) si tu veux rester dans ta grotte. Les traitements naturels de la dépression saisonnière pour se rebooster ! Pour rompre le cercle vicieux de la déprime ou de la dépression saisonnière, il faut enrayer au moins 3 tendances que l’on a, à ce moment-là :  La fatigue liée à un endormissement tardif et à l’hypersomnie L’alimentation et la régulation de l’appétit parce qu’on se rue sur tout ce qui est trop gras, trop sucré, trop salé (la pub, ça marche vraiment trop bien) L’enfermement parce qu’il fait froid dehors, non ? Personnellement, j’opte pour des solutions naturelles plutôt que de courir tout de suite chez un professionnel de santé pour demander des antidépresseurs ou autres médicaments. Si vous sentez que vous n’avez absolument plus de contrôle sur votre cerveau et que vous avez besoin d’être aidé, foncez voir votre médecin ou un psychologue. Un avis médical est un soutien important à votre difficulté quotidienne. Il permet d’engager une thérapie comportementale ou une thérapie cognitive adaptée et efficace pour votre type de dépression. Stop à la fatigue et au trouble dépressif Je me traîne, la météo ne m’engage clairement pas à retrouver de l’énergie et à mettre mon réveil plus tôt le matin. Voici mes astuces personnelles pour lutter contre la fatigue liée au changement de rythme du climat : Me donner un objectif d’activité sportive. Par exemple, faire 2 séances de yoga dans la semaine ou une promenade qui me fait plaisir. Si tu peux te motiver pour faire un sport cardio, c’est encore mieux pour ton bien-être. L’idée est de générer une fatigue physique qui va augmenter ta dopamine. Et, cette hormone est super importante pour notre bien-être et notre motivation. Me coucher à une heure max et pas d’écran au lit 😬. On en parle beaucoup et partout. Je pense que tu le sais mais, regarder un écran avant de dormir retarde notre horloge interne qui ne comprend absolument plus quelle heure il est puisqu’il fait “plein soleil”. Baisse la luminosité un peu avant le coucher. Profite d’une petite ambiance tamisée pour faire une séance de méditation. C’est agréable avec des petites bougies ou des huiles essentielles. Se faire un moment rien qu’à moi. Tu as envie de colorier, de peindre, de lire, de te faire les ongles, de te faire masser ? Vas-y ! ça fait du bien de se faire chouchouter, le plaisir doit faire partie intégrante de ton quotidien. Sans traiter la dépression, il y a un risque de développer d’autres troubles comme la prise de poids ou un syndrome dépressif majeur qui impliqueront des conséquences plus néfastes pour ta santé. Aussi, notre horloge biologique est un vrai régulateur de notre humeur. En se promenant à la lumière du soleil et en respectant son rythme, on évite de glisser vers une humeur dépressive. Ne sous-estime pas l’impact des petits gestes bien-être du quotidien. Cuisiner les aliments de saison L’alimentation équilibre notre humeur, notre corps, notre bien-être physique et mental. Bref, moi, je sais que quand je mange n’importe quoi, ça ne va plus, je prends du poids. Il est temps de refaire des menus et de rééquilibrer mon assiette (et, c’est bon pour la ligne). Je suis très attirée par le sucré. Alors, quand je suis dans une période où j’ai très envie de manger, je fais en sorte de cuisiner des repas sucré/salé mais sain. Par exemple, j’aime faire un poulet au beurre de cacahuète avec de la mangue… 😛 Ok, je comprends que je t’ai fait saliver alors je te donne ma recette préférée du site cuisine addict. Un jus d’orange pressé. C’est simple, c’est pas grand chose mais ça change ma journée quand j’en fais un le matin. Si tu es plus motivé(e), un smoothie, c’est sympa aussi. Augmentation de fruits secs et à coques. Ils sont bon pour tout et aide à la concentration. Riche en oméga-3, en fibre, en calcium, en acides gras insaturés, en magnésium, c’est l’aliment sain qui me procure une vraie sérénité intérieure. C’est aussi le moment pour les plus courageux(se) de faire une monodiète de raisin 🍇 Avoir une alimentation saine remplie de vitamines est bonne pour ta santé en général. Cela est d’autant plus recommandé quand tu as un déséquilibre de ton métabolisme qui affecte ton quotidien. Tu peux avoir recours à des supplémentations ou à une cure de compléments alimentaires pour t’aider à surmonter ta dépression passagère. Sortir de la couette ou pas ?! Je passerai mes journées sous la couette, dans le canapé, à mater des séries Netflix. Mais, si le faire de temps en temps est agréable, y rester tout le temps a un impact bien trop négatif sur le corps et le mental. Alors, il vaut mieux trouver des solutions pour sortir du mode “pyjama”.  Je mets un GROS pull. J’ai le sentiment d’être encore un peu dans mon lit avec un pull tout doux en laine dans lequel j’ai bien chaud. De fait, moi qui suis particulièrement frileuse, si j’ai chaud, j’ai un peu plus envie de sortir. Inviter des amis ou boire un coup chez eux. C’est pas parce que tout le monde s’enferme avec le froid hivernal qu’il ne faut plus se voir. Avoir du contact avec les autres aide à sortir du brouillard passager qui peut t’envahir. Donc, on se prend quelques heures et on va voir les copines pendant que les enfants jouent ensemble. S’occuper de mes plantes. Un peu de rempotage, mettre un peu de bière sur leurs feuilles pour qu’elles soient belles, les arroser. Mettre la main dans la terre fait du bien et permet de se reconnecter à la nature qui nous oxygène. J’aime bien aussi mettre des graines pour les oiseaux à cette période de l’année, ça donne du baume au cœur de les voir picorer et chanter autour. Je suis certaine que tu as déjà ressenti ce sentiment d’indifférence à tout ce qui peut se passer autour de toi. Il est difficile de le combattre mais en adoptant un mode de vie qui te lie aux autres, tu auras beaucoup moins de probabilité de développer une dépression saisonnière, une dépression légère ou une dépression majeure.  Tu sais maintenant que la variation du climat est un facteur de dépression saisonnière. Une perte d’intérêt, un besoin accru de sommeil, une irritabilité sont quelques signes qui doivent t’alerter. L’exposition au soleil, une alimentation équilibrée et de l’activité physique peuvent être les premiers piliers pour lutter contre la baisse de moral. Mais, parfois, l’état dépressif est lié à un évènement imminent… Retrouvez mon témoignage sur la dépression pendant la grossesse pour mieux la reconnaître et passer le test pour un début de diagnostic.  Voilà, j’espère que ces quelques idées vont te donner envie de prendre soin de toi.   💚💚💚 Laura A. Cet article est tiré de la Newsletter d’OptiMoms n°78. Abonnes toi pour les recevoir en exclusivité 😉 [...] Read more...
10 octobre 2024Ma pause de 4 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Vous rêvez d’un produit local créé au cœur d’un village et qui respecte son environnement. Sur l’île de ré, on ne trouve pas que du sel. La savonnerie de l’île de ré est unique et partage le secret ancestral de son savoir-faire. Cette entreprise familiale m’a envoyé ses 3 écoproduits phares : un savon artisanal au lait d’ânesse frais non lyophilisé, un savon artisanal au lait de chèvre non lyophilisé et un savon au miel .  Je les ai testé et je vous donne mon avis sur ces produits d’hygiène essentiel.    La gamme de produit de la savonnerie de l’île de ré Voici une petite ferme qui a pensé à créer un soin pour la peau totalement naturel à partir de la faune environnante. Nichées au cœur de l’île de ré, les ânesses et les chèvres sont chouchoutées pour produire un lait de qualité bio et non lyophilisé. Avec leurs propriétés hydratantes et régénératrices, ils sont aussi hypoallergéniques qui conviennent à chaque type de peau.   Leur gamme végétale est riche de savons artisanaux sans huile de palme. Savon liquide ou solide, elle est aussi enrichie de savon d’alep par exemple. Leur société propose également des shampoings solides et des crèmes au lait d’ânesse ainsi que des accessoires de toilette ( brosses, blaireau, éponge naturelle, brosse à ongles,…). La fabrication du savon est faite à partir de matière première par une production artisanale. Ce sont des produits naturels pour votre bien-être et votre beauté testés sous contrôle dermatologique.  Si vous souhaitez vous y rendre, les boutiques de cosmétiques naturels se trouvent à Loix, Saint-Martin et au phare des baleines. Vous pourrez même visiter leur atelier de fabrication artisanale de savons aux horaires d’ouvertures le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Mon avis sur l’échantillonnage de savons made in France Le lait d’ânesse frais, la fraîcheur à portée de mains Dès réception, on ressent totalement le côté artisanal. L’emballage en carton est simple et met bien en avant le produit. J’ai eu la surprise de voir le dessin de l’âne qui rend le savon très mignon.  A l’ouverture, il tient bien en main. J’ai tout de suite remarqué les côtés pas tout à fait nets ni très droits d’ailleurs qui laisse penser que le savon a été tranché par un accessoire utilisé par l’homme et non par un outil mécanique.  La couleur beige claire rappelle bien la couleur du lait d’ânesse. Une fois mouillé, le savon au lait de chèvre apporte une réelle douceur sur les mains et mousse abondamment. Après le lavage de mes mains, j’ai ressenti une bonne hydratation de mon épiderme.  Il a un parfum agréable même si en soit je n’ai pas senti l’odeur de l’ânesse très prédominant. Vous pouvez choisir d’y ajouter le parfum d’antan à la commande sans surplus de coût.  Je vous le recommande pour sa vertu antiseptique reconnue.  Le prix de ce savon au lait d’ânesse est de 4.95 € (100g). Pour un savon bio, c’est un prix qui me semble juste. De mon côté, quand j’utilise un agent lavant de ce type, il dure environ 3 à 4 semaines donc c’est un bon rapport qualité/prix.  Il existe aussi du lait d’ânesse sous forme de baume fondant pour le corps, un soin de la peau idéal pour une routine matinale bien-être.   Le lait de chèvre, un poil plus hydratant Pour ce savon artisanal au lait de chèvre, j’ai eu le souvenir du pain de savon qu’on pouvait retrouver dans nos écoles. Mais, bien évidemment, on ressent tout de suite une qualité bien plus élevé.  Il est de la même couleur que celui de l’ânesse. Sur le devant, on retrouve l’empreinte d’une chèvre ce qui permet bien de les différencier.  Le savon se tient bien, on sent le corps gras, parfait pour les peaux sèches. Le lait de chèvre me semble apporter une fraicheur au nettoyage des mains. Tout aussi moussant, il apporte tout de même un lavage efficace et un léger voile de douceur. Après séchage des mains, je ressens bien l’effet de l’hydratation avec un épiderme plus doux. Pour le savon au lait d’anesse, je le conseillerai si vous avez envie d’un soin purifiant. Le prix est de 4.95 € également (100g) et existe aussi en 200g avec une ficelle. Découvrir le savon au miel de l’île de ré  Le savon au miel fait parti des spécialités de la savonnerie comme les produits au beurre de karité, à l’huile d’olive ou à l’huile d’argan. Parfait pour les problématiques d’acné, on le retrouve au même prix (4.90 €).  Le miel a des vertus cicatrisantes et adoucissantes qui peuvent être utiles quand on souffre d’eczéma ou de psoriasis.  De mon côté, sa forme hexagonale est un joli rappel aux petites alvéoles des abeilles. L’odeur de miel est très significative, je n’ai pas eu de doute sur sa composition tant il est parfumé. En plus, quand on le prend dans les mains, on sent que les doigts se collent un peu plus, signe que c’est un peu sucré.  La couleur est d’un marron pastel, très chaleureux. Je l’ai utilisé pour prendre ma douche et j’ai beaucoup aimé l’odeur qu’il a laissé sur ma peau. On se sent illuminé, mois terne, plus apaisé grâce à des ingrédients naturels. L’avis des Internautes sur la savonnerie artisanale 4.9/5 En allant voir les avis des internautes, je n’ai vu que des très bons retours et je le comprends car moi-même je trouve les cosmétiques extrêmement bien fabriquées. L’expérience est totalement satisfaisante. Quelques extraits des avis trouvés sur Internet :  ⭐⭐⭐⭐⭐”Parfait”, “excellent”, “nickel”, “satisfaite”, “qualité”, ” livraison rapide…” ⭐⭐⭐⭐⭐”Très belle entreprise familiale qui font de très bons produits, dans des valeurs, et la nature, bravo ne changez rien vous êtes au top. Merci beaucoup” Vous pouvez découvrir toute la gamme de la savonnerie de l’île de ré sur leur site officiel, Facebook ou grâce au reportage de France 2  : la savonnerie de l’île et loix  [...] Read more...
8 octobre 2024Ma pause de 6 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< ​​​​​À l’approche des vacances de la Toussaint et de la fête d’Halloween, les activités d’Automne pour les enfants de 3 à 8 ans ne manquent pas. Mettez au placard puzzle et coloriage, c’est la saison idéale pour inventer une décoration automnale, faire de nouvelles recettes et bricoler avec vos enfants avec des éléments de la nature ou d’objets de récup. Créez un atelier avec vos enfants peu coûteux pour une journée amusante et cocooning.  Les activités d'Automne en forêt 🍂1. Les créatures mystérieuses de Dubanci2. Créer des animaux de la forêt avec des modèles à imprimer3. Des silhouettes d'Automne avec des tampons texturés4. Un hôtel à insectes 100% récup5. La chasse aux trésors d'automne6. Confectionner un herbier avec les feuilles des arbresCréer une décoration automnale 🍂7. Qui veut des marrons chauds ?8. Une couronne de feuilles d'automne9. Les citrouilles décorées de feuille d'automne du club mamans10. Bricolage d'automne : de belles chouettes en pomme de pin11. Un lion à la crinière aux feuilles d'automne12. Le masque végétal comme un lutin des forêtsOn passe en cuisine avec les enfants pour des recettes automnales🍂13. Tutos : des cœurs pour nourrir les oiseaux14. Des sablés hérissons15. La cueillette des champignons Les activités d’Automne en forêt 🍂 1. Les créatures mystérieuses de Dubanci L’Automne est la saison idéale pour ramasser des glands, des “feuilles hélicoptères” des érables, des feuilles mortes bien sûr ou quelques brindilles. J’en ai donc profité pour proposer à mes filles une après-midi pour découvrir l’œuvre de Dubanci. Dubanci est un photographe tchèque qui a créé des créatures miniatures nommées “Dubanci” faites de glands et de brindilles. Les enfants adorent trouver des bêtes et des trésors et se sont régalées à chercher ce qui allait constituer leur propre bonhomme. Une fois, de retour à la maison, quelques points de colle bien ciblés vous permettront de faire naître la créature avec laquelle ils pourront s’inventer de nombreuses histoires en pleine nature. 2. Créer des animaux de la forêt avec des modèles à imprimer Sur le site de cheregemme, vous allez trouver 4 modèles à imprimer pour confectionner un escargot à partir de cailloux, un écureuil avec les feuilles séchées, les bois d’un cerf avec des brindilles ou encore un hérisson avec des cupules de gland. C’est une découverte sensorielle et d’éveil facile à faire pour des enfants de 3 à 8 ans au retour de votre balade en forêt. 3. Des silhouettes d’Automne avec des tampons texturés C’est une activité d’automne que vos enfants vont adorer en utilisant de la peinture. Personnellement, dès que je prononce le mot peinture à mes filles, elles sont tout de suite emballées par l’idée. Ici, c’est un tutos diy automne à créer et est du plus bel effet. Créez de jolies silhouettes sur une feuille cartonnée noire et imprimez les modèles de pochoirs à découper. Votre enfant dépose le pochoir qu’il souhaite réaliser (hérissons, escargots, écureuils, champignons, renard, loup, feuille). Puis, sortez les tubes de peinture de gouache aux couleurs automnales (orange, jaune, rouge, vert) et les tampons texturés. 4. Un hôtel à insectes 100% récup L’Automne est la saison pour confectionner un hôtel à insecte. Dans une cagette en bois, vous allez y déposer des branches, des morceaux de bambous, de tiges, de l’herbe sèche, de la paille, des petites pommes de pin, des pots en plastique ou en terre cuite, de l’écorce… En somme, tout ce qui va permettre aux insectes de faire leur petit nid douillet. Faites des trous avec une perceuse ou des clous dans les branches d’arbres au besoin. Recouvrez d’un grillage au besoin si tout n’est pas assez maintenu pour éviter que votre hôtel ne s’effondre quand vient la pluie. Grisfluo.fr vous donne toutes les indications pour confectionner le plus beau des hôtels à insecte 100 % récup. 5. La chasse aux trésors d’automne Si les enfants s’ennuient et qu’il pleut trop, on risque rapidement de les retrouver devant la TV. Alors, le blog lesideesdusamedi.fr a eu l’idée d’une chasse aux trésors automnale en intérieur. Imprimez pour chaque enfant les cartes correspondant aux rameaux de châtaignier, de bouleau, de saule, de noyer, de platane, d’érable… et cachez les dans toute la maison. Les enfants devront cocher les cartes qu’ils ont trouvées et apprendront en même temps de nouvelles connaissances sur leur écosystème. Adaptés aux enfants de 3 à 10 ans, téléchargeable gratuitement sur le site. 6. Confectionner un herbier avec les feuilles des arbres Il n’y a pas très longtemps ma fille a commencé à tirer sur les feuilles des arbres pour les collectionner. J’avais repéré qu’il existait des herbiers tout prêts avec des indications sur le feuillage des arbres. J’ai beaucoup aimé Mon premier Herbier, fleurs et feuilles aux éditions mercileslivres car il y a de très nombreuses essences d’arbres à chercher ainsi que de fleurs pour l’apprentissage de la faune et de la flore. Créer une décoration automnale 🍂 7. Qui veut des marrons chauds ? Lors de votre promenade en forêt, il n’y a souvent qu’à se baisser pour ramasser les marrons et les châtaignes tombées sur le sol ou l’herbe et les mettre dans votre sac. Comme pour les galets, donnez quelques POSCA à vos enfants pour dessiner des animaux comme des chouettes tout ronds avec la couleur de leur choix. 8. Une couronne de feuilles d’automne Dans le carnet d’Emma, blog familial, il y a de nombreuses idées d’activités manuelles à faire pour les enfants. La couronne de feuilles d’automne est très simple à bricoler avec une assiette en carton. Elle sera du plus bel effet sur votre porte d’entrée avec ces nuances de couleurs automnales. 9. Les citrouilles décorées de feuille d’automne du club mamans Petit coup de cœur pour ces citrouilles qui donnent de l’inspiration pour préparer la décoration d’Halloween. Ce qui est sympa avec les courges, c’est que l’on peut les peindre et dessiner dessus sans que cela nous empêche de les cuisiner par la suite. Alors, ici, elles sont peintes en blanc et des feuilles ramassées dans les bois ont été tout simplement collées par-dessus. Bien sûr, si vos enfants ont envie de s’amuser, ils peuvent imaginer de jolies têtes de fantôme de couleur blanche ou des têtes de chat de couleur noire. 10. Bricolage d’automne : de belles chouettes en pomme de pin Pour fabriquer ces jolies petites chouettes, munissez-vous de pommes de pin, de feutrines ou de papier mousse pour faire les oreilles, les yeux et le bec. Pour les yeux, vous pouvez également acheter des yeux dans un magasin spécialisé dans les activités éducatives et créatives. Avec un peu de colle et de ciseaux, vos chouettes vont avoir fière allure dans la chambre de vos enfants comme objet décoratif ou comme jouet. 11. Un lion à la crinière aux feuilles d’automne Les couleurs de l’automne ont un magnifique rendu sur ce joli lion à la crinière dorée. En vernissant les feuilles, vous réussirez à garder leurs couleurs chaudes. Vous retrouverez tous les conseils de Loukoumiaou pour cette activité manuelle faite avec sa fille sur son blog. 12. Le masque végétal comme un lutin des forêts Un bricolage facile à faire avec de la colle ou un pistolet à colle, des feuilles d’automne par encore trop sèche et du papier cartonné pour faire le masque. Sur le blog d’a-qui-s.fr, vous trouverez un printable en forme de masque. Découpez la feuille de papier et collez les feuilles dessus. Une très bonne idée pour faire un masque éphémère pour Halloween. On passe en cuisine avec les enfants pour des recettes automnales🍂 13. Tutos : des cœurs pour nourrir les oiseaux Voici une idée d’activité agréable à faire avec vos enfants. En créant des boules de graisses et de graines pour les oiseaux, vous allez pouvoir sensibiliser vos enfants à la faune et la flore environnante. Et puis, comme c’est agréable de voir les oiseaux picorer dans les arbres et chantonner. Pour élaborer vos boules de graisses, mamansurlefil vous donne la recette facile à réaliser et remplie d’amour avec sa jolie forme de cœur. 14. Des sablés hérissons Un sablé hérisson, ça change du traditionnel sablé de noël. Les enfants adorent pétrir les pâtes et le chocolat. Avec cette recette du Labo de maman, vous allez pouvoir cuisiner en famille un goûter gourmand et rigolo. Un hérisson avec des pépites de chocolat, c’est à croquer ! 15. La cueillette des champignons À l’Automne, on peut cueillir toutes sortes de champignons comestibles : des cèpes, des girolles à la chair jaune ou orange, des chanterelles, des trompettes de la mort, des pieds de mouton, des pleurotes… Il sera ludique pour les enfants de tenter de reconnaître les champignons et de les cueillir pour les déposer délicatement dans leur panier en osier. Partez à la cueillette avec des personnes expérimentées ou montrez vos champignons à la pharmacie pour être sûr que vous puissiez les déguster en revenant de votre randonnée. L’automne est une saison merveilleuse pour proposer des activités créatives à nos enfants en lien avec la nature. C’est aussi le moment parfait pour débuter le slow parenting. L’hiver approchant, nous avons cette tendance naturelle à vouloir ralentir le rythme. Il existe 9 habitudes de vie Slow Life pour ralentir en famille que vous devriez apprécier pour renforcer vos liens. [...] Read more...
6 octobre 2024Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Le surnom inimaginable J’ai bien entendu ?!  Ça, c’est la tête que j’ai faite à la sortie de l’école…  Dans ma tête, j’étais en état de choc.  2024, m’a réservé la plus grande des surprises… Allez, j’arrête le suspens même si j’avoue que je le savoure bien… J’étais tranquillement au portail de l’école de ma fille aînée et j’attendais patiemment sans aucun stress.. “tranquilou bilou” comme, dirait lily. Et là, j’entends devant moi un papa qui venait de récupérer son fils lui dire :  “ça va mon petit saucisson ?” 😲😮🤭😅😂🫨🤨😬🤯(oui mes émotions sont dans l’ordre) Voilà, voilà, on a passé un cap que je n’imaginais absolument pas possible ! On en parle du surnom pour nos enfants ? Alors, je ne sais pour quelle raison ce papa donne ce surnom à son fils… et j’avoue que là, je vais pas tenter d’en faire une liste, mais…. C’est quoi ce surnom ????? 😲 “Saucisson !” le petit bonhomme va être marqué à vie, ne serait-ce que devant ses copains, on dit pas ça non ?  Alors, du coup, je me suis demandée l’impact qu’allait avoir un surnom sur un enfant. Et forcément, j’ai commencé à réfléchir pour moi…. Bon, allez, je vous confie mon surnom enfant (et encore adulte, à mon grand désespoir… maman, papa, je sais que vous lisez ma newsletter, c’est important pour la nation, on arrête ce surnom😂) >>>>>> Ma COCOTTE !🐔🍗 Bon trêve de blabla, un peu de sérieux maintenant, réfléchissons 2 minutes à l’impact que peut avoir un surnom sur nos petites têtes blondes. Les étiquettes, ça m’embête   Chaton, poussin, ma puce, biquette, mon chou, bout’chou, loulou, ti coeur, mon trésor, ma princesse, juju, lolo…. Je crois qu’on commence à donner des surnoms à nos enfants parce qu’ils sont super mignons et qu’on est “in love” ou pas…. pour les parents qui préfèrent nommer leur enfant “chipie, boulet, zézette, sale morveux, le p’tit mioche…”. Souvent d’ailleurs, on ajoute un déterminant devant “MA cocotte, MON chou..” et à mon sens, ça instaure une certaine dépendance entre l’enfant et son parent. Il nous appartient de fait et on lui colle l’étiquette qu’on veut.  Alors, oui, ne vous excitez pas derrière l’écran, c’est souvent totalement instinctif et on n’a pas l’intention de les blesser ou leur faire honte. Le constat est pourtant là, personnellement, je n’en suis pas morte, mais j’étais toujours assez gênée quand ma mère m’appelait devant les copains avec mon surnom. C’était rigolo, tout le monde rigolait, mais moi j’avais pas spécialement envie de ressembler à une cocotte. Donc, à mon sens, on a quelques petites réflexions à avoir quand on donne un surnom à notre enfant.  (vous pouvez vous entretenir avec le service déculpabilisation à l’adresse suivante contact@optimoms.fr car, de mon côté, j’utilise le surnom mon p’tit chat 🐈de temps en temps pour mes filles) On se questionne un peu ?   Je pense qu’il y a une question fondamentale.  Est-ce que le surnom que l’on donne à son enfant va le desservir et surtout est-ce qu’il le vit bien ? (oui, ça fait 2 questions, je sais 😅) Au début, quand il a 2 ans, c’est sûr qu’il ne vous dira rien. Mais, si le “petit saucisson” grandit et qu’il a besoin de se sentir bien dans ses baskets auprès de ses copains, peut-être serait-il plus judicieux d’en choisir un autre avant que toute la famille ne s’y habitue (sauf lui). D’un autre côté, je crois aussi qu’on leur a donné un prénom (c’est peut-être pas pour rien 🤔). A mon sens, c’est avec son prénom qu’il se constitue son identité. L’interpeler par son prénom, c’est l’estimer, lui donner de l’importance et le conforter dans son individualité.  Mais, je crois qu’il y a une situation où pour moi le surnom est acceptable, c’est quand il fait illusion à un moment de vie ou à une qualité de son enfant sans que ça devienne non plus son unique prénom.  Par exemple, si une de mes filles adore le chocolat, je pourrai facilement l’appeler “Miss Choco” quelque temps. C’est un surnom qui nous rappellera son penchant pour le 🍫et qui ne l’humilie pas. En général, mes filles reprennent ces petits surnoms et parfois même m’en donne un quand je fais tomber tout le linge par terre par exemple “Miss catastrophe”. Parlez-en avec vos enfants et tentez d’éviter le saucisson (parce que oui personnellement, je ne vais plus le regarder de la même façon 😅)  Belle semaine à toutes et tous ! 💚💚💚 Laura A. Cet article est tiré de la Newsletter d’OptiMoms n°77. Abonnes toi pour les recevoir en exclusivité 😉 [...] Read more...
3 octobre 2024Ma pause de 4 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Être enceinte et en dépression, je ne pensais pas cela imaginable surtout quand l’enfant a été désiré du plus profond de son cœur. Et pourtant, il y a des symptômes qui ne trompent pas. Fatigue, tristesse, angoisse donnent le vertige durant les 9 mois de grossesse. Je vous propose le témoignage de ma dépression pendant la grossesse. Une souffrance silencieuse que le corps médical n’ose pas toujours vous annoncer. (questionnaire d’auto-évaluation en fin de page 😉) Comment savoir si je fais une dépression pendant la grossesse ? La dépression prénatale, vous en avez déjà entendu parler vous ? Là est la grande question. La santé mentale des français est en train de rendre malade le corps médical tant les chiffres explosent ! L’INSERM estime à 20 % la part de français(e) qui souffrira au moins une fois dans sa vie de dépression. Pour autant, la dépression pendant la grossesse est un tabou qu’on ne nomme pas. Pourtant, elle touche 1 femme sur 8 et presque autant d’hommes. Alors, quel est ce mal qu’on étouffe, inaudible pour notre entourage qui se réjouit de l’arrivée d’un nouveau bébé dans la famille ? Repérer les symptômes de la dépression pendant la grossesse Que ce soit durant la grossesse ou jusqu’à 1 an après l’accouchement en post partum (le temps que les hormones reprennent leur place), on parle de dépression périnatale.De mon côté, j’ai commencé à ressentir une grande tristesse durant le premier trimestre comme une chape de plomb sur mes épaules. Je pensais pourtant vivre une grossesse plus facile, c’était ma 2e fille. Toutes mes inquiétudes vis-à-vis de l’accouchement ou de cet être qui grandissait en moi n’étaient plus à l’ordre du jour. J’avais bien l’intention de profiter de ma grossesse (cette fois-ci) et de prendre soin de moi. J’ai remarqué au bout du 4e mois qu’à cette période, je n’arrivais pas à investir cette grossesse. Comme-ci, finalement, elle n’existait pas. Je ne me sentais pas enceinte. Et le passé refaisait surface alors même que je pensais en avoir fini avec tout ça. Alors, j’ai mis ça sur le compte des hormones et du bouleversement émotionnel « normal » de la grossesse. Pour 51,6 % des futures mères, la grossesse est assez agréable à vivre donc il y a toujours une petite part de nous qui n’est pas totalement zen. Je me consolais en me disant que c’était courant dans la vie. Mais, finalement, les symptômes sont devenus plus nombreux : je n’avais pas faim ou très peu, je n’avais pas envie de manger, je manquais d’énergie, mon désespoir grandissait et je me revois encore pleurer des journées entières sans avoir de raison apparente un manque d’intérêt pour créer le petit cocon de douceur de mon futur bébé des idées noires qui me perturbaient dans mon quotidien D’autres mères pourront ressentir également une forte anxiété, des difficultés à se concentrer, un manque de sommeil, etc. Quoi faire quand on se sent mal ? Prendre une main tendue Mon bien-être psychique était clairement au plus bas. J’ai compris en voyant certaines femmes enceintes dans la salle d’attente de ma sage-femme qu’il y avait quelque chose qui clochait. Et cela tombait bien parce qu’au cours du 4e mois, la sage-femme a dressé un bilan de ma santé mentale à priori obligatoire. J’étais décontenancée par ces questions pourtant très anodines : comment vous sentez-vous ? Avez-vous des douleurs ? Comment va le moral ? Qu’est-ce qui vous inquiète le plus ? Avez-vous des souvenirs qui vous reviennent en mémoire ? Êtes-vous soutenue ? Blackout. Je me suis mise à pleurer comme une madeleine. Une main tendue par une praticienne m’avait permis de rendre visible une montagne de sentiment qui me chamboulait profondément. Se faire diagnostiquer Oser parler de ces sentiments invisibles Parce qu’au fond, je ne pouvais dire à personne que je me sentais mal, que je n’avais pas envie de ce bébé, que je ne voulais pas que mon ventre grossisse, que mes nuits se raccourcissent. Parce que dans nos têtes de maman, il y a une énorme culpabilité qui s’installe. Ce n’est pas entendable pour les autres ! La grossesse doit être heureuse ! L’entourage est parfois un poids émotionnel supplémentaire quand on s’entend dire : « Tu l’as voulu, tu l’as eu », « Fallait y réfléchir avant », « C’est rien, c’est les hormones ». Non, tout ça, ce n’est pas rien ! Il est important que nos émotions ne soient pas balayées du revers de la main. Même un médecin bienveillant peut passer à côté où ne pas oser poser les questions comme mon médecin à l’époque qui m’avoua après la naissance qu’il avait suspecté ma dépression, mais n’avait pas voulu poser un mot : dépression périnatale. Et pourtant, quel soulagement de le savoir ! Fini la culpabilité, la peur, la solitude, la honte de penser que c’est notre faute. Alors, même, si un traitement antidépresseur n’est pas toujours possible, c’est tout de même important de savoir que c’est une maladie (et que bébé n’a rien à voir avec tout ça). Comment traiter la dépression pendant la grossesse ? L’accompagnement de la sage-femme Merci Lola ! Oui, c’était ma sage-femme que je vois d’ailleurs toujours pour mon suivi gynécologique 😉 Jusqu’à mon 8e mois, elle m’a donné rendez-vous toutes les deux semaines pour travailler sur mes émotions et me sentir moins seule. C’était un travail un peu particulier qui consistait à me délivrer de l’héritage émotionnel de mes ancêtres. « Ce qui est tu à la première génération, la seconde le porte dans son corps » Françoise Dolto Toute cette tristesse pouvait être la réminiscence de l’inconscient familial et nous y avons porté une attention particulière pour que ma petite fille puisse naître totalement libre des souffrances passées. Sans avoir à entamer ce type de travail, les sages-femmes sont des professionnelles de santé formées à l’accompagnement émotionnel des futures mères. Elles sont là pour ça, pour vous aider et vous apporter un vrai moment de répit ! Être accompagnée par un psychologue La psychothérapie est un soutien qui se veut bienveillant pour vous permettre de créer un lien mère-enfant, un attachement tout en prenant en compte votre fragilité. Être écouté est essentiel, à mon sens, pendant la grossesse surtout si l’entourage n’est pas disponible pour le faire. Il existe tout type de prise en charge thérapeutique comme la Thérapie Comportementale et Cognitive (TCC) qui aide pour les troubles du sommeil ou encore la kinésiologie pour gérer son stress. Le principal est de trouver un professionnel avec qui vous allez établir un lien de confiance. Chouchoutez-vous, donnez-vous de l’importance et permettez-vous de libérer les émotions qui vous submerge. Et, n’oubliez pas de continuer à prendre soin de vos émotions en post partum après votre accouchement à la maternité ou dans votre foyer.   Questionnaire d’autoévaluation de la dépression L’EPDS (Edinburg Postpartum Depression Scale) a réalisé un questionnaire d’autoévaluation d’un état dépressif spécifique pour toutes les femmes enceintes qui ont un doute sur leur santé mentale. Suis-je en dépression ? La dépression pendant la grossesse n’a rien à voir avec le baby blues. C’est une dépression qui peut durer pendant plus mois voir ans. Il est nécessaire de parler de vos doutes quant à votre état d’esprit dépressif avec une personne de confiance. Prenez soin de vous.  Sources : Statistiques dépression pendant la grossesse [...] Read more...
20 septembre 2024Ma pause de 9 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Je ne sais pas si vous avez déjà eu ce déclic quand votre fille ou votre fils vous a fait sortir de vos gonds et qu’intérieurement, vous vous êtes dit : « Mais qu’est-ce que je viens de faire ? ». Un sentiment de regret et de culpabilité a soudain fait surface. Pourquoi n’avez-vous pas pu vous retenir de crier ? Qu’est-ce qui fait qu’en tant qu’adulte, on n’arrive pas à contenir ce bouillonnement intérieur ? Et, surtout, est-ce qu’on peut vraiment éviter de crier sur ses enfants pour qu’enfin ils nous obéissent ?! En prenant 5 minutes pour lire cet article, vous allez avoir envie de faire quelques changements en suivant nos conseils d’expertes ! Sommaire : Pourquoi se faire obéir sans crier est si difficile ?Poser des règles éducatives et des limites, pas si simpleEvacuer sa frustration à travers la colèreCrier pour se faire obéir est inévitable ?Comment éviter de crier sur ses enfants ?Amener votre enfant dans votre temporalité pour éviter de crierAvoir recours à une thérapie pour retrouver le calme intérieur3. Interview de Janaina, coach parental : trouver le bon équilibre en famille Pourquoi se faire obéir sans crier est si difficile ? Poser des règles éducatives et des limites, pas si simple Allez, on se met dans l’ambiance 😉 Petite musique qui énerve ! Il faut l’avouer, nos enfants sont tellement remplis d’énergie qu’il est difficile de la canaliser. On aurait bien envie parfois qu’ils restent bien sage sur une chaise à ne pas bouger dans le calme… Mais, c’est pas possible (non, j’ai déjà essayé 😝). Pourtant, on va pas se mentir, c’est quand même plus sympa de les voir courir, exprimer leurs émotions, leurs cris de joie, leur grande naïveté devant toutes leurs grandes découvertes.Mais, il arrive cependant que la coupe soit pleine pour nous. En tant que parents, nous devons poser des limites à cette soif de vivre inépuisable (et épuisante pour nous 😉). Et, c’est bien souvent là, le problème, c’est que nous allons intervenir pour les contraindre dans leurs envies. Petite démonstration d’un exemple de la vie quotidienne « Mais, maman, tu peux pas me faire ça, je suis en train de jouer à mes supers figurines de super héros qui sont en pleins combats intergalactiques ! » Dans la tête de nos enfants, c’est trop injuste. Dans notre tête à nous, c’est juste nécessaire qu’il aille à la douche après une journée à s’être roulé par terre. Alors, la tentation est grande de crier ou de punir quand l’horloge continue de tourner et que nos enfants « n’en font qu’à leur tête ». Evacuer sa frustration à travers la colère Après moult aller-retour à sa chambre, en le suppliant d’aller à la douche « bon, tu vas à la douche maintenant, ça fait 5 minutes que je t’attends ! » Le ton commence à monter et puis arrive le moment ou votre baromètre a atteint ses limites et la colère s’est désormais installée aux manettes (image vice versa). Vous ne répondez plus de grand-chose, vous n’agissez plus avec raison mais avec impulsivité. Les noms d’oiseaux peuvent voler, ça ne fait rien, il faut absolument qu’il vous obéisse. On arrive alors à un point de non-retour où vous criez et votre enfant subit vos cris. Vous avez basculé dans le côté obscur de la force, non pas sans raison, mais plutôt parce que votre enfant n’est pas entré dans votre propre temporalité. Vous venez de faire face à votre propre frustration. En tant qu’adulte, on n’a pas envie que nos plans changent. Vous aviez tout bien planifié pour « être tranquille » à 21h. Et là, votre enfant n’a pas répondu à vos attentes, votre envie que les tâches ou activités importantes se fassent à un moment précis. Pas de culpabilité pour autant. Pour exemple au sein des familles américaines, 9 parents sur 10 reconnaissent avoir déjà crié sur leur enfant à un moment donné (on est loin d’être un cas isolé). Crier pour se faire obéir est inévitable ? Non, vous n’avez pas le contrôle de votre enfant. C’est un comportement instinctif de vouloir contrôler son enfant. Après tout, vous l’avez porté pendant 9 mois, difficile de lâcher prise maintenant. Pourtant, force et de constater que penser à se faire obéir est probablement une vision qui amène à crier. Alors qu’établir une éducation bienveillante, permet de poser des règles claires sans pour autant se mettre dans tous ces états.  Je vous explique parce que je vois bien que je suis pas claire ^^ Pendant des années, l’éducation parentale était principalement apprise sous l’angle de l’autorité et souvent du cri. Le parent était l’autorité et l’enfant, le soumis à l’autorité. Avec ce positionnement de dominant-dominé, on est arrivé au constat que les enfants devenus adultes manquaient de confiance en eux, avaient des difficultés à s’autonomiser, car ils devaient correspondre à ce qu’attendait d’eux leurs parents. Les besoins de l’enfant n’étaient pas vraiment la priorité du moment.  Les parents du 21ème siècle, ont ce réflexe qui leur a été inculqué de dominer l’enfant.« Je veux qu’il m’écoute, qu’il apprenne bien à l’école, qu’il fasse de la musique, je veux être fière de lui… ». Or, aujourd’hui, les neurosciences ont en partie fait émerger de nouvelles connaissances sur le développement du cerveau de nos enfants. Mais, pas besoin des neurosciences ou de l’éducation positive, pour voir que si nous ne crions pas sur nos enfants et que nous arrivons à leur faire comprendre les limites sans être en colère, ils sont plutôt très heureux et épanouis😊 Selon l’étude de l’Université de Pittsburg aux Etats Unis en 2013, crier sur son enfant augmenterait leurs mauvais comportements et les exposerait plus à développer des symptômes de dépression.Donc, le challenge, c’est que toute la famille soit contente et épanouie dans sa vie : parents et enfants. Comment éviter de crier sur ses enfants ? Non, le scotch ne résoudra rien, je vous rassure. (reposez tout de suite ça !) 😅 Vous l’aurez compris, c’est une question de posture et de bienveillance que vous devez travailler. Pour éviter de blesser votre enfant (à tout âge) psychologiquement ou physiquement, il est nécessaire d’apprendre à se recentrer sur ses propres émotions et de trouver des solutions pour abandonner les punitions répétitives.  Il est vital de s’éduquer soi-même au calme. Le risque étant que votre enfant vous imite et fasse pareil avec ces copains, vous-mêmes et qu’il subisse ce mal-être. Voici, enfin, les conseils des experts de la parentalité pour arrêter de crier.  Amener votre enfant dans votre temporalité pour éviter de crier Imaginez un instant, vous êtes bien calé dans votre canapé sous un plaid confortable et tout doux, le kiff ! Vous regardez tranquillement votre série en mangeant quelques carrés de chocolat (oui, je suis sûre que ça vous arrive) et là, on vous dit : « Va prendre ta douche ! »   Votre enfant a la même réaction quand vous venez l’interrompre dans son jeu. Alors, c’est plutôt simple, prenez le temps de dire 3 petites phrases que vous pourrez mettre facilement en place : 1ère étape : lui donner une limite de temps pour ne pas crier « Charlie, dans 10 minutes, on va prendre la douche, je mets un petit chronomètre sur ta montre comme ça tu sauras que dès que ça sonne, on va à la douche » Normalement, si tout se passe bien, vous avez le « Maman, ma montre (mon réveil, l’alarme, Alexa) a sonné »Mais, parfois, ça rate ! Votre enfant est trop immergé dans sa bataille intergalactique de « batdog » et « supercat » et il ne l’entend pas. On passe alors à la 2ème phrase. 2ème étape : rentrer dans son jeu « Charlie, ça te dit d’emmener batdgog et supercat en mission sous une cascade intemporelle ? » Un enfant entre 2 et 7 ans ne devrait pas être insensible à ce type de paroles car vous venez de faire entrer son monde dans le vôtre. 3ème étape : faire une pause sans crier Charlie n’est vraiment pas décidé à prendre sa douche, il a compris depuis belle lurette votre petit stratagème et aujourd’hui, c’est un non négatif. En se mettant à son niveau, « Charlie, je sais que tu adores jouer aux super héros et j’aimerai bien que tu puisses avoir un petit temps pour y jouer plus longtemps. Mais, là, maman ne peut pas faire à manger tant que tu n’as pas pris ta douche. Après la douche, tu auras un petit temps pendant que maman cuisine pour jouer. » Il est toujours plus facile pour un enfant d’arrêter de jouer en sachant qu’il va pouvoir continuer à le faire après ce qu’on lui a demandé. En parlant de vos impératifs, vous lui faites comprendre ce qu’il se passe dans votre tête. Vous allez solliciter son empathie pour respecter les règles. Vous pouvez aussi partager vos émotions, « je vais devoir tout faire vite et moi, je n’aime pas cuisiner vite parce que ça me stresse ». Ces phrases sont des lignes directrices. N’hésitez pas à vous les approprier à votre manière et selon la personnalité et l’âge de votre enfant. Ce qui compte, c’est l’attention que vous lui porterez. Avoir recours à une thérapie pour retrouver le calme intérieur En feuilletant des livres sur la parentalité positive ou la communication non-verbale, vous trouverez sûrement des clés de compréhension et des outils pour vous aider à gérer les émotions de vos enfants. Pour ce qui vous concerne, si vous avez le sentiment que vos émotions vous dépassent et qu’il vous est difficile de trouver un chemin d’apaisement, c’est le signe qu’un travail plus profond doit être entamé. La thérapie schémas de Jeffrey Young est à l’origine des thérapies comportementales et cognitives (TCC) dont fait partie l’EMDR. Elle a pour objectif de gérer des problèmes de comportements en travaillant sur les émotions bloquées qui vous empêchent de vivre sereinement. Jeffrey Young a identifié 18 schémas de comportements inadaptés souvent tirés de l’enfance. L’abandon, la carence affective, l’abus, la honte et l’impuissance engendrent des schémas de pensées qui influent sur nos comportements d’aujourd’hui. L’objectif des séances est de comprendre comment vous avez intégré ce schéma, de le déconstruire pour l’accueillir avec bienveillance et avec votre regard d’adulte. 3. Interview de Janaina, coach parental : trouver le bon équilibre en famille Pour libérer les tensions et se sentir soutenu, il peut être pertinent de faire appel à une coach de vie pour parents qui saura vous donner les conseils et le recul nécessaire pour repartir sur de bonnes bases. Janaina Pereira Santos, coach pour parents engagés, nous explique son approche spécifique à travers la PNL et la naturopathie. Qu’est-ce qui t’a donné envie d’être coach de vie pour parents ?  Je pense que c’est une réponse assez classique. Quand je suis devenue maman, j’ai été écrasée par la lourdeur de la responsabilité. Je me sentais perdue et j’avais vraiment peur que mon fils en souffre et que je sois responsable de ses souffrances. Je ne profitais pas vraiment de la maternité. Puis, j’ai fait mon parcours en PNL. Mon projet de développement personnel était justement de travailler sur ma posture en tant que maman. Au fur et à mesure, j’ai eu plein de prises de conscience. Je me suis retrouvée, j’ai appris à m’aimer et je me suis aperçue comme quelqu’un qui pourrait être aimé. À la fin de mon parcours en maître praticien, je suis devenue une autre maman. J’ai continué à suivre les événements de Tony Robbins, célèbre coach de développement personnel. Plus je regardais les parents autour de moi, plus je voyais combien ils se prenaient la tête pour rien, comme moi avant. Donc, j’ai décidé d’accompagner les parents. Les enfants pour moi, ce sont vraiment des êtres spéciaux qui méritent de se retrouver dans une société respectueuse et qui les valorise. Par l’accompagnement des parents, je contribue à cette société et au bien-être des enfants. Car, quand nous ne sommes pas bien en tant que personnes, nos enfants souffrent, notre couple souffre. Et ce sont des souffrances vaines, sans vraiment de raison, car la solution est tellement simple. Quel accompagnement proposes-tu ? Quelles sont tes spécificités ? Je propose des accompagnements individuels et aussi, j’ai un programme en groupe, que je suis en train de créer qui s’appelle l’université de parents. Ma spécificité est que déjà, dans mes accompagnements, je travaille le corps physique (avec la naturopathie) pour que mes clients(es) aient plus de vitalité. Ensuite, on travaille le mindset, avec la programmation neuro linguistique.  Donc, c’est vraiment un accompagnement global. En 12 séances, la problématique est réglée. Mes clients retrouvent amour propre, confiance en eux et dans la vie, et une vie de famille fluide et heureuse car ils se concentrent sur ce qui compte vraiment.  Quelles sont les problématiques les plus courantes des parents que tu accompagnes ?  La problématique de surface est souvent un surmenage et le manque de capacité de prendre du temps pour soi. Les parents sont trop centrés sur leurs enfants ou le travail.  Et en creusant, on retrouve le manque de confiance et d’amour de soi, des croyances telles “ça doit être parfait” ou “je ne suis pas assez bien”. J’observe aussi une grande attente de validation et de reconnaissance des gens autour d’eux .  Quels sont les 3 conseils que tu donnerais aux parents pour éviter qu’ils crient sur leurs enfants ? Respirer, respirer et respirer. Juste prendre le temps avant de réagir. Fermer les yeux et prendre une bonne respiration. Ils peuvent même imaginer qu’ils inspirent le calme.  En deuxième temps, juste percevoir les choses non pas comme une attaque personnelle, mais comme un appel à l’aide de leurs enfants. Par exemple, quand l’enfant s’énerve et crie, juste voir un être perdu, désorienté. Crier ne lui fera aucun bien, au contraire, ça va augmenter sa stupeur.  Pour le travail de fond, se demander pourquoi je m’énerve comme ça ? et aller changer ce déclencheur, changer l’interprétation qu’on donne à la situation ou l’environnement. Par exemple j’ai remarqué que j’étais plus encline à perdre patience quand nous étions en retard, alors j’ai appris à prendre de l’avance ou à lâcher prise sur mon retard. A relativiser.   Le concept d’OptiMoms est de prendre le temps de ralentir. Quelle est ta pause préférée entre deux consultations ? En ce moment j’ai en deux, prendre 20 min au soleil à ne rien faire.  Ou alors, faire mes petits étirements pour le dos en écoutant une belle musique et en chantant.  Merci à Janaina pour sa participation à enrichir cet article. Vous pouvez la contacter sur son site internet : Bienenvie. Ce sujet me passionne, j’aurais pu en faire des tartines, mais ce n’est qu’un article et non un livre. Si vous souhaitez en discuter, vous avez une case pour vous défouler juste en dessous en commentaires ou vous pouvez aussi me contacter par mail 😉 Petite info de dernière minute, selon une étude du NatCen Social Research et de l’Institut d’éducation de l’université à Londres, les parents britanniques qui s’embrassent plus crient moins sur leurs enfants. Je dis ça, je dis rien 😉 Sources : Cultivons le bonheur de nos enfants, p68, Guide pour une vie de famille épanouie Dr Christine Coquart Edition Nathan. Article de Topsanté : Les parents qui s’embrassent souvent crient moins sur leurs enfants Article du blog francetvinfo : Est-ce utile de crier sur ses enfants ? [...] Read more...
17 septembre 2024Ma pause de 4 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Je pense qu’il se cache parmi vous des personnes qui ont pris des petites habitudes anti slow life avec ce petit bijou de technologie. Je vous raconte ce que j’ai mis en place depuis plusieurs semaines pour stopper cette addiction au scrolling et à l’hyperconnectivité ! (vous en faites pas, ça se passe bien😂) Faire une diète numérique pour lutter contre le Mangeur de Temps Le téléphone a révolutionné nos vies, MAIS il est un magnifique MANGEUR DE TEMPS !!! Mais bien trop mignon (et utile) pour qu’on s’en désintéresse et qu’on s’en lasse… Je l’utilise comme beaucoup pour le travail et pour alimenter mes réseaux sociaux. Tellement pratique que je peux tout faire depuis le téléphone peu importe où je me trouve (😜à ceux qui passent 15 minutes dans les toilettes😂). Alors pour vous dire ma routine c’était : visionnage des réseaux le matin dès le réveil, clin d’œil à 9h, à 10h, post le temps de ma pause déj’, re-clin d’oeil l’après-midi (on ne sait jamais si j’avais une notification en attente) et le soir, je n’arrivais plus à m’en passer pour m’endormir en visionnant tout plein de vidéos dont je ne me rappelle plus bien évidemment.  Alors au début, on est tout pleins de bonnes intentions. J’utilisais mon téléphone pour méditer, pour être au plus proche de mes abonnés, pour être au courant des dernières informations, pour compléter mon agenda, pour prendre des photos et des vidéos, pour écouter des podcasts, pour acheter des vêtements pas cher sur Vinted, pour Waze… Bref, le téléphone a de multiples applications qui facilitent le quotidien et on ne peut pas forcément faire l’impasse puisque en l’état si je n’en avais pas, je n’aurai pas pu valider le bulletin scolaire de ma fille puisqu’il se trouve uniquement sur une application.  Donc, tout nous porte à être dépendant de ce petit objet qui contient désormais une bonne partie de nos vies.  Je ne me suis pas amusée à compter le temps que je passais sur mon téléphone, mais je crois qu’il ne vaut mieux pas que je le sache. Vous pouvez probablement le voir dans les paramètres de votre téléphone à l’onglet bien-être numérique… (je dis ça, je dis rien)  J’ai donc décidé de poser mon téléphone à un endroit précis de mon salon. Pas pour ne pas le perdre (et encore c’est vrai que c’est une bonne idée 😅), mais pour me demander à chaque fois que l’envie se faisait si j’en avais réellement besoin ? Pourquoi faire une diète numérique ? Pourquoi, j’ai fait ça ? Parce que j’avais perdu le sommeil, je me couchais très tard et j’en avais marre d’être tout le temps fatiguée pendant la journée.  J’ai pris conscience que le téléphone avait un impact conséquent sur ma santé et qu’il était urgent de le remettre à sa place d’outils non indispensable.  Le téléphone ne doit répondre qu’à des “urgents” que je ne pourrais pas reporter à un autre moment.  J’ai dans ma tête toujours plein de questions pour lesquelles j’ai envie d’avoir la réponse tout de suite. Vous savez quand on a une conversation avec des gens et qu’il te pose une question sur le dernier livre que tu as lu :  “C’était quoi le titre déjà ?” ….    Ma réponse : “Je sais plus, je vais regarder sur mon téléphone”. Réponse 2.0 Laura OutPhone : “Je te dirai ça quand je rentrerai, je ne m’en souviens plus”. Cette question n’est pas prioritaire et urgente donc rien ne sert d’utiliser mon téléphone à ce moment-là. J’évite de répondre à la frénésie du “tout, tout de suite”. Penser à ses priorités avant tout ! Ça me fait penser à la matrice d’Eisenhower. Je vous l’explique vite fait pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore. C’est un outil pour prioriser les tâches en fonction de leur importance et de leur urgence. Sous forme de graphique, vous allez organiser vos tâches sur 4 domaines :  1 : Important et urgent (prioriser) 2 : Important mais non urgent (planifier) 3 : Non important, mais urgent (gestionner) 4 : Non important et non urgent (ignorer) Avec le portable, j’ai eu la même façon de procéder sur ce qu’il est nécessaire de faire sur le moment et sur ce que je pouvais remettre à plus tard ou tout simplement ne pas chercher.  Mes actions pour commencer une diète numérique Voici quelques actions que j’ai mises en place pour vous aider à limiter votre consommation d’écran si vous en avez envie : 💚poser le portable dans le salon sur un meuble pendant que je travaille au bureau 💚pas de téléphone dans la chambre sauf pour méditer 💚pas de téléphone à table sous aucun prétexte 💚me libérer des applications que je n’utilise pas 💚remettre les notifications en sourdine pour les priorités (messages, mail, réseaux) et les visionner 3 fois par jour uniquement 💚Mettre la musique en Bluetooth et poser le téléphone en dehors de mon regard (pour cuisiner par exemple ou faire une activité détente) 💚Je regarde un bon livre ou magazine au p’tit déjeuner 💚pour Instagram, ne regarder que du contenu que je recherche (là, j’ai gagné beaucoup de temps 😅). Par exemple, j’ai besoin de m’inspirer d’un sujet pour un article, de voir les dernières nouvelles écolo… je cible ^^ 💚je ne visionne plus netflix sur mon portable… 💚j’ai fais le plein de bd à la bibliothèque pour m’endormir comme un bébé Les déclics et bienfaits d’une diète numérique Je peux vous dire que depuis quelques semaines, je ressens bien moins de tensions et de difficulté à m’endormir qu’avant ma diète numérique. Le déclic le plus important a été de voir à quel point, je me suis mise à ralentir naturellement et à me permettre des moments pour prendre soin de moi ou pour me divertir.  J’ai aussi une posture bien plus ouverte aux autres et me sens clairement moins fatiguée. Je suis de fait moins stimulée par une source de distraction qui ne m’apportait finalement qu’un plaisir assez futile et succinct.  Autre impact qui m’a surprise, c’est que le soir, je regarde beaucoup moins l’heure de mon coucher. Je suis plus à l’écoute de mon corps et des signes qu’il est fatigué. Je me rends compte qu’avant je me couchais très tard (+ de minuit), mais je me disais toujours “oui, mais bon faut bien que je profite à un moment donné dans ma journée”. Alors, que finalement, maintenant que je n’ai plus l’heure sous les yeux, je profite bien mieux de mon temps le soir en ayant une routine zen.  Voilà, il me semble que ce billet est bien long ! J’espère ne pas vous avoir perdu en route (et si vous n’avez pas tout lu, promis je dirai rien à personne🤫)  Belle semaine à toutes et tous ! 💚💚💚 Laura A. Cet article est tiré de la Newsletter d’OptiMoms n°76. Abonnes toi pour les recevoir en exclusivité 😉 [...] Read more...
15 septembre 2024Ma pause de 5 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< Dans notre société moderne, il est facile de se laisser entraîner par le rythme effréné de la vie quotidienne, même lorsqu’il s’agit de parentalité. Le slow parenting est une philosophie qui nous invite à ralentir, à être pleinement présents, et à savourer chaque moment passé avec nos enfants. C’est une approche qui valorise le bien-être émotionnel et physique de l’enfant, tout en respectant le rythme naturel de la vie familiale. Aujourd’hui, je souhaite vous parler du massage pour bébé, une pratique douce qui s’aligne parfaitement avec les principes du slow parenting. 📒Sommaire Les bienfaits du massage pour bébéDéveloppement physique et émotionnelRenforcement du lien parent-enfantRéduction du stress et de l’anxiétéLe massage bébé et slow parentingPrendre le temps de se connecterObservation et écoute activeRespecter le rythme naturel de l’enfantComment intégrer le massage bébé dans votre routine slow parenting ?Créer un espace et un moment dédiéRituels et routinesAdaptation aux besoins de l’enfantConseils pratiques pour le massage bébéTechniques de baseMatériel et produits recommandésSignaux à observer Les bienfaits du massage pour bébé Le massage pour bébé est bien plus qu’un simple geste de tendresse. C’est un moment privilégié qui favorise le développement harmonieux de votre enfant tout en renforçant ce lien précieux qui vous relie. Développement physique et émotionnel Les massages stimulent les sens et participent au développement physique du bébé. En massant votre enfant, vous améliorez la circulation sanguine, stimulez la digestion et contribuez à un meilleur sommeil. Mais les bienfaits ne s’arrêtent pas là. Le massage est également un moyen de renforcer la sécurité émotionnelle de votre bébé. Le contact peau à peau aide à libérer l’ocytocine, l’hormone du bien-être, qui apaise et réconforte. Renforcement du lien parent-enfant Dans le slow parenting, chaque geste compte et chaque moment est une opportunité de se connecter avec son enfant. Le massage est un merveilleux outil pour créer et renforcer ce lien. En prenant le temps de masser votre bébé, vous apprenez à mieux connaître ses réactions, ses préférences et ses besoins. Ce temps de connexion aide votre bébé à se sentir aimé, sécurisé et compris. Réduction du stress et de l’anxiété Les moments de massage sont aussi bénéfiques pour vous, parents. C’est une occasion de ralentir, de se détendre et de se reconnecter avec soi-même et son enfant. De nombreuses études montrent que le massage aide à réduire les niveaux de stress et d’anxiété, non seulement chez le bébé, mais aussi chez le parent qui masse. C’est une pratique apaisante qui permet de créer un cocon de bien-être partagé. Le massage bébé et slow parenting Le slow parenting valorise une approche consciente et attentive à la parentalité. Intégrer le massage pour bébé dans cette philosophie, c’est choisir de prendre le temps, d’être présent et de respecter le rythme de son enfant. Prendre le temps de se connecter Le massage bébé vous encourage à ralentir, à mettre de côté les distractions et à être entièrement présent avec votre enfant. C’est un moment de pleine conscience, où chaque geste, chaque sourire, et chaque regard sont partagés sans hâte. Ce temps de qualité contribue à renforcer le lien affectif et à créer des souvenirs précieux. Observation et écoute active Lors du massage, il est essentiel d’être attentif aux signaux de votre bébé. Le slow parenting nous apprend à écouter activement nos enfants, même les plus petits, et à respecter leurs besoins et leurs envies. En observant les réactions de votre bébé pendant le massage, vous apprenez à mieux comprendre son langage corporel et ses émotions, ce qui renforce votre capacité à répondre de manière empathique et adaptée. Respecter le rythme naturel de l’enfant Le slow parenting encourage à respecter le rythme propre de chaque enfant. Le massage bébé est une pratique qui s’adapte entièrement aux besoins de l’enfant. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de masser, tant que cela se fait dans le respect et l’écoute de votre bébé. Si votre enfant montre des signes de fatigue ou d’inconfort, il est important de faire une pause et de reprendre plus tard, en suivant son rythme. Le massage des bébés est idéal pour ralentir. Découvrez plus d’astuces pour apprécier la lenteur avec mon article sur Slow Parenting : 10 Conseils pour ralentir le rythme Comment intégrer le massage bébé dans votre routine slow parenting ? Pour que le massage devienne un moment de plaisir et de détente partagé, il est important de créer un environnement serein et adapté. Créer un espace et un moment dédié Choisissez un endroit calme, où vous ne serez pas dérangés. Éteignez la télévision, mettez votre téléphone en mode « silence », et assurez-vous que la pièce est confortable, avec une température agréable. Utilisez une huile douce et naturelle, adaptée à la peau délicate de votre bébé. Prenez le temps de vous préparer, de vous centrer et d’être pleinement présent. Rituels et routines Intégrer le massage dans votre routine quotidienne ou hebdomadaire peut aider à créer une habitude apaisante pour vous et votre bébé. Que ce soit après le bain, avant la sieste, ou le soir avant le coucher, trouvez le moment qui convient le mieux à votre famille. Le massage devient alors un rituel qui apporte calme et sécurité. Adaptation aux besoins de l’enfant Chaque bébé est unique et chaque jour est différent. Certains jours, votre bébé sera plus réceptif au massage, tandis que d’autres jours, il pourrait préférer rester dans vos bras. Il est essentiel de rester flexible et d’adapter le massage aux réactions et aux besoins de votre enfant, sans se mettre de pression. Vous avez envie de vous détendre en famille ? Pratiquer le Yoga en famille est un jeu d’enfant ! Découvrez le yoga postnatal et l’acroyoga, 2 pratiques adaptées au tout petit. Conseils pratiques pour le massage bébé Techniques de base Vous n’avez pas besoin d’être un expert pour commencer à masser votre bébé. Des mouvements simples comme des caresses fermes et douces, des cercles autour du ventre, ou des pressions légères sur les pieds et les mains suffisent pour créer une expérience agréable. L’important est d’être doux, lent et attentif. Notez que pour la plupart des bébés, les effleurements peuvent être vécus comme des surstimulations. Je vous invite donc à trouver votre équilibre entre la douceur et la fermeté de votre geste. Matériel et produits recommandés Utilisez une huile de massage naturelle, comme de l’huile de tournesol, de colza, qui est douce et respectueuse pour la peau de votre bébé. Assurez-vous que vos mains soient propres et chaudes avant de commencer, et que la pièce ait une température adaptée. Signaux à observer Je vous invite à être attentif aux signaux de votre bébé. Un sourire, un regard apaisé, ou des gazouillis sont des signes positifs. Si votre bébé devient agité, pleure ou se tend, il est peut-être temps de faire une pause. Vous avez envie de masser votre bébé ? Découvrez les ateliers de massage parents-bébé de l’AFMB (Association Française du massage pour bébé) dans cette vidéo. Le massage bébé est bien plus qu’une simple technique de relaxation. C’est un moyen puissant de renforcer le lien avec votre enfant, de favoriser son développement et de créer un espace de calme et de connexion dans votre vie quotidienne. En l’intégrant dans une approche de slow parenting, vous choisissez de ralentir, de vivre pleinement chaque instant, et de savourer le voyage merveilleux de la parentalité. Je vous encourage à essayer le massage bébé et à découvrir par vous-même les nombreux bienfaits de cette pratique douce et bienveillante. Partagez vos expériences et vos réflexions dans les commentaires ci-dessous. Quels moments de slow parenting avez-vous créés avec votre enfant ? Quels rituels vous aident à vous connecter avec votre bébé ? Pour aller plus loin, je vous recommande la lecture de cet article : Massages bébés : 5 bienfaits méconnus pour les parents ! Cet article a été rédigé par Dominique du site Défis de Parents 😉 Un grand merci ! [...] Read more...
6 septembre 2024Ma pause de 3 minutes Bienvenue sur OptiMoms ! Si tu passes ton temps à courir, tu pourrai bien avoir envie de prendre enfin le temps de ralentir ! Ça tombe bien, j’ai écrit un E-Book “Vivre la Slow Life, c’est la belle vie ?” que tu peux télécharger en t’inscrivant à ma Newsletter😉 >>> Prends une PAUSE 🦥<<< J’ai commencé à m’intéresser à Bruno Humbeek en découvrant des vidéos de lui sur Instagram. Parlant de façon très rassurante de nos tracas éducatifs quotidiens, je ne pouvais pas m’empêcher de vous en parler. Bruno Humbeek : expert de l’éducation et de la famille Bruno Humbeek est un Docteur en psychopédagogie, pédagogie familiale et scolaire et auteur de plus de 40 livres ! Autant dire que ce Monsieur a une expertise fine des sujets qui nous préoccupent comme l’éducation familiale, les écrans, le harcèlement scolaire, l’hyper-parentalité, le cyber-harcèlement, la séparation de couple… Spécialiste de la résilience, il a travaillé avec Boris Cyrulnik, Jean-Pierre Pourtois ou encore Huguette Desmet. Cet expert de la parentalité et de la relation à l’enfant donne des moyens de remédier aux difficultés scolaires entre autres. Il apporte un soulagement aux parents en soutenant dans ces propos l’importance de la bienveillance, de la délicatesse affective et de la sérénité dans l’éducation. Il donne un éclairage empathique sur la réalité de notre quotidien de parents et donne des clés de compréhension sur le vécu de nos enfants. Où trouver les interventions de Bruno Humbeek ? On l’entend et on le voit sur différents supports de communication. Vous le trouverez facilement en cliquant sur les liens suivant : Les vidéos issues de Lapremierertbf (radio) : Instagram Des vidéos partagés par @Dominicains (conférence) : YouTube Une série de vidéos courtes et très instructives sur des thèmes variés : LaMinuteParents Les conférences de Bruno Humbeek sur FranceInter : RadioFrance Le Podcast “Mes enfants et Moi” : Podcast Le Site Internet de Bruno Humbeek qui répertorie entre autres tous les livres qu’il a écrit : Site Internet Les livres de Bruno Humbeek Bruno Humbeek est un auteur très prolifique qui a le soucis de l’accompagnement parental. La génération de verre Les enfants nés après 2010 forment la génération alpha ou “la génération de verre”, faisant référence aux écrans, à la transparence et à la fragilité du verre. Comment éduquer nos ado dans un climat de guerre, d’urgence climatique, de surinformation… Il y a de quoi faire une crise d’angoisse ! Bruno Humbeeck offre dans ce livre les clés pour décoder nos adolescents et les accompagner à devenir des adultes sereins pour l’avenir. Paru en Janvier 2024 Hyper-parentalité : Apprendre à lâcher prise pour le bien des parents et des enfants L’angoisse et la panique vous accapare quand vos enfants ne sont pas proches de vous ? C’est plus fort que vous, vous ne pouvez pas vous empêcher de contrôler tout ce qu’il dit ou fait ? Cet ouvrage peut sûrement vous aider à lâcher du lest pour éviter de vous épuiser dans une recherche d’une éducation “parfaite”. Chassez les fausses idées, après ce livre, vous vous serez initier au lâcher prise pour le bien de vos enfants et du vôtre. Paru en Octobre 2022. Et si nous laissions nos enfants respirer ? Un autre ouvrage qui décortique avec vous le sujet de l’hyper-parentalité. Parents oppressants, vous voulez probablement trop bien faire mais cela devient une charge pour vos enfants. Ce livre va vous donner les clés pour alléger vos épaules de cette responsabilité éducative qui vous incombe. Paru en 2017 L’intelligence émotionnelle, à l’école et en famille Les émotions des enfants, on en parle beaucoup. Comment les accompagner à découvrir leurs émotions pour qu’ils puissent être épanoui à l’école et en famille ? L’empathie et la bienveillance font partie de l’intelligence émotionnelle. Bruno Humbeek vous aide à développer cet aspect très important de l’enfant pour vivre en société et mieux se comprendre. Paru en 2022 Quelles pédagogies pour mon enfant ? Qu’est-ce que la pédagogie ? Bruno Humbeek fait le tour de la question en nous racontant son histoire et les fondements de l’ensemble des pédagogies existantes (Jean-Baptiste de La Salle, Montessori, Freinet… ). De quoi nous permettre de mieux comprendre chaque pédagogie dans ses forces et ses faiblesses de choisir celle(s) qui saura construire notre enfant. Paru en 2021. Bruno Humbeek est un spécialiste de l’éducation et donne de nombreuses clés aux parents pour accompagner l’enfant dans son développement. Les pédagogies alternatives peuvent susciter l’intérêt de nombreux parents aujourd’hui. La pédagogie Steiner-Waldorf se base sur une devise de 3 mots “penser, sentir, agir “. Les enseignements se portent sur la libération de la personnalité de l’enfant en développant les qualités essentielles à sa vie d’adulte. [...] Read more...
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laura aponi slow parenting

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Tu as envie de profiter de tes enfants et de ralentir le rythme, c’est par ici avec des articles sur l’éducation positive, la gestion des émotions, des conseils de Slow Education…

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Vous avez envie de connaître mon quotidien de Maman Slow ? En voici, un petit aperçu avec quelques unes de mes Newsletters en version article ! Et vous allez voir, moi aussi, j’ai pleins de défis à relever !💪


Je mentionne pleins de livres dans mes articles car je les dévore surtout quand ils parlent d’éducation, de lenteur, de Slow Life et d’épanouissement personnel. Je te donne mon avis sur chacun des livres que j’ai lu et que tu peux acheter si comme moi tu craques “littérairement”.

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C’est 100 % fait main, 100 % fait maison, 100% fait moi !

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